Ryzom

le Lao-Shan,surnomé aussi bien monstre que la "touche de delicatesse au lance grenade" surgit des flammes de l'entré de pyr avec ça discretion legendaire qui fit sonner bien des alarmes.il se dirigea vers l'etable,commença a preparer son toub et vit l'affiche..."grumpf" furent ses mots et ça reaction fut d'arracher l'affiche,en vu du palefrenier

*appercevant l'affichette*

he ben, il semble que certains ai des dappers à dépenser.
J'espère pour ce ou cette homin qu'il n'y aura pas trop de trytonistes dénoncés

*arrache l'affiche*

on a déjà bien assez des tueries pour les avant-postes sans ajouter cela :s

je préfère encore que les homins tentent de les convertir plutot que les tuer ou les dénoncer, pour qu'ils soient tués par ce Matsu ensuite, juste pour de l'argent ...

*reprend ses cartes et ses pinceaux, et retourne à sa cartographie d'Atys*

Dorbringer tenait une affiche de Matsu dans ses mains mais son regard fixait à l'horizon les Dunes qui entouraient la capitale Fyros. Elle réfléchissait.
Elle connaissait bien Matsu et son caractère virulent, la force de ses convictions,et avait malgré tout éssayé de lui montrer une voie plus discrète et moins guerrière, celle de la connaissance, de la surveillance.
Pourtant Dorbringer ne doutait pas que ce qui animait Matsu était avant tout une soif de connaissance, elle voulait savoir qui étaient les Trytoniens, ce qu'ils voulaient.
Sortant de ses pensées Dorbringer remarqua quelques gestes de nervosité autours d'elle, elle se rappela où elle était, qu'il y a une journée de cela les fiers Fyros l'avaient attaqué en groupe pour la tuer, sans sommation. Et maintenant ils parlaient de sauvageries, de tueries inutiles...

Elle craqua un pacte Karavan et fût rassurée de se retrouver au milieu de cette belle cité, Yrkanis, elle se dirigea vers ses appartements.

Clepto avait vu plusieurs homins se livrer à la chasse aux affiches. Il en ramassa un bout qui venait d'être arraché et l'observa d'un air interdit. Puis se souvenant qu'il ne savait pas lire, il se mit en quête de quelqu'un pour lui expliquer les regles du jeu de l'arrachage des affiches...

La traque prit rapidement de l’ampleur, le mot était passé, les lettres aux chefs de guilde bien reçues. Tout ceci prenait forme pour le plus grand plaisir de Matsu. Elle se délectait d’imaginer les Trytonistes apeurés, devant cacher dorénavant plus consciencieusement leurs états d’esprits, leurs pensées, leurs convictions profondes.

Des mercenaires avaient été engagés également pour l’aider dans cette traque ; de premiers indices, des noms était venus à son oreille. Des doutes parcouraient son esprit, des amis proches qui changèrent du jour au lendemain d’attitude, des visages troublés par son regard.

Elle avait fait comme d’habitude un rapide état des lieux des étables, sans grand étonnement elle constata que certaines affiches avaient été déchirées. Le palefrenier de Zora avait refusé ses dappers, incorruptible kamiste qu’il était. Ce qui n’était pas le cas de Kytheus Abygrian, le gardien d’étable de Pyr.

Ce fyros avait donné de précieuses informations, un tryker en armure lourde était venu déchirer son affiche, signe étonnant, il portait un petit papillon bleu sur son casque. Ca n’allait pas être très difficile de retrouver ce présumé Trytoniste avec un tel accoutrement…

Dorbringer qui avait confiance en Matsu, qui avec le temps avait appris à la connaître fini par être inquiète. Elle regardait Matsu se préparer à quelque chose qui la dépassait de beaucoup, en sachant très bien que la retenir serait impossible.

Elle remarqua quelques fait divers plutôt étranges la concernant. Matsu avait pris contact avec des homins peu fréquentables d’après certains. Elle semblait intéressée par certaines expérimentation du Prieuré des Racines, par les recherches du Prior Thanys et des siens sur de bien étranges substances.

La Fyros avait également tenté de contacter un chimiste bien mystérieux. Pour finir Dorbringer apprit que Matsu avait acheté un deuxième appartement, donnant sur le sien. Miazzia, la concierge qui traînait par là en permanence disait à qui veut l’entendre qu’elle faisait de grands travaux, ayant acheté une quantité impressionnante de matériaux et liquides divers. Pas de doute, Matsu avait une idée derrière la tête…

(Tagdus active tes messages privés plz, ou contact moi IG)

Amie se terrait, elle savait que Matsu n'abandonnerait pas sa chasse...
Pourquoi son amie ne l'avait-elle pas dénoncée ? La traquait-elle pour la tuer de sa propre lame ?

Depuis qu'elle avait arraché l'affiche, la jeune homine n'osait plus se rendre à Yrkanis ou dans les autres villes Matis. Personnene n'avait prêté attention à sa disparition. Ses anciens amis de la Fédération du Commerce prenant soin de l'ignorer depuis son départ de la maison; Syrus était toujours aussi occupé et avait pris l'habitude de la voir disparaître si longtemps.

C'est le visage pâle et le regard triste que la jeune Matis quittait les Primes Racines pour aller vider son sac vers Muki son mektoub qui était resté Thésos. Elle passait rarement beauoup de temps vers l'étable, Les Légionnaires prennant toujours un malin plaisir à tenter de lui faire peur. Mais Amie n'avait plus qu'une seule peur... que Matsu ne la retrouve...

