[Cerchio delle Arcano] Histoires ....

Moderator: Chroniques d'Atys

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macar
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[Cerchio delle Arcano] Histoires ....

Post by macar »

I) Découverte

Liniado savait qu’il allait être sacrifié par le Cercle. Ce conseil lui importait peu, car les Seigneurs de l’Aube l’attendait …. Tout avait débuté lors de sa découverte.

Un soir, alors qu’il vagabondait à son habitude dans les Lacs, à la recherche d’un Tryker à capturer, il surpris des homins encapuchonné emprunté une racine les menant dans une caverne. Intrigué, il attendit que les dernier fut entrée dans la caverne pour s’approcher. Ce qui semblait être une prière fut chantée. Il ne put tout entendre du chant, trop occupé à chercher une position idéale pour observé la scène. A la fin du chant, un homin leva les bras et s’écria : « Elias est notre guide ! » et tous les autres répondirent : « Et nous suivons son chemin. ».

Horreur ! Son cœur battit la chamade. Une célébration du culte d’Elias. Il devait absolument retourner à l’Arbre Vie pour prévenir le Maestro. Mais il devait avant cela au moins essayer de repérer un indice concernant les adeptes de ce culte. Il se mit a plat ventre et rampa jusqu'à avoir un angle suffisant pour voir l’intérieur. Tous était vêtu de la tête au pied par une sorte de cape, on ne pouvait distinguer leur visage. Néanmoins, sur quelques adeptes dans la cape était entrouverte, il put entrapercevoir quelques blason de guildes. Jena ! Il y avait des homins de tout bords, et de toutes races parmi eux. Il mémorisa les blasons afin de les identifier dans le livre des blason que tenait à jour son disciple.

Il craqua alors rapidement un ticket et disparu.

C’est avec le cœur anxieux qu’il parcouru au pas de course la distance séparant Yrkanis de l’Arbre Vie. Il fallait absolument qu’il voit le Maestro. Comme il faisait nuit, les gardes dégainèrent leur épée à la vue de cette ombre qui courait vers eux. Lorsqu’ils reconnurent Liniado, ils reprirent instantanément leur position de garde et le saluèrent.

« Allez immédiatement réveillé le Maestro » s’écria Liniado. « Dites lui de me rejoindre à la bibliothèque, la découverte que je viens de faire l’intéressera au plus au point ». Liniado se dirigea alors directement vers celle-ci, espérant que sa mémoire ne lui jouerait pas des tours pour identifier les blasons.

Le livre confirma ses craintes, parmi les adeptes figuraient des membres de guildes puissantes. Le Maestro l’avait rejoint entre temps. Liniado le dévisagea un moment. Il était fatigué … non pas fatigué … usé. Le grand age du Maestro le rattrapait, lui-même avait demandé à Liniado de bien vouloir s’occupé des préparatifs quand à son prochain décès. Cela chagrinait Liniado, car le successeur au Maestro était un Matis exceptionnel, mais beaucoup trop jeune encore pour prendre à son tour le titre de Maestro.

« Ecoute moi Liniado, mon vieil ami, bientôt ce tiendra le prochain conseil Matis, des rapports en fond état, j’enverrai une missive au Maître Mogway pour prévenir de ta venue au conseil. »

Le sang de Liniado se glaça : « Mais… Maestro, les Seigneurs de l’Aube avait mit ma tête à prix suite à notre tentative ratée de les mettre en conflit avec les Légions Fyros….. ».

« Je sais cela, et ils viendront sûrement te chercher, je ne pense pas qu’ils aient oublier. Mais s’ils ne sont pas bêtes, ils comprendront l’importance de nos révélations et te laisseront repartir sain et sauf. Tout de même, ils doivent être avertis qu’ils comptent dans leur rang des Trytonniens ! J'enverrai d'autres agents prévenir les autres guildes Matis concernés. Mais toi, occupes toi des Seigneurs de l'Aube.»

Liniado baissa la tête, résigné. Le Maestro ne se rendait pas compte, c’était à une mort certaine qu’il l’envoyait. Mais il devait obéir, car le grand maître du cercle avait droit de vie ou de mort sur quiconque dans le Cercle. Liniado partit alors au Temple pour prier, la réunion du Conseil Matis aurait lieu dans trois lunes. Il préféra passer le temps qu’il lui restait sur l’Ecorce à prier pour que Jena accepte le don de sa vie et lui accorde une place à sa droite.


