L'histoire de Furtis
Posted: Thu Jan 20, 2005 2:43 pm
Cétait un magnifique soir dété, il faisait chaud. Une légère brise soufflait et rendait la température agréable.La nuit venait de tomber sur Yrkanis, Hyacynte et Furtis avaient décidé de passer une soirée tranquille en amoureux au coin du feu, loin de la guerre, loin des kitins
Furtis sassis, il était épuisé après une dure journée de combat où il avait vu bon nombres dhomins succombés sous lécrasante masse kitin.
Hyacynte mis sa tête contre son épaule. Ils se connaissaient tout juste depuis une semaine, ainsi elle décida den apprendre plus sur lhomin qui lavait séduite.
H : « Furtis ? »
F : « Oui mon amour. »
H : « Pus-je te poser une question ? »
F : « Oui, je ten prie. »
H : « Jaimerais en savoir plus sur toi »
F : « En savoir plus sur moi ? »
H : « Oui, pourquoi es-tu devenu un serviteur de la Karavan alors que ton peuple sert les Kamis ? Et connaître ton histoire, car je te lavoue, je te trouve mystérieux »
F : « Je me doutais que tu me poserais la question un jour »
H : « Si tu ne veux pas en parler, je comprendrai. »
F : « Tu sais que je nai pas de secret pour toi, je vais donc texpliquer les raisons qui mont poussé vers Jena et la Karavan, mais pour cela, il faut que je commence lhistoire depuis le début. »
Furtis pris une bûche et la jeta dans le feu, on entendait au loin le cri des troupeaux de Bodocs. Hyacynte regardait Futis très attentivement.
F : « Je suis né dune union entre un fyros et une matis, mon père était un puissant mage qui voyageait autour de lEcorce. Lui et ses amis sétaient un jour rendu à Melanar pour quelques jours de chasse dans la forêt, ils en avaient marre du désert
Arrivant à l'ancienne capitale matis, ils virent au loin un groupe de chasseur en difficulté. Mon père courut aussi vite quil pouvait afin de secourir ces malheureux. Arrivé sur place, il lança quelques sorts et fit partir les varinx. Le groupe de guerriers était mal au point et certains perdaient énormément de sève, mon père et ses amis les soignèrent. Les guerriers, enlevèrent leur casque pour remercier ces nobles mages fyros qui les avaient sauvés dune mort certaine. Parmi eux, ils y avaient une homine, dès quelle enleva son casque, mon père aperçu une ravissante matis gracieuse et souriante. Elle le regarda longuement et finit par se présenter :
« Je suis Talianha Derksis, fille de Cliv Derksis. Je vous remercie vous et vos amis pour nous avoir sauvés. »
« Ce fut un plaisir de vous venir en aide. En ne faisant rien, nous aurions laissés mourir une charmant homine » Talianha rougit
F : « Ce jour là se fut le coup de foudre. Peu de temps après ils décidèrent de se marier et de partir vivre dans la capital fyros car mon père avait bon nombre de client là-bas. Une année passa et je vînt au monde, à ma naissance ils décidèrent de me donner le nom de mon grand-père, Furtis. Un guerrier qui sétait illustré pour avoir vaillamment servi lEmpereur.
Mon père lui ne servait personne, il ne vivait que pour sa famille et lui-même.
Les fyros de lépoque ne voyaient pas cette union dun bon il et je tavoue avoir eu peu damis lors de mon enfance. Jétais moitié fyros, moitié matis et certains ne supportaient pas cela. Jai grandi dans la plus grande solitude, je jouais seul dans le désert et courais derrière les capirinys et les yubos.
Lannée de mes 10 ans fut sans doute la plus terrible de ma vie. Mon père décida un jour de traverser le pays fyros, il souhaitait montrer à ma mère et moi même quelques endroits merveilleux. Nous partîmes un matin de bonne heure pour éviter la chaleur du désert. Après quelques heures de marche, mon père décida de sarrêter pour une courte pause. Nous bûmes un peu deau et nous reposâmes quelques minutes, la chaleur commençait à se faire sentir. Soudain mon père cria : »
« Patrouille kitin au loin ! »
F : « La patrouille avançait dangereusement en notre direction, il ne leur faudrait que peu de temps avant darriver à nous. Mon père avait appris un sort spécial chez un vieux sage fyros, un sort de téléportation courte distance. Il lutilisa sur moi, je fus téléporté 100 m plus loin. La patrouille arriva à quelques mètre de mes parents, mon père comença le combat aussitôt rejoins par ma mère. Il y avait environ une vingtaine de kitins donc quelques suprêmes. Il en tua 5, ma mère se débroullait très bien de son côté, il tomba un à un. Mais une kitin arriva derrière mon père et lassoma. Les autres profitèrent de cet instant pour lachever »
La voix de Furtis devint tremblante, il était dur pour lui de se remémorer ces terribles instants qui avaient fait basculer sa vie.
