En quarantaine
, mais pourquoi en quarantaine ? Le cercle sétait éloigné de lui tant que le mal qui le frappait ne serait pas « guérit ». Mais ce quil ne comprenait pas, cest que laberration qui laffligeait nétait pourtant pas contagieux.
« Ne reviens que lorsque cette folie te sera passée ! » furent les derniers mots qui sortir de la bouche de Liniado, le Gardien des Secrets.
Un grand mal frappait ce Matis pourtant si fier de sa race ! Un mal que nul prêtre ne pouvait soigné. Il avait prié Jena pour savoir pourquoi elle avait placé cet obstacle devant cet avenir quil sétait choisi. Il était respecté de ces pairs, il commençait à engranger des dappers pour enfin pouvoir ce payé se superbe appartement quil avait visité au palais. Jusqu'à ce funeste jour
Ce jour la, tout avait commencé normalement. Il venait décorcher vif un Tryker qui lui avait manqué de respect, lorsque les prêtres lui avaient annoncé quune confrontation avec ces sous êtres de Fyros allait être enclenché dans les primes, et que dans les saintes prières, Jena était apparu à lun deux pour nous autorisé à levé lInterdit (NDLA : allez dans les Primes ;p) pendant quelques heures le temps de la confrontation. A ces paroles, son cur bondit, peut être allait il enfin croisé Ufo le Lache, afin dhonoré les dernières paroles de son défunt père, en ramenant la tête de ce sous homin au bout dune pique !
Il sétait préparé et accompagnait ces confrères. Lexcitation le gagnait ainsi que la peur. Doux mélange que celui-ci, la sainte peur de fouler les terres Interdites mais lexcitation de tenir enfin sa promesse.
« La, ils sont la ces lâches, a lattaque »
Le Matis ne pris pas part à la charge, il préféra rester en arrière en espérant repérer sa proie. Et il laperçu
Ô haine quand tu nous tiens ! Il ne fit même pas attention à ce qui ce passait autour de lui, la rage guidait ses pas droit sur sa cible, les muscles de son cou étaient tendus et ses yeux ne voyaient plus que le Lache ! Il ne vit pas le coup dépée arriver, et mais cela le cloua au sol, à demi inconscient. Il vit alors lApparition et sa vie bascula. Ses gestes étaient gracieux et empreint de félinité. Il la vie dans toute sa rage et sa force, belle comme le printemps des nobles Forêts Matis. Et il sombra.
« Il est rétabli, mais il semblerait quun mal étrange le ronge, peut être la fureur des combats ? »
« Il nen est pas à sa première bataille, mais que lui arrive t il ? »
Le Matis se réveilla plus tard, la peur et lexitation au ventre, mais elles navaient plus le même gout. Il était exité car il avait enfin rencontré se qui lui avait toujours manqué dans sa vie : lamour, son âme sur. Un seul regards avait suffit pour quil sache. Il éclata alors de rage et de tristesse car la peur prenait le pas sur lexcitation, car son Apparition était ce contre quoi il sétait toujours battu et quil execrait le plus au monde
. une Fyros.
Ces pairs avait envoyé un mentaliste était venu l'étudié, et c'est avec effaremment et colère que le mentaliste déclara le mal qui rongeait le Matis. Il fut déclaré "malade" et on le pria de "prendre congés" le temps que "le traumatisme disparaissent".
C'est avec la honte sur le visage que le Matis rassembla ses affaires et parti de l'Arbre-Sève, sous les regards accusateur de ses confrères. La pluie fouetta son visage lorsque les portes de son ancien foyer se refermèreent derrière lui. Son chemin le mena jusqu'a un autel de Jena, où il tomba à genoux, joignant ses mains dans une attitude de prière :
"Ö Jena, pourquoi ? Et pourquoi Elle ?"
Car cette Fyros était la pire ennemi de sa race, elle était
GOZMOTH !
[BG][MATIS] - Il n'y a qu'un pas entre l'amour et la haine ...
Moderator: Chroniques d'Atys
Re: [BG][MATIS] - Il n'y a qu'un pas entre l'amour et la haine ...
-hrp-
Pinaise ... on me l'a appris ingame ... le message est vu !
Rappelle moi le nom de ton personnage ?
Pinaise ... on me l'a appris ingame ... le message est vu !
Rappelle moi le nom de ton personnage ?
Re: [BG][MATIS] - Il n'y a qu'un pas entre l'amour et la haine ...
-hrp-
Ne t'en fais pas, le prince charmant va arriver
Ne t'en fais pas, le prince charmant va arriver
Re: [BG][MATIS] - Il n'y a qu'un pas entre l'amour et la haine ...
Après avoir passé une période de jeun, espérant ainsi que Jena lui montre la voie a suivre, cest empreint de honte et de tristesse que le Matis repartit en direction dYrkanis la majestueuse.
