Presque trois mois sétaient écoulés avant quAshael ne se décide à écrire à Ikkyezel. Elle ne lavait pas revu depuis de longues années
Alors que les deux premiers nés de la famille Di Kormalys prenaient pieds sur le continent, Ikkyezel, le cadet, fut chargé par Saga de rester sur larchipel au domaine familial. Il lui confia la gestion du patrimoine, lécartant ainsi subtilement du pouvoir au sein de la famille et lempêchant den avoir sur le continent. Saganael alla sinstaller à Yrkanis, afin de réaliser les buts de la famille : restaurer leur noblesse perdue, et la grandeur matis.
Saga avait plus ou moins emmené de force sa sur comme escorte les premiers temps puis comme servante. Et surtout pour la garder sous son influence et loin de celle dIkky.
Saga avait toujours nourrit de la jalousie envers son frère car il était le préféré de père. Leur façon dêtre était dissemblable alors quils avaient reçu la même éducation, autant Saganael était fourbe et manipulateur, autant Ikkyezel était droit et loyal
Les deux jeunes matis se devaient dêtre dociles envers Saga, puisquil était leur aîné. Et celui-ci ne se privait pas pour les soumettre sous le couvert dêtre le premier né. Il usait de la loyauté dIkkyezel envers les codes et son respect des règles, pour quil sexécute sans discuter, mais il gardait les actes les plus déshonorants pour sa sur, pour en faire son ombre silencieuse et honteuse.
Cest ainsi quAshael avait subit la présence quasi exclusive de Saganael. Les années firent alors ce quelle devint, grâce ou à cause de Saga. Il en aurait peut être été différemment si cétait Saga qui avait été le benjamin
.
Elle avait perdu le contact avec Ikkyezel peu après leur départ. Ils sécrivirent les premiers temps mais Saga découvrit les lettres et les brûla toutes, par la suite il intercepta tout courrier entrant et veillait à ce que sa sur nécrive pas.
Depuis le temps, elle ne conservait de lui que les vagues souvenirs de lenfance où il pansait les bleus quelle disait sêtre fait en tombant
Lesprit dAshael cessa de vagabonder dans le passé et son regard se porta sur la plume quelle tenait, prête à être plongée dans lencre
Elle espérait ne pas se tromper et que son frère naurait pas changé
Cher Ikky,
Après ces longues années de silence, je peux à nouveau técrire. Je doute que sur larchipel les nouvelles te soient parvenues. Notre frère est mort, du moins supposé mort.
Comme mes dernières lettres ten informaient, le Cercle du Duc Sokkar nous a accueillit à notre arrivée. Rapidement nous avons pris des postes clés, particulièrement Saga qui est devenu bras droit de Sokkar. Mais Yrkanis a pris le pouvoir, et le Cercle sest affaibli. Notre frère organisa une rébellion et la achevé, en conservant nos partisans les plus loyaux pour lever une Garde modérément opposé à Yrkanis.
Récemment nous avons découvert que ces agissements ne servaient que ces intérêts personnels et non ceux de notre famille. Obsédé par de mystiques rituels octroyant du « pouvoir » et obnubilé par sa popularité et son omniprésence nécessaire à tous les fronts, il na réussi qua devenir fou. Son esprit manipulateur obscurcit par la Goo ne pouvait plus tenir dans lillusion les homins qui le servait et il a perdu la loyauté de beaucoup de Gardiens
Moi-même nen pouvant plus, jai fuit à Davae.
Quelques jours plus tard, il a disparu alors quil sadonnait à cet étrange rituel.
La Garde sest ébranlée et viens de comprendre la duperie de leur seigneur. Après un certain laps de temps où il fut ardu de me convaincre de la mort de Saga, je me suis retrouvé face à plusieurs homins offrant leur épée à mon service, à celui des Kormalys. Ils connaissent mes capacités et mon sens autre de la loyauté que celui de Saga
Le rassemblement crée par Saga a pris une tournure bien sombre et décalée. Je tente de redresser la barre mais je ne suis encore que son ombre et nai pas grand poids. Notre nom nest associé qua Saga, il est ardu de venir se faire un prénom, à plus forte raison étant homine.
