Re: Le Culte de Manda.
Posted: Wed Aug 24, 2005 11:49 pm
<Sentant la fumée blanche envahir son corps et son âme, Razyel vit son trouble disparaitre comme il était venu. Il regarda Eoia, puis d'un signe de la tête la remercia. L'air, remplie des senteurs de la fumée blanche, lui rappela les odeurs de son enfance, quand les plus anciens de sa tribu priaient les Kamis. A nouveau détendu et l'esprit clair, il dit:>
-Je ne dit pas le contraire ma soeur, moi aussi tous les jours je prie l'écorce et les êtres qui la peuple. Tous les jours je me léve et apporte des offrandes au Maitre Kami de Zora. Tous les jours je l'écoute rire et s'amuser du fourmillement des homins. Tous les jours j'essais de percevoir ,au travers de ces grands yeux, l'infini de l'énergie et de la sagesse de Ma-Duk. Atys n'est qu'une et nous ne faisons tous qu'un avec Atys.
<Il se mit à penser aux rituelles qu'il se devait de faire pour pouvoir progresser sur la voie du milieu. Chaque jour était une épreuve pour lui. Chaque jour était un pas en avant pour mieux comprendre et faire un avec l'écorce. Chaque jour a essayé de déchiffrer les paroles du grand Géniteur. Et aujourd'hui était un jour comme les autres, mais le doute sur les siens s'était emparé de lui et il devait avoir régresser dans son long cheminement vers le Nirvana.>
-Je me suis aussi emporté. Mais tout comme Pan à ces "passions", j'ai les miennes et pour moi il n'existe pas une maniére de suivre la voie du Mérite mais une multitude. Autant qu'il y a d'être vivant sur Atys, autant de voie existe.
<Il s'arréta pour regarder les réactions de ces frères et soeurs puis repris.>
-Le chemin est long, dur, fait de rencontre, mais toujour seul il doit se faire. Pour moi critiquer la voie qu'emprunte un frère, est aussi condamnable que les actes du gourou fou, qui gouverna jadis nos si belles contrées, en nous imposant le culte de Jena la sorcière.
<Il fixa sa soeur droit dans les yeux, un larme coula le long de son masque, il avait honte de sa faute, de son emportement.>
-Merci, grand merci, ma soeur de m'avoir fait retrouver mon calme, à partir de demain je commence un jeun de trois jours pour pouvoir expier mon erreur, comprendre et me retrouver. Que les Kamis vous illuminent de leurs sourires.
<Il se leva sans dire plus aucun mot, pour aller rejoindre le monastére, il avait assez perdu de temps. Avant de partir il salua son frère Asmir, et sa soeur Eoia, puis regarda, le coeur remplie de compassion, son frère Pan.>
-Je ne dit pas le contraire ma soeur, moi aussi tous les jours je prie l'écorce et les êtres qui la peuple. Tous les jours je me léve et apporte des offrandes au Maitre Kami de Zora. Tous les jours je l'écoute rire et s'amuser du fourmillement des homins. Tous les jours j'essais de percevoir ,au travers de ces grands yeux, l'infini de l'énergie et de la sagesse de Ma-Duk. Atys n'est qu'une et nous ne faisons tous qu'un avec Atys.
<Il se mit à penser aux rituelles qu'il se devait de faire pour pouvoir progresser sur la voie du milieu. Chaque jour était une épreuve pour lui. Chaque jour était un pas en avant pour mieux comprendre et faire un avec l'écorce. Chaque jour a essayé de déchiffrer les paroles du grand Géniteur. Et aujourd'hui était un jour comme les autres, mais le doute sur les siens s'était emparé de lui et il devait avoir régresser dans son long cheminement vers le Nirvana.>
-Je me suis aussi emporté. Mais tout comme Pan à ces "passions", j'ai les miennes et pour moi il n'existe pas une maniére de suivre la voie du Mérite mais une multitude. Autant qu'il y a d'être vivant sur Atys, autant de voie existe.
<Il s'arréta pour regarder les réactions de ces frères et soeurs puis repris.>
-Le chemin est long, dur, fait de rencontre, mais toujour seul il doit se faire. Pour moi critiquer la voie qu'emprunte un frère, est aussi condamnable que les actes du gourou fou, qui gouverna jadis nos si belles contrées, en nous imposant le culte de Jena la sorcière.
<Il fixa sa soeur droit dans les yeux, un larme coula le long de son masque, il avait honte de sa faute, de son emportement.>
-Merci, grand merci, ma soeur de m'avoir fait retrouver mon calme, à partir de demain je commence un jeun de trois jours pour pouvoir expier mon erreur, comprendre et me retrouver. Que les Kamis vous illuminent de leurs sourires.
<Il se leva sans dire plus aucun mot, pour aller rejoindre le monastére, il avait assez perdu de temps. Avant de partir il salua son frère Asmir, et sa soeur Eoia, puis regarda, le coeur remplie de compassion, son frère Pan.>