Il avait passé trois jours dans la Forêt à méditer sur la démarche à suivre. Deux buts, dont les chemins à suivre sopposeaient, soffraient à lui : il devait tuer le Lache et conquérir la Belle. La démarche quil décida de suivre lui apparu en ce souvenant de son enseignement au Cercle :
« et ils sont aussi bêtes que leur pieds. Ce qui nous différiencie entre autres, nous, noble Matis, de ces perfides Fyros, sont essentiellement notre intelligence et notre sens moral, car eux ignorent lun et lautre. Bien que nous comparer à eux serait nous rabaissez, nous leur sommes supérieurs en toute qualité, comme le montre notre histoire et notre art .»
Ainsi, il lui était paru évident de tenir la promesse faite à son père avant découter son cur. Il sétait alors résolu à faire appel à son vieil ami, avec qui il avait parcouru le Jardin tant de fois. Il savait que ce fier Matis accepterait cette requête de sa part, car lui aussi avait des griefs à lencontre des Légionnaires.
Cest ainsi quil se retrouva sur le chemin menant à la capitale, lesprit encore embrumé par ces réflexions. Il atteignait les portes dYrkanis trois heures plus tard, comme si seulement 10 minutes cétait écoulé. Il ne se rendit pas compte non plus quil exposait ses réflexions à voie haute, perdu dans ses pensées. Lun des gardes linterpella :
« Et toi la bas, le fou, viens ici ! »
Cest alors que le jeune Matis se rendit compte que son trajet prenait fin. Il se rendit près du garde, essayant de faire bonne figure :
« Que puis-je pour vous, noble défenseur dYrkanis ? »
« Viens ici et montre moi tes yeux de plus prêts, à voir ton état, il semblerait que tu es abusé du shooki, et je ne tolèrerai pas ca dans la ville ! »
Le jeune Matis sapprocha, tête basse, retenant sa colère : comment ce petit garde de rien du tout osait lui parler ainsi ! Mon dieu, que le Cercle lui manquait ! Une telle insolance aurait valu au garde cent coups de fouet !
Le garde lui examina les yeux et et lui pria de remonter ses manches. Le jeune Matis sexécuta. Il eu un sourir de victoire et fut envie dun sentiment de puissance lorsque il vit le garde tressaillir et le regarder avec des yeux ronds :
« Que Quest ce que ces marques sur vos bras ? »
Le garde semblait mal à laise et chancellait. Cest alors que le jeune Matis sorti un médaillon et le présenta au garde qui écarquilla les yeux :
« Tu connais ce médaillon nest ce pas ? Tu sais que les membres de mon Cercle ne tolère pas quon leur parle sur ce ton ! Et surtout, je lis sur ton visage que tu sais le traitement que nous réservons à ceux qui nous offense. »
Le Matis avait mumuré cette phrase, sa voix emprunt dun ton de menace et dauto satisfaction. Le garde ne se laissa pas démonter, il avait lhabitude de ce genre de menace. Lui-même ne représentait il pas lautorité du Roi ? Mais avec des gens du Cerchio Delle Arcano, mieux valait il prendre des précautions :
« Mille excuses Messire, mais je ne fait que mon devoir. Cela ne me dit toujours pas ce que sont ces marques ? »
Le Matis monta dun ton :
« Cela ne vous regarde point, et je ne vois pas en quoi ces marques minterdirais de passé ! Maintenant, laissez moi passer. »
Le garde était partagé entre imposer lautorité du Roi et sa peur du Cercle, car après son service, il ne redevenait quun simple homin avec une femme et deux enfants. Mieux valait sécarter.
« Vous pouvez passer, messire. »
Le Matis repris donc alors sa route, il avait rendez vous avec son vieil ami près de la rotonde, mais il était en avance. Il se mit alors a tourner en ronds, replongeant dans ces réflexions.
Une belle et jeune Matis linterpella alors :
« Messire, que vous arrive t il ? Vous semblez plongé dans un grands malheur ? ».
Le jeune Matis sarrêta et jaugea la Matis du regards :
« Quest ce qui vous fait dire ça ».
La jeune Matis eu un sourire narquois :
« Vous parliez à voix haute messire, et je nai pu mempêcher de vous entendre. »
Le jeune Matis réfléchit, après tout, lavis extérieur dune jeune Matis pourrait peut être laidé ? e plus, il ne la connaissait pas, ce qui était un avantage, elle oublierait facilement son histoire et son visage.
Il lui raconta alors sa haine et son combat contre les autres peuples, que la jeune Matis partageait. Il lui avoua alors que la femme dont il était tombé amoureux était une Fyros :
« Abomination ! Etes vous sur de ne pas avoir reçu un coup sur la tête ? Tomber amoureux de cette créature laide et puante ? »
Les yeux du Matis sembrasèrent alors de colère, et ce fut comme si son corps était habité par une autre personne.
« Hors de ma vue ! Je ne tolèrerait pas de telles paroles envers ma Belle ! » cria t il.