/HRP
A venir :
II) La torture et mort de Liniado
III) La mort du Maestro
IV) Rassemblement

PS pour Calli : Rp parlant, pour nous au Cercle, c'etait un wanted :p
De même, la suite du texte te semblera surement différent de ce que tu as percu, car mon personnage n'aura peut etre pas les même opinions que toi :p
Last edited by macar on Mon Jun 06, 2005 1:23 pm, edited 1 time in total.
171084
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Re: [Cerchio delle Arcano] Histoires ....

Post by 171084 »

Hrp/ juste une petite précision nous n'avons jamais mis la tête de Liniado à prix. Nous le recherchions seulement.
Calli, Seigneur de l'Aube
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macar
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Re: [Cerchio delle Arcano] Histoires ....

Post by macar »

II) La torture et la mort de Liniado

Il était l’heure. Liniado avait passé sa journée à préparer ses affaires. Sa chambre avait été soigneusement rangés. Les documents trop « gênants » avait été enregistrés dans un cube d’ambre, puis les dossiers papiers brûlés. Il s’était retiré dans la salle des tortures, car celle-ci était toujours calme en journée, les basses besognes se faisant souvent tard.

Il aimait cette salle. C’est la qu’il avait découvert ses propres limites, ayant subit comme chaque recrue un interrogatoire exécuté personnellement par le Maestro. Il y a connu les plus grande souffrance. Mais il y connut également les plus grande joie, car il aimait voir ses ennemis le supplié de leur laissé la vie sauve. Sa plus grande joie fut lorsqu’il arriva à plier un Tryker à sa volonté, brisant ainsi la volonté propre de l’homin et le réduisant à l’esclavage.

Il sortit alors de nouveau l’ambre, pour y accomplir sa dernière tache : mettre à jour les noms des différents Intrigants de la cour, qui espionnaient et surveillaient pour le compte du Cercle les grandes guildes Matis. Une fois sa tache achevé, il plaça soigneusement le cube dans une cache secrète, connu de son unique assistant, qui lui succèderait à sa mort. Il n’espérait ne pas avoir à en passer par la, mais le réseau d’espionnage ce devait de lui survivre, car c’était la force du Cercle.

L’heure approchait à grands pas, Liniado ce dirigeait vers le lieu du Conseil. Il était légèrement en retard, comme ce le devait un noble Matis, car son entrée en serait un peu plus remarqué. Lorsqu’il arriva, il s’inclina devant le maître de cérémonie, maître Mogway. Aucun autre Matis ne le salua, mais cela ne le dérangea pas. Son regard scruta l’assemblée, comme il s’y attendait, des Seigneurs de l’Aube étaient présent, et ceux-ci lui jetaient des regards à la dérobés. Son regards fini de faire le tour, et au Stupeur ! Une Trykette était présente, assis là parmi nous, telle une égale. Son sang ne fit qu’un tour. Qu’avait elle à faire parmi les membres de notre noble peuple, elle, cette misérable esclave !

Contenant sa colère, Liniado décida de laisser la réunion commencer. Maître Mogway commença par évoquer le sujet le plus dur à attendre pour Liniado : le rapprochement des Matis et des Trykers. Le maître de cérémonie commença alors à parler, mais Liniado ne l’entendait plus, la colère le rendant sourds. Et la Trykette qui ne cessait pas de le fixait ne lui permettait pas de ce calmer. Lorsque le maître Mogway finit son discours, Liniado ne puis plus tenir et ce leva :
« Couards ! Vous faites honte à votre sang. Où est donc passée la fierté Matis, pour que vous acceptiez cette esclave comme votre égale ? » rugit il. Il se dirigea alors vers la Trykette : « Et baisse donc les yeux petite chose avant que je ne te les arrache». Puis il sortit de la salle, ivre de colère, saccageant le mobilier à porter de main. De toute façon, ce conseil lui importait peu, car son unique but était de porter un message au chef des Seigneurs de l’Aube.

Lorsque il se calma, il se rendit compte qu’il était encerclé par trois homins, un bref coup d’œil à leur blason lui permit de ce rendre compte que son intuition était juste : des Seigneurs de l’Aube.