Y : « Tu vas bien mon amour ? Il vaudrait mieux que tu arrêtes cela, ton te fais du mal. »
F : « Il est vrai que ces instants sont douloureux mais je tiens à finir mon histoire »
Furtis prit une bonne bouffée dair et continua son récit.
F : « Donc je disais que mon père était tombé. Ma mère lorsquelle vit cela fut prise de colère et tua le reste de la patrouille, la haine lavait envahie et plus rien ne pouvait larrêter Elle sagenouilla devant le corps inerte de mon père et ne put retenir longtemps ses larmes. Elle était si désemparée et si triste, je voulus la rejoindre mais une autre patrouille sapprochait, sûrement appelée par les autres kitins. Je lui criai :
« Attention mère, ils arrivent, vite va-t-en ! »
F : « Elle me regarda une dernière fois, me sourit et se retourna face aux kitins. Ils étaient trop nombreux et ne put résister longtemps Je venais de voir disparaître mon père et ma mère, je tombai à terre et commençai à pleurer, pourquoi le sort sétait-il acharné sur nous ? Je ne comprenais pas, pourquoi nous ? Pourquoi maintenant ? Une silhouette apparut au loin, je narrivais pas à voir qui approchait. Des kitins ? encore Et non, je fus surpris en voyant un convoi de kamis ! Ils avançaient dans le désert je ne sais pour quelle raison, mais à ce moment, il y avait une lueur despoir, les kamis pouvaient sauver mes parents ! Mais à ma grande surprise, ils passèrent à côtés sans rien faire, ils sarrêtèrent, regardèrent les corps gisant à terre mais ne firent rien.
H : « Mais pourquoi cela ? »
F : « Mes parents étant de cultures différentes avaient décidé de ne vénérer ni Jena, ni Ma-Duk. Ce jour-là, je découvris la vrai nature de kamis, ils avaeint refusé de venir en aident à mes parents parce quils ne voulaient pas les vénérer Je fus outré par leur comportement. Je partis en courant dans le désert, pleurant de tristesse, de rage
Le soleil tapait fort et la chaleur devenait insoutenable. Après quelques instants de course, je mévanouis et tombais à terre.
Je me suis réveillé plus tard, je ne pourrais pas dire combien de temps après dans un endroit étrange Il y avait des personnes vêtues de noire, et dautres de rouge. Ils portaient tous des masques fait dune matière qui métaient inconnu. Lun dentre eux vit que je métais réveillé et vînt à moi :
« Bonjour Furtis, comment te sens-tu ? »
F :« C..c comment savez-vous mon nom ? Qui êtes-vous ? »
« Nous sommes les serviteurs de Jena et nous connaissons le nom de chaque homins qui peuplent Atys. Nous tavons trouvé dans le désert, tu gisais à terre et tu allais mourir. Nous avons donc décidé de temmener avec nous afin de te soigner. »
Je les remerciai pour mavoir secouru dans le désert.
« Es-tu un disciple de Jena ? »
A lépoque je ne servai pas encore Jena et la Karavan.
« Nous pourrions tenseigner le culte de Jena si tu es daccord ? »
Je leur dis que ça serait avec plaisir que jhonorerai Jena, elle qui mavait sauvé dune mort certaine.
Jai donc passé quelques temps avec la Karavan et ai appris comment servir Jena. Ensuite, la Karavan décida de mon déposer dans un camp de réfugiés fyros pour enseigner aux autres mon savoir.
H : « Tu as vu leurs visages ? »
F : « Non, jamais. Ils sont toujours restés aussi mystérieux mais je sais quils ont de bonnes intentions. Depuis ce tragique épisode, je me suis juré de ne jamais servir les Kamis. Eux qui ont laissé mourir mes parents je ne pourrai jamais leur pardonner. Si les kamis étaient aussi bienveillants quon le dit, ils auraient aidé mes parents. Je jure devant Jena quun jour jaurai ma vengeance pour la mémoire de mes parents !!! Je le jure ! Un jour ils paieront !»
Furtis se leva et regarda Hyacynte . Elle savait désormais pourquoi il était aussi fidèle à la Karavan et à Jena. Elle comprenait les raisons qui lavaient pousseés à renier les kamis et pourquoi aujourdhui il se battait aux côtés de la Karavan.
Certains fyros prenait Furtis pour un traître, mais sils avaient su cela, ils lauraient peut-être jugé autrement.