Il partit alors à grandes enjambés, laissant la jeune Matis cloué au sol devant une telle colère si soudaine. Il allait en direction du bar, prendre un verre dont il avait tant besoin, lorsque il croisa son vieil ami. Il sempoignèrent à la façon de deux frères darmes, plus de façon fraternel que guerrière :
« Viens, allons boire un verre dans le hall de ma guilde, tu as lair fatigué et jen profiterais pour te présenter aux autres. »
Les deux amis prirent alors la direction de ce qui allait devenir peut être mon nouveau foyer. Si lon macceptait ..
/HRP Désolé de la tartine, mais comme cela a été vécu IG, j'avais envie d'y entrer dans les détails et surtout remercié la jeune Matis d'Alkiane qui c'est prêté au jeu spontanément
Il avait passé trois jours dans la Forêt à méditer sur la démarche à suivre. Deux buts, dont les chemins à suivre sopposeaient, soffraient à lui : il devait tuer le Lache et conquérir la Belle. La démarche quil décida de suivre lui apparu en ce souvenant de son enseignement au Cercle :
« et ils sont aussi bêtes que leur pieds. Ce qui nous différiencie entre autres, nous, noble Matis, de ces perfides Fyros, sont essentiellement notre intelligence et notre sens moral, car eux ignorent lun et lautre. Bien que nous comparer à eux serait nous rabaissez, nous leur sommes supérieurs en toute qualité, comme le montre notre histoire et notre art .»
Ainsi, il lui était paru évident de tenir la promesse faite à son père avant découter son cur. Il sétait alors résolu à faire appel à son vieil ami, avec qui il avait parcouru le Jardin tant de fois. Il savait que ce fier Matis accepterait cette requête de sa part, car lui aussi avait des griefs à lencontre des Légionnaires.
Cest ainsi quil se retrouva sur le chemin menant à la capitale, lesprit encore embrumé par ces réflexions. Il atteignait les portes dYrkanis trois heures plus tard, comme si seulement 10 minutes cétait écoulé. Il ne se rendit pas compte non plus quil exposait ses réflexions à voie haute, perdu dans ses pensées. Lun des gardes linterpella :
« Et toi la bas, le fou, viens ici ! »
Cest alors que le jeune Matis se rendit compte que son trajet prenait fin. Il se rendit près du garde, essayant de faire bonne figure :
« Que puis-je pour vous, noble défenseur dYrkanis ? »
« Viens ici et montre moi tes yeux de plus prêts, à voir ton état, il semblerait que tu es abusé du shooki, et je ne tolèrerai pas ca dans la ville ! »
Le jeune Matis sapprocha, tête basse, retenant sa colère : comment ce petit garde de rien du tout osait lui parler ainsi ! Mon dieu, que le Cercle lui manquait ! Une telle insolance aurait valu au garde cent coups de fouet !
Le garde lui examina les yeux et et lui pria de remonter ses manches. Le jeune Matis sexécuta. Il eu un sourir de victoire et fut envie dun sentiment de puissance lorsque il vit le garde tressaillir et le regarder avec des yeux ronds :
« Que Quest ce que ces marques sur vos bras ? »
Le garde semblait mal à laise et chancellait. Cest alors que le jeune Matis sorti un médaillon et le présenta au garde qui écarquilla les yeux :
« Tu connais ce médaillon nest ce pas ? Tu sais que les membres de mon Cercle ne tolère pas quon leur parle sur ce ton ! Et surtout, je lis sur ton visage que tu sais le traitement que nous réservons à ceux qui nous offense. »
Le Matis avait mumuré cette phrase, sa voix emprunt dun ton de menace et dauto satisfaction. Le garde ne se laissa pas démonter, il avait lhabitude de ce genre de menace. Lui-même ne représentait il pas lautorité du Roi ? Mais avec des gens du Cerchio Delle Arcano, mieux valait il prendre des précautions :
« Mille excuses Messire, mais je ne fait que mon devoir. Cela ne me dit toujours pas ce que sont ces marques ? »
Le Matis monta dun ton :
« Cela ne vous regarde point, et je ne vois pas en quoi ces marques minterdirais de passé ! Maintenant, laissez moi passer. »
Le garde était partagé entre imposer lautorité du Roi et sa peur du Cercle, car après son service, il ne redevenait quun simple homin avec une femme et deux enfants. Mieux valait sécarter.
« Vous pouvez passer, messire. »
Le Matis repris donc alors sa route, il avait rendez vous avec son vieil ami près de la rotonde, mais il était en avance. Il se mit alors a tourner en ronds, replongeant dans ces réflexions.
Une belle et jeune Matis linterpella alors :
« Messire, que vous arrive t il ? Vous semblez plongé dans un grands malheur ? ».
Le jeune Matis sarrêta et jaugea la Matis du regards :
« Quest ce qui vous fait dire ça ».