« Suis nous ou meurt ! » tel furent les paroles qui sortirent de la bouche du diplomate. Un Matis dans une armure Tryker et un Tryker l’accompagnait. Liniado eut envie de vomir mais ce retins. Encore et toujours ces petites choses un peu partout sur notre sol, ainsi que leurs créations ridicules. Mais le message qu’il avait à donner était trop important, il se devait de résisté à l’envie de laisser libre cours à sa colère.
Il fut donc escorté à une salle voisine.

« Sais tu que nous te cherchions Matis ? Et sais tu pourquoi ? ». Liniado rit intérieurement. Ce Matis le prenait il pour un idiot ? Sûrement que oui, mais s’il voulait garder sa vie sauve, autant garder ses réflexions pour lui-même.

« Sors délicatement tes armes et jettes les à terre ».

Ces homins semblaient sortie de la dernière pluie, Liniado allait vérifier cela :

« Pensez vous réellement que je sois venu au conseil armé ? Cela aurait été un manque d’élégance de ma part, et puis, pourquoi les aurais je emmené ? Je suis venu délivré un message à votre chef Silverphénix. Qu’il vienne.».

«Notre chef ne se déplace pas pour de petites choses insignifiantes, mais l’un de nos officiers arrive pour t’interroger, tu pourras toujours le lui donner. Bien ! Maximus, ligote le et bâillonne le également jusqu’à l’arrivée de Calli ». s’écria le Matis.

Liniado rit intérieurement, on l’avait cru sur parole, on ne l’avait même pas fouillé. Les Matis avaient ils donc tous perdus leur bon sens ? C’est alors qu’il vit le Tryker avancé.

Jena ! On appelait cette esclave par son nom ? Cette chose allait le toucher, c’était répugnant. Mais pas autant que ce qui s’en suivie. Le Tryker le força à se mettre à genoux, lui envoyant quelques coups dans les côtes à la dérobé. Le guerrier lui ligota durement les poignets dans le dos et le bâillon lui arracha littéralement la mâchoire.

« Notre chef diplomate arrive, jusque la tiens toi tranquille. ». Le matis disparue alors. Le Tryker ne cessait de fixer Liniado, celui-ci préféra éviter de lui renvoyer son regards, devinant que cette petite chose devait jubiler de plaisir à le voir ainsi.

Calli arriva alors. Il inspecta Liniado, un sourire moqueur aux lèvres. Il ordonna de retirer le bâillon.

« Ainsi donc, nous avons enfin capturer un membre du Cercle. Nous allons te faire parler, mais cela peut ce faire en douceur ou par la force. ». Un lueur froide dans les yeux de Calli accompagnèrent ses déclarations.


« Il parait que tu as un message à notre attention ? » demanda Calli.

« Oui. Il y a quelques lunes de cela, j’ai surpris une réunion. D’après les quelques bribes de paroles que j’ai pu entendre, il s’agissait d’une réunion de Trytonniens. J’ai pu observer à la dérober les homins qui ce situaient à l’intérieur avant de me sauver. Je n’ai pu voir leur visage, mais j’ai pu apercevoir quelques blasons. Deux d’entre eux portaient le votre. »

Calli scruta Liniado pendant sa déclaration, et ne sembla nullement surpris.

« Et tu penses que nous allons te croire ? Pourquoi devrions nous te faire confiance ? Par le passée, tu as deja essayer de nous mettre en conflit avec les Légions Fyros.»

« Je suis venu à ce conseil uniquement dans l’intention de vous rencontrer, afin de vous délivrer ce message, sachant que vous souhaiteriez surement prendre ma vie. N’est ce pas une preuve de ma bonne volonté. Quand à mes actions passées, c’est un juste retour de baton, vous n’aviez pas à prendre des Trykers au sein de votre guilde, et les exhibé en plein Yrkanis, montrant ainsi ces petites choses comme nos égales. Prendras tu notre avertissement au sérieux ?» déclara Liniado.


« Non, nous ne te ferons pas confiance. » Calli s’approcha alors du visage de Liniado, le regards mordant. « Donne moi plutot le nom de tes complices, et surtout, le nom de ton chef ! » rétorqua-t-il. « D’une manière ou d’une autre, nous avons les moyens de te faire parler ». Une dague jaillit alors de sa manche. L’homin était naïf certes, mais il maniait la dague avec une grande dextérité. D’un geste rapide, il fit une estafilade à la joue gauche de Liniado. « Crois moi, parle tout de suite, je n’aime pas torturer, mais je sais y faire. ».