Le jour commençait à se lever, ils décidèrent tous deux de retourner sur le front car même si Furtis ressentait une profonde haine pour les kamis. Ils navaient pas oublié que les kitins aussi avaient détruit sa jeunesse. Furtis prit sa hache et repartit sur le front.
/HRP
Cest mon 1er essai de RP, désolé pour lorthographe et déventuelles fautes historiques
HRP/
Hyacynte mis sa tête contre son épaule. Ils se connaissaient tout juste depuis une semaine, ainsi elle décida den apprendre plus sur lhomin qui lavait séduite.
H : « Furtis ? »
F : « Oui mon amour. »
H : « Pus-je te poser une question ? »
F : « Oui, je ten prie. »
H : « Jaimerais en savoir plus sur toi »
F : « En savoir plus sur moi ? »
H : « Oui, pourquoi es-tu devenu un serviteur de la Karavan alors que ton peuple sert les Kamis ? Et connaître ton histoire, car je te lavoue, je te trouve mystérieux »
F : « Je me doutais que tu me poserais la question un jour »
H : « Si tu ne veux pas en parler, je comprendrai. »
F : « Tu sais que je nai pas de secret pour toi, je vais donc texpliquer les raisons qui mont poussé vers Jena et la Karavan, mais pour cela, il faut que je commence lhistoire depuis le début. »
Furtis pris une bûche et la jeta dans le feu, on entendait au loin le cri des troupeaux de Bodocs. Hyacynte regardait Futis très attentivement.
F : « Je suis né dune union entre un fyros et une matis, mon père était un puissant mage qui voyageait autour de lEcorce. Lui et ses amis sétaient un jour rendu à Melanar pour quelques jours de chasse dans la forêt, ils en avaient marre du désert
Arrivant à l'ancienne capitale matis, ils virent au loin un groupe de chasseur en difficulté. Mon père courut aussi vite quil pouvait afin de secourir ces malheureux. Arrivé sur place, il lança quelques sorts et fit partir les varinx. Le groupe de guerriers était mal au point et certains perdaient énormément de sève, mon père et ses amis les soignèrent. Les guerriers, enlevèrent leur casque pour remercier ces nobles mages fyros qui les avaient sauvés dune mort certaine. Parmi eux, ils y avaient une homine, dès quelle enleva son casque, mon père aperçu une ravissante matis gracieuse et souriante. Elle le regarda longuement et finit par se présenter :
« Je suis Talianha Derksis, fille de Cliv Derksis. Je vous remercie vous et vos amis pour nous avoir sauvés. »
« Ce fut un plaisir de vous venir en aide. En ne faisant rien, nous aurions laissés mourir une charmant homine » Talianha rougit
F : « Ce jour là se fut le coup de foudre. Peu de temps après ils décidèrent de se marier et de partir vivre dans la capital fyros car mon père avait bon nombre de client là-bas. Une année passa et je vînt au monde, à ma naissance ils décidèrent de me donner le nom de mon grand-père, Furtis. Un guerrier qui sétait illustré pour avoir vaillamment servi lEmpereur.
Mon père lui ne servait personne, il ne vivait que pour sa famille et lui-même.
Les fyros de lépoque ne voyaient pas cette union dun bon il et je tavoue avoir eu peu damis lors de mon enfance. Jétais moitié fyros, moitié matis et certains ne supportaient pas cela. Jai grandi dans la plus grande solitude, je jouais seul dans le désert et courais derrière les capirinys et les yubos.
Lannée de mes 10 ans fut sans doute la plus terrible de ma vie. Mon père décida un jour de traverser le pays fyros, il souhaitait montrer à ma mère et moi même quelques endroits merveilleux. Nous partîmes un matin de bonne heure pour éviter la chaleur du désert. Après quelques heures de marche, mon père décida de sarrêter pour une courte pause. Nous bûmes un peu deau et nous reposâmes quelques minutes, la chaleur commençait à se faire sentir. Soudain mon père cria : »
« Patrouille kitin au loin ! »
F : « La patrouille avançait dangereusement en notre direction, il ne leur faudrait que peu de temps avant darriver à nous. Mon père avait appris un sort spécial chez un vieux sage fyros, un sort de téléportation courte distance. Il lutilisa sur moi, je fus téléporté 100 m plus loin. La patrouille arriva à quelques mètre de mes parents, mon père comença le combat aussitôt rejoins par ma mère. Il y avait environ une vingtaine de kitins donc quelques suprêmes. Il en tua 5, ma mère se débroullait très bien de son côté, il tomba un à un. Mais une kitin arriva derrière mon père et lassoma. Les autres profitèrent de cet instant pour lachever »
La voix de Furtis devint tremblante, il était dur pour lui de se remémorer ces terribles instants qui avaient fait basculer sa vie.