La jeune Matis eu un sourire narquois :
« Vous parliez à voix haute messire, et je nai pu mempêcher de vous entendre. »
Le jeune Matis réfléchit, après tout, lavis extérieur dune jeune Matis pourrait peut être laidé ? e plus, il ne la connaissait pas, ce qui était un avantage, elle oublierait facilement son histoire et son visage.
Il lui raconta alors sa haine et son combat contre les autres peuples, que la jeune Matis partageait. Il lui avoua alors que la femme dont il était tombé amoureux était une Fyros :
« Abomination ! Etes vous sur de ne pas avoir reçu un coup sur la tête ? Tomber amoureux de cette créature laide et puante ? »
Les yeux du Matis sembrasèrent alors de colère, et ce fut comme si son corps était habité par une autre personne.
« Hors de ma vue ! Je ne tolèrerait pas de telles paroles envers ma Belle ! » cria t il.
Il partit alors à grandes enjambés, laissant la jeune Matis cloué au sol devant une telle colère si soudaine. Il allait en direction du bar, prendre un verre dont il avait tant besoin, lorsque il croisa son vieil ami. Il sempoignèrent à la façon de deux frères darmes, plus de façon fraternel que guerrière :
« Viens, allons boire un verre dans le hall de ma guilde, tu as lair fatigué et jen profiterais pour te présenter aux autres. »
Les deux amis prirent alors la direction de ce qui allait devenir peut être mon nouveau foyer. Si lon macceptait ..
/HRP Désolé de la tartine, mais comme cela a été vécu IG, j'avais envie d'y entrer dans les détails et surtout remercié la jeune Matis d'Alkiane qui c'est prêté au jeu spontanément
Last edited by macar on Mon May 16, 2005 12:01 pm, edited 1 time in total.
Re: [BG][MATIS] - Il n'y a qu'un pas entre l'amour et la haine ...
[HRP] encore d'autres merveilleuses "tartines" comme ça, c'est magnifique!!! [/quote]
"La Vie est un cadeau"
Psychée Aquilon Alanowë, la Zoraï Blanche, Fille de Liandra d'Alanowë
Membre des Libres Frontaliers
Sites persos:
www.psychee.org
Artbook Psychee
Artbook Ryzom comic project
Psychée Aquilon Alanowë, la Zoraï Blanche, Fille de Liandra d'Alanowë
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Re: [BG][MATIS] - Il n'y a qu'un pas entre l'amour et la haine ...
/HRP
Venant de toi, c'est un honneur
EDIT : grosse faute de frappe de clavier
Venant de toi, c'est un honneur
EDIT : grosse faute de frappe de clavier
Last edited by macar on Mon May 16, 2005 4:07 pm, edited 1 time in total.
Re: [BG][MATIS] - Il n'y a qu'un pas entre l'amour et la haine ...
.
Wong Fei-Hung aimait la forêt presque autant que la Jungle.
Ses visites à Yrkanis étaient de plus en plus nombreuses, ses connaissances aussi. il s'était résolu à y faire quelques affaires et pouvait même y compter quelques amis, plus ouverts que la plupart des ses frères et soeurs , des Jardins.
Oh bien sûr, ce jour la, aprés avoir réglé une grosse commande de diverses matières à une foreuse Matis, il avait été pris à parti comme d'habitude par des homins plus méfiants que d'autres, mais ceci lui semblait normal... Un bon exercice se disait-il...Wu-Song lui même avait dû faire face aux incompréhensions, peurs ou même insultes, et Wong devenait de plus en plus doué dans l'art de retourner les situations avec humour pour désamorcer les conflits...
Assis devant l'étable de la Cité-Arbre, attendant son ami chasseur, il vit arriver un Matis, mal en point, l'air hagard, visiblement chamboulé qui se parlait tout haut à lui même. Un garde à l'entrée le prit pour un vagabond et tenta de le stopper...Aprés de brêves explications, le garde zélé se ravisa, soudainement impressionné et le laissa passer.
Il frôla Wong sans s'en rendre compte et celui-ci entendit la teneur de son tourment. Il se leva pour lui parler mais une jeune et belle Matis fut plus prompte et le Zorai se ravisa, préférant se rasseoir et écouter de loin...
Il connaissait cette situation, même s'il l'avait mieux vécue, mais se retint de venir conseiller le Matis troublé, qui, à son avis n'avait pas besoin d'y rajouter un grand bleu.
« Abomination ! Etes vous sur de ne pas avoir reçu un coup sur la tête ? Tomber amoureux de cette créature laide et puante ?"
Ces mots scélèrent leur conversation et Wong sentit l'amoureux transit frémir et rejeter la jeune Matis à l'écoute.
"Tant de soucis pour un sentiment aussi léger que l'amour"
pensa-t-il. "...comme c'est dommage"
Se retournant,il sourit à son amie affairée à fabriquer divers objets, trop concentrée pour le voir...Il la savait heureuse et aprés tout...n'étais-ce pas le plus important?
.
Wong Fei-Hung aimait la forêt presque autant que la Jungle.
