Les passionnés ont failli partir il y a moins de 48 heures. Et pour une entreprise, un client est un client, qui doit etre conservé et fidélisé, pour des notions de pure rentabilité. Le plaisir, la creativité, l'originalité sont des éléments de sucroit qui sont là pour le plaisir de tous, créateurs comme joueurs. Mais avant tout, pour partager sa passion pour un jeu réussi, il faut survivre, et se plier aux lois de base de l'économie et du service.soli wrote:Je pense que Ryzom doit garder son lot de joueur passionnés, le reste ils doivent faire abstraction d'eux, sinon dans pas longtemps se seront les passionnés de Ryzom qui s'en iront...
tin mais on chate ensemble la)
Je voudrais que les choses soient autres, mais le temps et l'expérience, et un peu de culture générale, me permettent de savoir qu'il ne peut en être autrement.
Je sui auteur de bande dessinée, ma bédé c'est ma passuin, ma vie, mon grand oeuvre, hé bien je suis obligée de réecrire le scénario, avec mes scénaristes, pour me plier aux désidérata des éditeurs qui veulent de moi, qui pensent à leurs clients. cvela reste la même chose, la même passion, mais adaptée aux gens qui vont acheter.
Crois-moi, ce n'est pas toujours plaisant, mais on peut l'accepter et en tirer quand même fierté...
UN jeu, ou une bédé, ou toute oeuvre, ne sont pas différentes...