Il ta écarté de tout depuis des années, le voilà mort, tu es donc lhéritier de la famille mon frère et également lhéritier de ce quil a créé. Aujourdhui ses méfaits sont caduques et ses responsabilités et ses implications me reviennent malgré moi. Jena sait que je ne puis faire face pour mener des homins.
Je fais ce que je peux mais je doute davoir les compétences que vous deux aviez pu acquérir de léducation de Père. Je te demande aujourdhui de venir prendre les responsabilités qui téchoient en tant que dernier héritier mâle.
Je connais tes capacités politiques et ton sens de la noblesse et des valeurs. Tu sauras a coup sûr trouver une oreille attentive auprès du roi, de plus ton amitié avec le duc Di Varello pourra être précieuse pour la suite.
Je tente de maintenir la Garde la tête hors de leau pendant ce temps mais certains rats quittent le navire malgré tout. Je ne suis pas faite pour rassembler et donner les ordres mais être exécutante.
Saganael a souillé notre nom auprès de la noblesse, il nappartient qua nous de le redorer. Mais je ny arriverai pas seule
Je tattends bientôt au Hall, si tu le désires une escorte sera envoyée.
Bien à toi,
Ashael
Ladie Drakarim de la Garde Drakarys
[hrp: ceci est le premier texte d'une serie qui expliquera la transformation de la Garde Drakarys en Maison Di Kormalys]
L'heritier Di Kormalys
Moderator: Chroniques d'Atys
Re: L'heritier Di Kormalys
Alourdi par son armure dapparat, Ikkyezel di Kormalys descendit les marches du vaisseau de la Karavan qui venait darriver à Yrkanis. Il attendait de découvrir la cité depuis des années, son frère ayant retardé cette échéance.
Ikkyezel pouvait enfin admirer le nouveau berceau de la civilisation Matis et cest linstant précis que choisit le soleil pour sortir du couvert des nuages et illuminer la ville. Le matis fut frappé déblouissement par lexquise perfection du dessin et de la symétrie des bâtiments, et ces arbres, immenses, gracieux et accueillants. Leur simple présence apportant la paix et réconfortant lâme. Yrkanis était bien une véritable cathédrale darbres. La vitalité verdoyante de leurs formidables rameaux nourrissant et apportant lespoir au peuple Matis.
Dans certains endroits, la forêt laissait place à de petits vallons verdoyants, des endroits dune beauté et dun confort incomparable, où lherbe douce et les fleurs sauvages colorées se balançaient doucement sous le souffle de la brise.
Etant ici pour faire valoir ses droits et redorer le blason de la famille, la tradition exigeait qu'il se présente au roi vêtu de son armure d'apparat. Cela impliquait une légère armure Matis blanche, symbole de pureté et de soummission envers la monarchie reignante, un plastron chitine et des jambières assorties. Par dessus, il portait un tabard pourpre, couleur des Kormalys quil avait assortit de vert, ses couleurs personnelles.
Ikkyezel di Kormalys quitta le district à laube. Les brumes tardaient à se dissiper, l'air était encore frais, surtout pour ce grand cycle. Mais Yrkanis en toute saison gardait sa beauté et sa suprématie légendaire.
Ikky se dirigeait vers le palais.
Jadis comté dans le grand duché de Sokkarie, les Kormalys descendaient d'une lignée de sève noble et reconnue. Mais après les ravages de la guerre, l'exode, les luttes intestines et trois générations; Terres et richesses n'étaient qu'un lointain souvenir.
Seul le titre subsistait, et encore... Il n'avait plus aucune valeur.
Saga avait été laîné et le fléau de la famille. Désormais Ikkyezel reprendrait le flambeau mais avec ses propres méthodes. La corruption, la fourberie et la noirceur de son frère navaient jamais rien amené sinon la destruction et la violence.