Ses visites à Yrkanis étaient de plus en plus nombreuses, ses connaissances aussi. il s'était résolu à y faire quelques affaires et pouvait même y compter quelques amis, plus ouverts que la plupart des ses frères et soeurs , des Jardins.
Oh bien sûr, ce jour la, aprés avoir réglé une grosse commande de diverses matières à une foreuse Matis, il avait été pris à parti comme d'habitude par des homins plus méfiants que d'autres, mais ceci lui semblait normal... Un bon exercice se disait-il...Wu-Song lui même avait dû faire face aux incompréhensions, peurs ou même insultes, et Wong devenait de plus en plus doué dans l'art de retourner les situations avec humour pour désamorcer les conflits...
Assis devant l'étable de la Cité-Arbre, attendant son ami chasseur, il vit arriver un Matis, mal en point, l'air hagard, visiblement chamboulé qui se parlait tout haut à lui même. Un garde à l'entrée le prit pour un vagabond et tenta de le stopper...Aprés de brêves explications, le garde zélé se ravisa, soudainement impressionné et le laissa passer.
Il frôla Wong sans s'en rendre compte et celui-ci entendit la teneur de son tourment. Il se leva pour lui parler mais une jeune et belle Matis fut plus prompte et le Zorai se ravisa, préférant se rasseoir et écouter de loin...
Il connaissait cette situation, même s'il l'avait mieux vécue, mais se retint de venir conseiller le Matis troublé, qui, à son avis n'avait pas besoin d'y rajouter un grand bleu.
« Abomination ! Etes vous sur de ne pas avoir reçu un coup sur la tête ? Tomber amoureux de cette créature laide et puante ?"
Ces mots scélèrent leur conversation et Wong sentit l'amoureux transit frémir et rejeter la jeune Matis à l'écoute.
"Tant de soucis pour un sentiment aussi léger que l'amour"
pensa-t-il. "...comme c'est dommage"
Se retournant,il sourit à son amie affairée à fabriquer divers objets, trop concentrée pour le voir...Il la savait heureuse et aprés tout...n'étais-ce pas le plus important?
.
Re: [BG][MATIS] - Il n'y a qu'un pas entre l'amour et la haine ...
-hrp-
Je saurai qui tu es ...
Je saurai qui tu es ...
Re: [BG][MATIS] - Il n'y a qu'un pas entre l'amour et la haine ...
Le jeune Matis retira ces habits et sallongea dans un lit confortable. La guilde de son vieil ami lui avait offert le gite et le couvert. Alors quil regardait les étoiles par la fenêtre, il repensait à létrange façon dont il avait été acceuilli au sein de cette guilde. Quelques heures plutot, il avait été présenté à différents membres de cette guilde, composé essentiellement de Matis. Il leur avait exposé son Malheur. A sa grande surprise, il ne fut pas éjecté de la guilde comme un malpropre, il avait même été écouté dune oreille conciliante !
Certains lui avaient exposé leur point de vue sur le sujet mais tout en restant poli. On lui avait même indiqué quune Fyros qui était incorporé à leur guilde avait vécu un paradoxe semblable. A ces mots, une certaine répugnance sempara du Matis ? Cotoyé une Fyros Quel horreur ! Et que dirait ses pairs ? Mais il garda pour lui ces remarques, car son vieil ami était un charmeur illuminé et il lappréciait beaucoup. Il ne voulait pas loffenser et attirer la honte sur son vieil ami en claquant la porte de cette guilde alors quil avait été acceuilli chaleureusement. Il tenterait déviter cette « chose » dans les couloirs du hall
A cette pensée, il sourit intérieurement Ô Jena, que de conflits lhabitait !
Il aimait éperdument La Fyros, mais il détestait celle de cette guilde sans même lavoir vu, il détestait dailleur tout les autres peuples autres que le sien. Il était également étonné par tant de disparité au sein de son peuple : lorsquil comparait le Cercle et la guilde de son vieil ami, tout les opposaient, et pourtant tout les rassemblaient comme si Il narrivait pas à définir cette étrange sentiment. Il préféra mettre ces observations de coté, car il avait eu une longue journée, et sendormit.
« Quel est cette chaleur douce et maternel ? »
« Je me sens en paix ici, où suis-je ? »
Il explorait sa vision, des couleurs chaudes et paisibles lentouraient. Il se concentra et distingua des voiles de satins rouges qui flottaient tout autour de lui. Il était dans un couloir, il le sentait, pourtant aucun mur ne lentourait. Il vit une forme se dessiner derrière un voile, et une douce mélopée laccompagnait et lattirait vers elle. Son corps ne pouvait y résister. Pourtant plus il sapprochait et plus la forme séloignait. Il se mit à courir et lombre disparu.
Sortant dun voile, deux bras nu lattrapèrent et lentourèrent, restant dos au Matis. Mais il ne ressenti ni peur ni angoisse, bien au contraire, il se sentit plein dune nouvelle énergie et lexcitation le gagnait alors ! Son cur battait la chamade, il nosait ce retourner. Il sentit que lombre le prenait par la main et lentrainait. Il narrivait pas a distinguer la forme parmi les voiles, il ne sentait que cette main dans la sienne.