Depuis plusieurs jours deja, La-Win Cho entendais des rumeurs d'une fyros, qui cherchait a debusqué les fameux trytonistes. Depuis plusieurs années, La-Win menait son enquete. Sa réputation l'aidait fortement : l'esclavage etant l'un des principals ennemis des trytonistes, il avait été approché plusieurs fois par ceux-ci.
Biensur, les trytonistes n'etaient pas les seuls à s'offusquer à l'ecoute de certains bruits de bar, volontairement lachés. La-Win avait eu deja des ennuis avec des guildes trykers, semble t'il karavanières. Pour l'instant, il menait simplement son enquete sur des individus ne portant allegeance, officielement, a aucune des religions. Mais, il sentait quand meme qu'il ne fallait pas oublier les oubliers, les trytoniste ayant montré par l'histoire leur nature rusée.

Cette fyros, il l'a connaissait. Il l'avait deja croisé, notament dans les terres anciennes. Officielement ennemis, le zoraï la trouva soudainement plus simpathique. Du coté kamiste, La-Win n'avait pas trouvé de réel alliés dans sa lutte, ou plutot son enquete pour l'instant. Il le sentait pourtant, il le savait. Les trytonistes seront bien plus dangereux que les karavaniers, et ceci dans un futur proche.

Il se demanda alors, si il devait entré en conctact avec elle. Si rencontre il devait avoir lieu, elle devrait etre discrete. Heureusement, la discretion etait, paradoxalement a sa personnalité habituelle, l'une des qualités les plus aboutits chez lui. Il lui arrivait frequement de se balader dans Yrkanis-meme, simplement vetu d'une cape longue. Sa grande taille, sa peau bleu, son masque semblaient alors s'effacés sous le regard trop imbus d'eux meme des matis, surement trop sure d'eux pour se douter de la presence d'un zorai tueur derriere eux.

La-Win reflechit lors de sa meditation puis de sa priere matinale. Devait t'il faire passer son coté anti-trytoniste avant sa haine envers la karavan...Un signe, il attendait simplement un signe de Ma duk.

Fraudex venait de remplir la dernière fiole. Il avait passé des heures à composer une antidote. Un petit sourire se dessinait sur ses lèvres.
Il connaissait Matsu depuis longtemps, il l’avait vue grandir, avait assisté à son mariage avec Jbaax et à sa trahison lorsqu’elle avait rejoint Jena. Il savait aussi qu’elle essayait de faire croire qu’elle était bien plus vieille qu’elle ne l’était réellement, mais lui ne se laissait pas impressionné par tous ses titres.

Alors quand il avait lu les affiches, il l’avait fait suivre. On lui avait rapporté que non seulement elle passait une grande partie de son temps à questionner des homins douteux, mais aussi qu’elle réunissait toutes sortes de plantes dans son laboratoire.

Fraudex se doutait bien qu’elle préparait quelque chose et s’était empressé de faire une antidote. Oh elle n’était pas aussi puissante qu’il l’aurait voulu. Mais au moins, elle empêcherait ses amis de parler contre leur volonté. C’était tout ce qu’il pouvait faire pour le moment.

Il ne restait plus qu’à faire distribuer ses potions.

En suivant avec d'autres fédérés son amie Xuuna à Pyr dans sa quête pour retrouver la mémoire, Alchimi etait loin d'imaginer ce qu'il allait y découvrir.
Après la perte de son mektoub sur ces routes perrilleuses, il en avait acheté un nouveau qu'il s'appretait à mettre en sécurité à l'étable quand son regard fut attiré par cette affiche placardée.
Son sang ne fit qu'un tour à la lecture de l'achiffe, sa première réaction dictée par la peur l'arracher et la laisser bruler das les portes emflammées de pyr.
Surprenant le regard attentif du palefronnier fyros, il suspendit son geste et posa sa main contre le mur de l'étable feignant la lecture de l'affiche.
comme si de rien n'était il il confia son mektoub aux bon soins dece garcn d'étable qui decidement ne lui inspirait aucune confiance et suivi ses amis à l'intérieur de la ville l'esprit ailleurs.

Cela faisait plusieurs jours que les affiches avaient été apposées dans différentes étables. Certaines avaient été arrachées pour être aussitôt remplacées par d’autres.De passage à Fairhaven, j’avais lu l’affiche rapidement puis haussé les épaules. Puis je m’étais mise à forer dans les alentours non sans jeter régulièrement un coup d’œil de temps à autre. La plupart des homins réagissaient comme moi, certains prenaient une expression préoccupée. Mais je vis également que le garçon de l’étable semblait exercer la même surveillance que moi. Je réfléchissais, puis je m’avançai vers lui, après lui avoir acheté une botte de fourrage, j’engageais la conversation, des banalités, l’hiver qui n’en finissait plus, les tensions dans les Lacs. Le soir tombait et avec lui une petite brise froide apparut. Je sortis de mon sac une boisson « réchauffante » que concoctait certain membre du Souffle de Loria. J’en proposais au garçon qui ne se fit pas prier. Quand la nuit fut tout à fait tombée sur Fairhaven, le garçon était devenu particulièrement bavard, je n’eu pas de grande peine à guider la conversation sur l’affiche et mis en confiance, il me révéla qu’on l’avait payé pour exercer une surveillance discrète. Pour l’instant il n’avait pas vraiment décelé de comportement véritablement suspect. Rassurée, je le saluais et regagnais mon appartement en me disant qu’il allait falloir que je me renseigne sur cette Matsu…