Les Matis se devaient dêtre fiers, loyaux et honorables ! Quel que soit le roi, le peuple devait le suivre et prendre son essor, cela Saga lavait toujours oublié Pas Ikkyezel
Le matis déambulait dans les rues de la cité en repensant à tout cela. Les Zorais et les Trykers faisaient commerce au sein même du joyau Matis, et si les second étaient un peuple pacifique voir allié par le passé, les premiers eux restaient des êtres contaminaient par la Goo et suivant les préceptes de ces immondes créatures nommés Kamis.
Quand aux Fyros qui déambulaient parfois dans les rues, distillant leur odeur âcre et nauséabonde parmi les effluves végétales de la cité, cela était bien plus difficile à accepter, même si la paix était encore dusage. Ils restaient les ennemis ancestraux.
Pour Ikkyezel, comme pour sa famille, les Matis glissaient vers la décadence, et seule la force et la fermeté pourrait peut être restituer la fierté du peuple d'antan !
Le jeune Matis arrivait en vue du palais. La mine sombre, Ikky entra dans l'impressionnante masure et avança dans le hall. Il devait y rencontrer le Duc di Varello, un noble quil avait jadis rencontré et quil avait toujours eut en grande estime. Ce dernier saurait lintroduire auprès du roi afin quil lui présente respects et loyauté et afin de discuter des actions de Saganaël.
Le Matis avança alors vers les personnes en faction, des gardes apparemment..
- "Mon honneur guide ma vie ! lança-t-il. Ikkyezel di Kormalys, héritier di Kormalys.
Je suis attendu par le noble duc di Varello."
Le matis s'inclina respectueusement, car depuis longtemps il avait appris a composer avec diplomatie en gérant la sensibilité de tous Matis. Il fallait composer à chaque instant pour parvenir à ses fins et donner un sens au mot « matis ». Etre courtois et avisé, toujours maître de ses émotions et vertueux, tels étaient ses convictions.
"Un grand peuple sans âme est une vaste foule"
Seul cela comptait... Un grand peuple.
***
Le repaire du duc était une vaste pièce ronde aux murs de bois sombre et nu que perçaient quatre espèces de meurtrières orientées vers les points cardinaux. Au centre se dressait une énorme bille de bois ciselée, longue de plus de dix pieds, large de quelque cinq. Les ébénistes du roi lavaient en effet façonnée daprès la carte dAtys, y découpant si précisément chaque crevasse, chaque péninsule quelle ne comportait en définitive aucune ligne droite. Quant au plateau, noirci par près dun siècle de vernis, les peintres y avaient représenté tous les royaumes dans leur état dalors, avec leurs fleuves et leurs villes, leurs lacs et leurs forêts.
En dépit de sa large carrure et de ses membres musculeux, Rudy di Varello, duc fidèle au roi, écoutait attentivement les doléances dIkkyezel.
- « Les di Kormalys ont toujours étaient fidèles aux souverains en place, pour ma part peu importe qui il est, il est le représentant de Jena et jouit donc de sa puissance et de lappui de la Karavan. Mon défunt frère na jamais ouvertement prononcé ses vux dallégeance envers notre roi Yrkanis. En tant quhéritier je viens le faire ici séant, et ce avant même de prendre possession de ma maison. »
Ikkyezel connaissait son discours, il avait la force de ses convictions. Le Duc lécoutait patiemment.
- « Le roi ne reçoit que très peu de personne. Répondit le Duc impassible. Cest une faveur inégalée que je vous offre jeune ami. Faîtes bon usage de ce privilège »
***
Lentretien avait été bref mais prolifique. Ikkyezel avait prononcé son vu dallégeance et avait présentait ses excuses pour les actes de Saga. Sa famille suivrait désormais la voie dantan pour un peuple matis fort et prospère, pour le retour de la noblesse par les actes et lengagement.