Il fut entrainé dans une pièce, où seul une étoile semblait léclairer. Il se coucha alors, sentit lherbe acceuillir son corps et il sentit un doux parfum enivrer ses sens. Il ferma les yeux. La douce chaleur dun corps vint alors se blottir contre le sien. Il était bien, en paix avec lui-même. Ce corps appartenait à son Apparition, il le devinait. Mais il nosait pas ouvrir les yeux.
« Pourquoi maimes tu alors que tu voues tas vie à éradiquer les miens ? » souffla t elle.
Il se réveilla en sursaut, le corps transpirant. Il se recroquevilla et mit sa tête entre ses jambes.
« Même moi mon Aimée, je narrive pas a comprendre pourquoi ! » murmura t il. Puis il se mit à pleurer.
Certains lui avaient exposé leur point de vue sur le sujet mais tout en restant poli. On lui avait même indiqué quune Fyros qui était incorporé à leur guilde avait vécu un paradoxe semblable. A ces mots, une certaine répugnance sempara du Matis ? Cotoyé une Fyros Quel horreur ! Et que dirait ses pairs ? Mais il garda pour lui ces remarques, car son vieil ami était un charmeur illuminé et il lappréciait beaucoup. Il ne voulait pas loffenser et attirer la honte sur son vieil ami en claquant la porte de cette guilde alors quil avait été acceuilli chaleureusement. Il tenterait déviter cette « chose » dans les couloirs du hall
A cette pensée, il sourit intérieurement Ô Jena, que de conflits lhabitait !
Il aimait éperdument La Fyros, mais il détestait celle de cette guilde sans même lavoir vu, il détestait dailleur tout les autres peuples autres que le sien. Il était également étonné par tant de disparité au sein de son peuple : lorsquil comparait le Cercle et la guilde de son vieil ami, tout les opposaient, et pourtant tout les rassemblaient comme si Il narrivait pas à définir cette étrange sentiment. Il préféra mettre ces observations de coté, car il avait eu une longue journée, et sendormit.
« Quel est cette chaleur douce et maternel ? »
« Je me sens en paix ici, où suis-je ? »
Il explorait sa vision, des couleurs chaudes et paisibles lentouraient. Il se concentra et distingua des voiles de satins rouges qui flottaient tout autour de lui. Il était dans un couloir, il le sentait, pourtant aucun mur ne lentourait. Il vit une forme se dessiner derrière un voile, et une douce mélopée laccompagnait et lattirait vers elle. Son corps ne pouvait y résister. Pourtant plus il sapprochait et plus la forme séloignait. Il se mit à courir et lombre disparu.
Sortant dun voile, deux bras nu lattrapèrent et lentourèrent, restant dos au Matis. Mais il ne ressenti ni peur ni angoisse, bien au contraire, il se sentit plein dune nouvelle énergie et lexcitation le gagnait alors ! Son cur battait la chamade, il nosait ce retourner. Il sentit que lombre le prenait par la main et lentrainait. Il narrivait pas a distinguer la forme parmi les voiles, il ne sentait que cette main dans la sienne.
Il fut entrainé dans une pièce, où seul une étoile semblait léclairer. Il se coucha alors, sentit lherbe acceuillir son corps et il sentit un doux parfum enivrer ses sens. Il ferma les yeux. La douce chaleur dun corps vint alors se blottir contre le sien. Il était bien, en paix avec lui-même. Ce corps appartenait à son Apparition, il le devinait. Mais il nosait pas ouvrir les yeux.
« Pourquoi maimes tu alors que tu voues tas vie à éradiquer les miens ? » souffla t elle.
Il se réveilla en sursaut, le corps transpirant. Il se recroquevilla et mit sa tête entre ses jambes.
« Même moi mon Aimée, je narrive pas a comprendre pourquoi ! » murmura t il. Puis il se mit à pleurer.
Last edited by macar on Mon May 16, 2005 4:05 pm, edited 1 time in total.
Re: [BG][MATIS] - Il n'y a qu'un pas entre l'amour et la haine ...
Le sceau le démangeait. Des plaques rouges étaient apparu partout sur son corps, il était fièvreux. Son corps ne supportait plus son esprit.
Il savait pourquoi. Lheure approchait.
Il se rendit à lArbre-Sève, lieu Sacro-Saint pour lui. A lentrée, les gardes le dévisagèrent avec dégout, mais ce soir, peu lui importait, il devait voir absolument Liniado.
Lun des gardes lui demanda de patienté, il allait voir si le Gardien des Secrets accèderait à la requête du jeune Matis. La confusion et limpatience du jeune Matis amusait les gardes, car ils savaient pourquoi il était là, et les gardaientse délectaient de voir un cadet montré son impatience, symbole de faiblesse au Cercle. Le garde réapparu.