Y : « Tu vas bien mon amour ? Il vaudrait mieux que tu arrêtes cela, ton te fais du mal. »
F : « Il est vrai que ces instants sont douloureux mais je tiens à finir mon histoire »
Furtis prit une bonne bouffée dair et continua son récit.
F : « Donc je disais que mon père était tombé. Ma mère lorsquelle vit cela fut prise de colère et tua le reste de la patrouille, la haine lavait envahie et plus rien ne pouvait larrêter Elle sagenouilla devant le corps inerte de mon père et ne put retenir longtemps ses larmes. Elle était si désemparée et si triste, je voulus la rejoindre mais une autre patrouille sapprochait, sûrement appelée par les autres kitins. Je lui criai :
« Attention mère, ils arrivent, vite va-t-en ! »
F : « Elle me regarda une dernière fois, me sourit et se retourna face aux kitins. Ils étaient trop nombreux et ne put résister longtemps Je venais de voir disparaître mon père et ma mère, je tombai à terre et commençai à pleurer, pourquoi le sort sétait-il acharné sur nous ? Je ne comprenais pas, pourquoi nous ? Pourquoi maintenant ? Une silhouette apparut au loin, je narrivais pas à voir qui approchait. Des kitins ? encore Et non, je fus surpris en voyant un convoi de kamis ! Ils avançaient dans le désert je ne sais pour quelle raison, mais à ce moment, il y avait une lueur despoir, les kamis pouvaient sauver mes parents ! Mais à ma grande surprise, ils passèrent à côtés sans rien faire, ils sarrêtèrent, regardèrent les corps gisant à terre mais ne firent rien.
H : « Mais pourquoi cela ? »
F : « Mes parents étant de cultures différentes avaient décidé de ne vénérer ni Jena, ni Ma-Duk. Ce jour-là, je découvris la vrai nature de kamis, ils avaeint refusé de venir en aident à mes parents parce quils ne voulaient pas les vénérer Je fus outré par leur comportement. Je partis en courant dans le désert, pleurant de tristesse, de rage
Le soleil tapait fort et la chaleur devenait insoutenable. Après quelques instants de course, je mévanouis et tombais à terre.
Je me suis réveillé plus tard, je ne pourrais pas dire combien de temps après dans un endroit étrange Il y avait des personnes vêtues de noire, et dautres de rouge. Ils portaient tous des masques fait dune matière qui métaient inconnu. Lun dentre eux vit que je métais réveillé et vînt à moi :
« Bonjour Furtis, comment te sens-tu ? »
F :« C..c comment savez-vous mon nom ? Qui êtes-vous ? »
« Nous sommes les serviteurs de Jena et nous connaissons le nom de chaque homins qui peuplent Atys. Nous tavons trouvé dans le désert, tu gisais à terre et tu allais mourir. Nous avons donc décidé de temmener avec nous afin de te soigner. »
Je les remerciai pour mavoir secouru dans le désert.
« Es-tu un disciple de Jena ? »
A lépoque je ne servai pas encore Jena et la Karavan.
« Nous pourrions tenseigner le culte de Jena si tu es daccord ? »
Je leur dis que ça serait avec plaisir que jhonorerai Jena, elle qui mavait sauvé dune mort certaine.
Jai donc passé quelques temps avec la Karavan et ai appris comment servir Jena. Ensuite, la Karavan décida de mon déposer dans un camp de réfugiés fyros pour enseigner aux autres mon savoir.
H : « Tu as vu leurs visages ? »
F : « Non, jamais. Ils sont toujours restés aussi mystérieux mais je sais quils ont de bonnes intentions. Depuis ce tragique épisode, je me suis juré de ne jamais servir les Kamis. Eux qui ont laissé mourir mes parents je ne pourrai jamais leur pardonner. Si les kamis étaient aussi bienveillants quon le dit, ils auraient aidé mes parents. Je jure devant Jena quun jour jaurai ma vengeance pour la mémoire de mes parents !!! Je le jure ! Un jour ils paieront !»
Furtis se leva et regarda Hyacynte . Elle savait désormais pourquoi il était aussi fidèle à la Karavan et à Jena. Elle comprenait les raisons qui lavaient pousseés à renier les kamis et pourquoi aujourdhui il se battait aux côtés de la Karavan.
Certains fyros prenait Furtis pour un traître, mais sils avaient su cela, ils lauraient peut-être jugé autrement.
Le jour commençait à se lever, ils décidèrent tous deux de retourner sur le front car même si Furtis ressentait une profonde haine pour les kamis. Ils navaient pas oublié que les kitins aussi avaient détruit sa jeunesse. Furtis prit sa hache et repartit sur le front.
/HRP
Cest mon 1er essai de RP, désolé pour lorthographe et déventuelles fautes historiques
HRP/