Ikkyezel allait conduire sa maison vers Davae, le fief des Di Kormalys depuis toujours, tout en gardant un pied à terre dans la capitale. Davae avait besoin de ressources et de bras pour la défendre, la maison Di Kormalys veillerait à cela.
Saga avait instauré le conseil des maisons matis pour ses ambitions personnelles, lidée malgré le but était bonne, et avait trouvé lapprobation du roi, tant que ce conseil suivrait les directives royales.
Ikkyezel se devait de reprendre le flambeau du conseil par respect envers les autres maisons, et prouver que lidée était bonne. Les matis devaient sunir pour servir le peuple et le royaume.
Il approchait désormais de larbre de la « garde », il fallait aussi gérer cela et au plus vite. Il allait revoir sa sur et beaucoup de travail lattendait.
Il devait aussi soccuper de rencontrer les descendants du cercle de Sokkarie. Le roi avait été clair la dessus, jamais il navait demandé ou fait assassiner Sokkar. Tout ceci était encore machination, et lombre de son frère planait là dessus
Ikkyezel pouvait enfin admirer le nouveau berceau de la civilisation Matis et cest linstant précis que choisit le soleil pour sortir du couvert des nuages et illuminer la ville. Le matis fut frappé déblouissement par lexquise perfection du dessin et de la symétrie des bâtiments, et ces arbres, immenses, gracieux et accueillants. Leur simple présence apportant la paix et réconfortant lâme. Yrkanis était bien une véritable cathédrale darbres. La vitalité verdoyante de leurs formidables rameaux nourrissant et apportant lespoir au peuple Matis.
Dans certains endroits, la forêt laissait place à de petits vallons verdoyants, des endroits dune beauté et dun confort incomparable, où lherbe douce et les fleurs sauvages colorées se balançaient doucement sous le souffle de la brise.
Etant ici pour faire valoir ses droits et redorer le blason de la famille, la tradition exigeait qu'il se présente au roi vêtu de son armure d'apparat. Cela impliquait une légère armure Matis blanche, symbole de pureté et de soummission envers la monarchie reignante, un plastron chitine et des jambières assorties. Par dessus, il portait un tabard pourpre, couleur des Kormalys quil avait assortit de vert, ses couleurs personnelles.
Ikkyezel di Kormalys quitta le district à laube. Les brumes tardaient à se dissiper, l'air était encore frais, surtout pour ce grand cycle. Mais Yrkanis en toute saison gardait sa beauté et sa suprématie légendaire.
Ikky se dirigeait vers le palais.
Jadis comté dans le grand duché de Sokkarie, les Kormalys descendaient d'une lignée de sève noble et reconnue. Mais après les ravages de la guerre, l'exode, les luttes intestines et trois générations; Terres et richesses n'étaient qu'un lointain souvenir.
Seul le titre subsistait, et encore... Il n'avait plus aucune valeur.
Saga avait été laîné et le fléau de la famille. Désormais Ikkyezel reprendrait le flambeau mais avec ses propres méthodes. La corruption, la fourberie et la noirceur de son frère navaient jamais rien amené sinon la destruction et la violence.
Les Matis se devaient dêtre fiers, loyaux et honorables ! Quel que soit le roi, le peuple devait le suivre et prendre son essor, cela Saga lavait toujours oublié Pas Ikkyezel
Le matis déambulait dans les rues de la cité en repensant à tout cela. Les Zorais et les Trykers faisaient commerce au sein même du joyau Matis, et si les second étaient un peuple pacifique voir allié par le passé, les premiers eux restaient des êtres contaminaient par la Goo et suivant les préceptes de ces immondes créatures nommés Kamis.
Quand aux Fyros qui déambulaient parfois dans les rues, distillant leur odeur âcre et nauséabonde parmi les effluves végétales de la cité, cela était bien plus difficile à accepter, même si la paix était encore dusage. Ils restaient les ennemis ancestraux.
Pour Ikkyezel, comme pour sa famille, les Matis glissaient vers la décadence, et seule la force et la fermeté pourrait peut être restituer la fierté du peuple d'antan !
