Re: L'étrange découverte
Posted: Tue May 10, 2005 3:19 pm
La jeune homine pressentait quelle avait perdu un temps précieux, que beaucoup de personne avant elle avait déjà décodé ce message
Dès linstant où se yeux sétaient posé sur ces mystérieuses lettres enchâssées de manière étrange, elle se souvint que son esprit fût comme enfermé dans une gangue de lenteur et de contemplation. Elle avait tournoyé, comme un varinx en cage durant trois bonnes journées dans son petit appartement, le parchemin calligraphié en main et son imagination engluée dans une sorte de rêverie incessante.
Elle maudissait sa lourdeur desprit et son manque de rapidité tout en piochant pelle mêle dans un tas de vêtement posé dans un coin du mur.
La réponse lui était apparue dun seul coup tandis quelle commençait à désespérer de ne jamais trouver cette maudite solution.
Telle une bulle qui éclata au fond de son esprit, elle se mit frénétiquement à décoder la missive ses sourcils se fronçant au fur et à mesure que la traduction avançait.
Elle ajusta fébrilement sa tenue, attrapa dune main ferme son parchemin de traduction griffonné posé sur une pile de papier à léquilibre instable puis sortit de son appartement dun air décidé.
La chaleur accablante de Pyr lui tomba sur les épaules alors quelle sortait de son immeuble ombragé et frais. Elle protégea un instant ses yeux de la lumière éblouissante et sengagea dans la ruelle au petit trot.
Indifférente aux regards étonnés que les passants jetaient à son passage, elle continuait à aller bon train. Son humeur oscillait entre un espoir grandissant et une peur irraisonnée.
Elle ralentis le pas jusquà sarrêter près de létal dun marchand, ses idées sengouffraient et grondaient dans son esprit comme le ressac de la mer, elle pressa longuement de ses doigts ses tempes douloureuse, il ne fallait pas fléchir.
Elle repris son chemin dun pas vif et marcha jusqu'à une place ensoleillé du centre de Pyr. Elle sengouffra dans une porte au dessus de laquelle se balançait une pancarte de bois annonçant « Au Capryni Fringant ».
Clignant des yeux pour shabituer à latmosphère sombre et confinée qui régnait en ces lieux, elle entendit une voix sélever au dessus du brouhaha ambiant :
« Lyana ! Par ici ! »
Elle savança près du groupe dhomins attablés, on lui proposa une chope de jus de shooki fermenté quelle refusa de la main. Elle toussota et annonça dune voix rauque :
« Jai déchiffré le texte »
Devant son air grave, les sourires sétaient éteins, son chef linvita du regard à sinstaller sur un tabouret proche. La discussion commenca.
Dès linstant où se yeux sétaient posé sur ces mystérieuses lettres enchâssées de manière étrange, elle se souvint que son esprit fût comme enfermé dans une gangue de lenteur et de contemplation. Elle avait tournoyé, comme un varinx en cage durant trois bonnes journées dans son petit appartement, le parchemin calligraphié en main et son imagination engluée dans une sorte de rêverie incessante.
Elle maudissait sa lourdeur desprit et son manque de rapidité tout en piochant pelle mêle dans un tas de vêtement posé dans un coin du mur.
La réponse lui était apparue dun seul coup tandis quelle commençait à désespérer de ne jamais trouver cette maudite solution.
Telle une bulle qui éclata au fond de son esprit, elle se mit frénétiquement à décoder la missive ses sourcils se fronçant au fur et à mesure que la traduction avançait.
Elle ajusta fébrilement sa tenue, attrapa dune main ferme son parchemin de traduction griffonné posé sur une pile de papier à léquilibre instable puis sortit de son appartement dun air décidé.
La chaleur accablante de Pyr lui tomba sur les épaules alors quelle sortait de son immeuble ombragé et frais. Elle protégea un instant ses yeux de la lumière éblouissante et sengagea dans la ruelle au petit trot.
Indifférente aux regards étonnés que les passants jetaient à son passage, elle continuait à aller bon train. Son humeur oscillait entre un espoir grandissant et une peur irraisonnée.
Elle ralentis le pas jusquà sarrêter près de létal dun marchand, ses idées sengouffraient et grondaient dans son esprit comme le ressac de la mer, elle pressa longuement de ses doigts ses tempes douloureuse, il ne fallait pas fléchir.
Elle repris son chemin dun pas vif et marcha jusqu'à une place ensoleillé du centre de Pyr. Elle sengouffra dans une porte au dessus de laquelle se balançait une pancarte de bois annonçant « Au Capryni Fringant ».
Clignant des yeux pour shabituer à latmosphère sombre et confinée qui régnait en ces lieux, elle entendit une voix sélever au dessus du brouhaha ambiant :
« Lyana ! Par ici ! »
Elle savança près du groupe dhomins attablés, on lui proposa une chope de jus de shooki fermenté quelle refusa de la main. Elle toussota et annonça dune voix rauque :
« Jai déchiffré le texte »
Devant son air grave, les sourires sétaient éteins, son chef linvita du regard à sinstaller sur un tabouret proche. La discussion commenca.