« Entre cadet, le Gardien conçant à te recevoir ».
Le jeune Matis emboita le pas au garde. Il lui semblait que son escorte prenait un malin plaisir à avancer avec lenteur alors que lui-même était pressé. Il parcourèrent le couloir si bien connu des cadets, où reposait les fresques retraçant lhistoire du Cercle quy avaient pu être sauvé du Grand Essaim. Ils arrivèrent alors devant la porte du Gardien.
« Entre, il tattend ».
Le jeune Matis prit le tend de réajuster ses vêtements et entra. Liniado lattendait, assis derrière son bureau, un verre à la main.
« Assis toi, je ten pris »
Le Gardien désigna une lourde chaise, près du feu. Le jeune Matis alla sasseoir.
« Tu es la pour le sceau, je suppose ? ».
Le jeune matis baissa les yeux : « Oui »
« Tu sais ce que cela signifie si le sceau cest activé ? »
La question fut posée plus pour la forme, car tout les cadets connaissaient dès leur entrée au Cercle ce que représentait lapposition du sceau.
« Oui, je dois réalisé ma ricerca ou périr ».
« Cest cela. Demain soir, lorsque tu entendra lappelle de la Forêt, rend toi au cercle initiatique, le Maestro tattendra pour ténoncé ta ricerca. Arme toi de courage et de force, car ce a quoi tu es destiné est important. »
« Es tu sur que le Maestro sera la ? Ne lai-je pas déçu ? ».
Liniado senfonça alors dans sa chaise, et son visage prit un air compatissant.
« Ecoute moi bien, ton père était lun des Matis les plus brillants que jai pu rencontré. A sa mort, le Cercle fut plongé dans le chaos le plus total, car cest lun des Maestro les plus prometteur que nous avions eu depuis des éons. Tu nétais encore quun adolescent à cette époque, ce fut ton grand père qui repris alors les rênes du pouvoir, quil avait donné a ton père quelques années plutot. Son vu le plus cher est de pouvoir te les transmettre à toi, son unique petit fils. Il sera là. Mais sache que vu ton entêtement à désirer cette Fyros, la ricerca quy tincombera nen sera que plus dure. »
A ces mots, Liniado se leva et alla en direction de la cheminé.
« Je sais que cela te semble absurde, mais dans un certain sens, je te comprend. Javais aimé une jeune Matis, belle comme le jour et je désirais lépousé mais je nai jamais pu. »
Le jeune Matis se redressa, soudain attentif. Liniado navait pour habitude de ne jamais parler de lui, ce nest pas pour rien quil avait été désigné Gardien des Secrets.
« Que Enfin, si je peux me permettre, que lui est il arrivé ? » balbutia-t-il.
« Ton père la fait exécuté, elle avait des idées dangeureuses. Elle sétait pris damitié pour le peuple Tryker. »
A ces mots, le visage de Liniado pris des traits tendus. Le jeune Matis ne préféra ne pas sétendre sur le sujet.
« Je serais au rendez vous. »
« Alors va, retourne voir tes amis, et prie Jena te taccorder son attention lors de ta ricerca. Passe à larmurerie prendre le bouclier initiatique, prévu à ton seul usage depuis ta venu au monde.»
Liniado avait dit ces quelques mots le regards plongé dans les flammes, une extrême concentration se lisant sur son visage.
Le jeune Matis salua et se rendit à larmurerie. Ontoniado était fidèle à son poste. Le vieil armurier sourit en voyant le Matis :
« Salut gamin, que viens tu faire ici ? »
A ces mots, le jeune Matis sourit. On avait toujours reproché au viel homin son franc parlé non-conformiste.
« Je suis venu prendre possession de mon bouclier ».
Le sourire de larmurier sélargit.
« Je vais te le chercher. »
Le vieil homin sapprocha alors dun coffre, sculté à même lArbre Seve. Il en sorti un sac énorme. Le jeune Matis vu combien Ontoniado était à la fois ému et fier de sortir le bouclier du sac. Ce bouclier était le symbole du passage initiatique de la famille régnante des Maestros. Larmoirie apposé sur le bouclier était un Scarabbé, symbole de force et de majesté.
« Prends en soin, ce bouclier est unique, il est le symbole de ta famille depuis bien des générations »
« Je le sais ».
Le jeune Matis préféra concervé le bouclier dans le sac, pour ne pas attiré les regards indiscrets. Il reparti alors de lArbre Seve, le cur gros. Il y était toujours indésirable. Mais peu lui importait, son vieil ami prenait soin de lui, et les Matis de la guilde lui était sympathique. Bien quil regretta que lon y acceptait certaines aberrations.
Il savait pourquoi. Lheure approchait.
Il se rendit à lArbre-Sève, lieu Sacro-Saint pour lui. A lentrée, les gardes le dévisagèrent avec dégout, mais ce soir, peu lui importait, il devait voir absolument Liniado.