Résigné, Liniado pris une profonde respiration. « Même si je le souhaitais, je ne le pourrais. Fais sortir cette chose qui m’insupporte et je te dirais pourquoi. » Intrigué, Calli fit signe à Maximus de sortir. Liniado se redressa alors, et un coup de poing vint le cueillir en plein estomac. Avant que Calli n’ai le temps de lui envoyer sa petite sœur en plein visage, Liniado s’écria : « Attend, c’est pour te montrer quelque chose ». Calli stoppa net son mouvement et attrapa Liniado par le bras pour le relever. « Détache moi le bras et regarde sur mon poignet gauche, mais surtout ne le touche pas ! ».

Intrigué, Calli s’exécuta et releva la manche de Liniado et vit un sceau verdâtre sur la peau de Liniado.

« Qu’est ce donc ? » l’interrogea Calli.

« C’est une capsule de goo. » A ces mots, les homins eurent un mouvement machinal de recul. « Avant même que je ne dévoile un nom, elle me tuera définitivement. C’est l’un des nombreux secret de notre Cercle, tout les membres en ont un semblable, mais étant le Gardiens des Secrets, mon dispositifs en est le réceptacle, c’est ainsi que je puis détecter nos agents sans même les voir, mais le mien est également une laisse, le Maestro peut à tout moment m’exécuter, et si j’ai l’intention de dévoiler ne serait ce qu’un nom, je mourrais avant de prononcer un seul son. » Liniado eut un sourire, car l’apposition de ce sceau pour un Gardien était le plus grand des sacrifices au Cercle : sa vie était irrémédiablement lié au bon vouloir du Maestro et permettait également la garantie des Secrets.

« Ne peut on l’enlever, ou faire venir un guérisseur pour permettre de le neutraliser? » ;

Liniado releva la tête, dans une position digne de l’ancien temps, ou les Matis conservait encore une stature quasi royal, pleine de grâce et de force. « Non, mais même si vous réussissiez, je ne dirais rien, le Cercle est ma vie, je préfère mourir ».

Liniado sortit alors de sa poche secrète une dague et donna un grand coup de pied à Calli pour se dégager. Il prit la direction de la porte, mais lorsqu’il l’ouvrit, le Tryker arriva avec sa massue et un sourire empreint de violence au lèvre. Liniado n’avait plus le choix, alors que le Tryker lui assénait un coup de masse afin de l’assommer, Liniado leva le bras gauche et le sceau se brisa. Une dernière pensée lui traversa l’esprit avant de mourir : si une vie après sa mort l’attendait, est ce que la jeune Tryker qu’il avait aimé l’attendrait pour l’accueillir ?
Last edited by macar on Tue Jun 07, 2005 4:23 pm, edited 1 time in total.
ldeeper
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Re: [Cerchio delle Arcano] Histoires ....

Post by ldeeper »

macar wrote:II) La torture et la mort de Liniado

« Suis nous ou meurt ! » tel furent les paroles qui sortirent de la bouche du diplomate.
Je ne puis vous laissez dire que nous autres membres des Seigneurs De l'Aube utilisons un tel langage, je me rapelle parfaitement avoir dit ceci: "Monsieur auriez vous l'obligeance de me suivre", ce que Liniado fit.

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Je suis sur que tu n aurais pas été d accord avec cette modification ;)
HRP
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The deeper, Ambassadeur des Seigneur De l'Aube.
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macar
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Re: [Cerchio delle Arcano] Histoires ....

Post by macar »

/HRP

Merci d'éditer ton post, menteur :p
Et puis arrête de passer pour un bisounours, parce que j'ai enlevé des passages qui choqueraient les plus jeunes.

Quoi, comment ca je fait de la diffamation :D ?
Plus sérieusement, il est vrai que je me suis permit quelques "changements de mot" mais les actions restent les même, c'est afin d'avoir un récit moins ... bisounours (c'est vrai que ce mot colle bien à certains contexte :D ). Donc voila. J'espère que les récits vous plaise quand même et que mes petites histoires que je fabrique IG vous divertissent. A bientot mes tortionnaires :p
Last edited by macar on Tue Jun 07, 2005 10:17 pm, edited 1 time in total.
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