Le jeune Matis arrivait en vue du palais. La mine sombre, Ikky entra dans l'impressionnante masure et avança dans le hall. Il devait y rencontrer le Duc di Varello, un noble quil avait jadis rencontré et quil avait toujours eut en grande estime. Ce dernier saurait lintroduire auprès du roi afin quil lui présente respects et loyauté et afin de discuter des actions de Saganaël.
Le Matis avança alors vers les personnes en faction, des gardes apparemment..
- "Mon honneur guide ma vie ! lança-t-il. Ikkyezel di Kormalys, héritier di Kormalys.
Je suis attendu par le noble duc di Varello."
Le matis s'inclina respectueusement, car depuis longtemps il avait appris a composer avec diplomatie en gérant la sensibilité de tous Matis. Il fallait composer à chaque instant pour parvenir à ses fins et donner un sens au mot « matis ». Etre courtois et avisé, toujours maître de ses émotions et vertueux, tels étaient ses convictions.
"Un grand peuple sans âme est une vaste foule"
Seul cela comptait... Un grand peuple.
***
Le repaire du duc était une vaste pièce ronde aux murs de bois sombre et nu que perçaient quatre espèces de meurtrières orientées vers les points cardinaux. Au centre se dressait une énorme bille de bois ciselée, longue de plus de dix pieds, large de quelque cinq. Les ébénistes du roi lavaient en effet façonnée daprès la carte dAtys, y découpant si précisément chaque crevasse, chaque péninsule quelle ne comportait en définitive aucune ligne droite. Quant au plateau, noirci par près dun siècle de vernis, les peintres y avaient représenté tous les royaumes dans leur état dalors, avec leurs fleuves et leurs villes, leurs lacs et leurs forêts.
En dépit de sa large carrure et de ses membres musculeux, Rudy di Varello, duc fidèle au roi, écoutait attentivement les doléances dIkkyezel.
- « Les di Kormalys ont toujours étaient fidèles aux souverains en place, pour ma part peu importe qui il est, il est le représentant de Jena et jouit donc de sa puissance et de lappui de la Karavan. Mon défunt frère na jamais ouvertement prononcé ses vux dallégeance envers notre roi Yrkanis. En tant quhéritier je viens le faire ici séant, et ce avant même de prendre possession de ma maison. »
Ikkyezel connaissait son discours, il avait la force de ses convictions. Le Duc lécoutait patiemment.
- « Le roi ne reçoit que très peu de personne. Répondit le Duc impassible. Cest une faveur inégalée que je vous offre jeune ami. Faîtes bon usage de ce privilège »
***
Lentretien avait été bref mais prolifique. Ikkyezel avait prononcé son vu dallégeance et avait présentait ses excuses pour les actes de Saga. Sa famille suivrait désormais la voie dantan pour un peuple matis fort et prospère, pour le retour de la noblesse par les actes et lengagement.
Ikkyezel allait conduire sa maison vers Davae, le fief des Di Kormalys depuis toujours, tout en gardant un pied à terre dans la capitale. Davae avait besoin de ressources et de bras pour la défendre, la maison Di Kormalys veillerait à cela.
Saga avait instauré le conseil des maisons matis pour ses ambitions personnelles, lidée malgré le but était bonne, et avait trouvé lapprobation du roi, tant que ce conseil suivrait les directives royales.
Ikkyezel se devait de reprendre le flambeau du conseil par respect envers les autres maisons, et prouver que lidée était bonne. Les matis devaient sunir pour servir le peuple et le royaume.
Il approchait désormais de larbre de la « garde », il fallait aussi gérer cela et au plus vite. Il allait revoir sa sur et beaucoup de travail lattendait.
Il devait aussi soccuper de rencontrer les descendants du cercle de Sokkarie. Le roi avait été clair la dessus, jamais il navait demandé ou fait assassiner Sokkar. Tout ceci était encore machination, et lombre de son frère planait là dessus