Lun des gardes lui demanda de patienté, il allait voir si le Gardien des Secrets accèderait à la requête du jeune Matis. La confusion et limpatience du jeune Matis amusait les gardes, car ils savaient pourquoi il était là, et les gardaientse délectaient de voir un cadet montré son impatience, symbole de faiblesse au Cercle. Le garde réapparu.
« Entre cadet, le Gardien conçant à te recevoir ».
Le jeune Matis emboita le pas au garde. Il lui semblait que son escorte prenait un malin plaisir à avancer avec lenteur alors que lui-même était pressé. Il parcourèrent le couloir si bien connu des cadets, où reposait les fresques retraçant lhistoire du Cercle quy avaient pu être sauvé du Grand Essaim. Ils arrivèrent alors devant la porte du Gardien.
« Entre, il tattend ».
Le jeune Matis prit le tend de réajuster ses vêtements et entra. Liniado lattendait, assis derrière son bureau, un verre à la main.
« Assis toi, je ten pris »
Le Gardien désigna une lourde chaise, près du feu. Le jeune Matis alla sasseoir.
« Tu es la pour le sceau, je suppose ? ».
Le jeune matis baissa les yeux : « Oui »
« Tu sais ce que cela signifie si le sceau cest activé ? »
La question fut posée plus pour la forme, car tout les cadets connaissaient dès leur entrée au Cercle ce que représentait lapposition du sceau.
« Oui, je dois réalisé ma ricerca ou périr ».
« Cest cela. Demain soir, lorsque tu entendra lappelle de la Forêt, rend toi au cercle initiatique, le Maestro tattendra pour ténoncé ta ricerca. Arme toi de courage et de force, car ce a quoi tu es destiné est important. »
« Es tu sur que le Maestro sera la ? Ne lai-je pas déçu ? ».
Liniado senfonça alors dans sa chaise, et son visage prit un air compatissant.
« Ecoute moi bien, ton père était lun des Matis les plus brillants que jai pu rencontré. A sa mort, le Cercle fut plongé dans le chaos le plus total, car cest lun des Maestro les plus prometteur que nous avions eu depuis des éons. Tu nétais encore quun adolescent à cette époque, ce fut ton grand père qui repris alors les rênes du pouvoir, quil avait donné a ton père quelques années plutot. Son vu le plus cher est de pouvoir te les transmettre à toi, son unique petit fils. Il sera là. Mais sache que vu ton entêtement à désirer cette Fyros, la ricerca quy tincombera nen sera que plus dure. »
A ces mots, Liniado se leva et alla en direction de la cheminé.
« Je sais que cela te semble absurde, mais dans un certain sens, je te comprend. Javais aimé une jeune Matis, belle comme le jour et je désirais lépousé mais je nai jamais pu. »
Le jeune Matis se redressa, soudain attentif. Liniado navait pour habitude de ne jamais parler de lui, ce nest pas pour rien quil avait été désigné Gardien des Secrets.
« Que Enfin, si je peux me permettre, que lui est il arrivé ? » balbutia-t-il.
« Ton père la fait exécuté, elle avait des idées dangeureuses. Elle sétait pris damitié pour le peuple Tryker. »
A ces mots, le visage de Liniado pris des traits tendus. Le jeune Matis ne préféra ne pas sétendre sur le sujet.
« Je serais au rendez vous. »
« Alors va, retourne voir tes amis, et prie Jena te taccorder son attention lors de ta ricerca. Passe à larmurerie prendre le bouclier initiatique, prévu à ton seul usage depuis ta venu au monde.»
Liniado avait dit ces quelques mots le regards plongé dans les flammes, une extrême concentration se lisant sur son visage.
Le jeune Matis salua et se rendit à larmurerie. Ontoniado était fidèle à son poste. Le vieil armurier sourit en voyant le Matis :
« Salut gamin, que viens tu faire ici ? »
A ces mots, le jeune Matis sourit. On avait toujours reproché au viel homin son franc parlé non-conformiste.
« Je suis venu prendre possession de mon bouclier ».
Le sourire de larmurier sélargit.
« Je vais te le chercher. »
Le vieil homin sapprocha alors dun coffre, sculté à même lArbre Seve. Il en sorti un sac énorme. Le jeune Matis vu combien Ontoniado était à la fois ému et fier de sortir le bouclier du sac. Ce bouclier était le symbole du passage initiatique de la famille régnante des Maestros. Larmoirie apposé sur le bouclier était un Scarabbé, symbole de force et de majesté.
« Prends en soin, ce bouclier est unique, il est le symbole de ta famille depuis bien des générations »
« Je le sais ».
Le jeune Matis préféra concervé le bouclier dans le sac, pour ne pas attiré les regards indiscrets. Il reparti alors de lArbre Seve, le cur gros. Il y était toujours indésirable. Mais peu lui importait, son vieil ami prenait soin de lui, et les Matis de la guilde lui était sympathique. Bien quil regretta que lon y acceptait certaines aberrations.