Tranches de vie à la Cohorte.

Moderator: Chroniques d'Atys

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dwain69
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Tranches de vie à la Cohorte.

Post by dwain69 »

/hrp j'ai demandé aux membres la Cohorte de nous faire quelques posts rp relatant des moments de vie à la Cohorte, j'inaugure donc avec un texte d'Ulwe /hrp


Auteur : Ulwe.




C’était un doux matin comme tant d’autres sur l’écorce. La foret était calme, seuls les bodocs subissaient l’ardeur combattante des jeunes réfugiés fraichement débarqués de Silan. Comme tous les jours, depuis son admission dans la cohorte, Ulwe ajustait ses amplificateurs avant de partir s’exercer afin de maitriser un jour la magie. Tout un coup une tape qui se voulait amicale l’atteint dans le dos et le bouscula sur quelques mètres. L’auteur de cette puissante démonstration fraternelle était un homin blond, en tenue blanche, courte (faut dire aussi quelle idée de porter une tenue de tryker pour un Matis ! ). Il connaissait son nom : Shot. Ce dernier avait déjà une réputation fameuse tant sur les champs de bataille que dans tous les bars d’Atys, et il avait lui aussi rejoint la cohorte.

- Ben alors, mon grand, on veut aller électrocuter quelques végétaux ? tu devrais te mettre au cibles mouvantes ça te changerait.
- Ben j....
- Et tu pars comme ça, chasser à jeun, avec un taux d’alcoolémie de jeune pucelle ?
- Il faut dire, le soleil vient de se lever....
- Pffff, et tu n’as rien en plus en réserve, pour tenir la distance ? Manier les arcanes, ça donne soif
- Je .....
- Bon on va commencer par le début : prends ça et tu te le colles au fond du gosier direct !
- Oui mais....
- Tss tss tss, bois j’te dis !

Ulwe s’exécuta, il eu l’impression que tout à coup sa bouche, sa gorge, son estomac étaient en feu. Le liquide diffusait partout dans ses veines, il pouvait presque sentir sa progression. Sa vision était troublée par des larmes

- OH bon sang ! c’est pas tout doux ton machin dit il quand il put reprendre le contrôle de sa voix.
- Oui je me disais bien que t’avais une tête à ne téter encore que du lait de yubo ! Liqueur de Sarina, celle-ci fait un peu tout venant, mais le chef en a pas mal en réserve. Aller encore 5 ou 6 verres comme celui-ci et tu pourras aller chasser comme un champion.

- Mais....
- Bah tu as bu le premier c’est le plus dur. Alors discute pas et suit les conseils de tes ainés !

Devant tant d’insistance Ulwe obéit. Le deuxième ne passa pas plus facilement. Le troisième vit son visage s’empourprer. Le quatrième, il se tapa sur la poitrine pour aider la boisson à passer. le cinquième vit sa vision baisser. Le sixième, il avait un genoux au sol. Le septième....

- Euh on en est à combien là ?
- Tu sais encore compter, il t’en faut un autre !



Et Ulwe y avait pris gout, il discernait derrière la chaleur de l’alcool et le gout de désinfectant de surprenants arômes fruités, boisés. Sa perception de ce qu’il l’entourait n’était certes plus vraiment nette, mais ce qu’il y discernait n’était pas plus mal. Les sons lui parvenaient etouffés au milieu de cette brume

- Bon là tu m’as l’air fin prêt mon grand
- Beuh... s’tu l’dis
- Combien de doigts – dit Shot en montrant son index et son majeur levés
- Approxxxxxxiiiiiiimativ’ment 36 mais des gros hein !
- C’est bon on y va !
- OU ça ?
- Au vide, j’ai me refaire des bottes en peau de najab

Devant le fou rire de son compagnon qui essayer vainement de fouiller dans son sac, Shot lui sorti un pacte de téléportation et l’aida à l’activer

Les événements qui suivirent furent assez flous pour Ulwe. Il se souvint des gigantesques batraciens qui tombaient les uns après les autres, vite il lui semblait, mais le temps n’était somme toute que relatif. Il se souvint pas vraiment des breuvages qui avaient ponctué les quelques pauses qu’ils s’accordaient, mais il y en avait eu beaucoup ! La douleur et la peur n'existaient plus, pourtant il avait mordu la poussière quelques fois il en était sûr. Le soir après avoir peiné de longues minutes pour réussir à rentrer dans son appartement et se coucher, il sentit que son lit lui offrait un rodéo sur un grand 8.



Le lendemain matin, la bouche pâteuse, une douleur vrillant atrocement ses tempes, il recroisa Shot

- Ca va, lui demanda le blondinet ?
- Euh...
- Bois ça : quand on tombe de mektoub, il faut remonter tout de suite.
- Euh...
- Faut que je te refasse un discours ?

La suite vous la connaissez, les deux homins se sont souvent retrouvés à chasser ensemble, les poches toujours pleines, à écluser des réserves de gnôle là où ils les trouvaient. Une amitié était née, comme tant d’autres dans la cohorte d’Yrkanis.


( Un grand merci à Ulwe en espérant que d'autres Cohortes suivront son exemple )


Edit : je me suis trompé j'ai placé ce post à Saga , si vous voulez bien le déplacer à Roleplay , merci d'avance.
Radamanthe Némes.
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dwain69
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Re: Tranches de vie à la Cohorte.

Post by dwain69 »

Auteur : Lisiana


Apres plusieurs heures à traquer les impitoyables varinx du désert un groupe de la cohorte d’Yrkanis fit une pause au bar de Thesos.

Une fois la porte franchit, ils pouvaient entendre des homins discutaient assez intensément de choses qui semblaient importantes. Agritt, mage de la cohorte, reconnut un officier des éclaireurs d’Atys, ils semblaient en réunions. Les cohortes ignorant cette réunion commencèrent à s’agiter. Néanmoins, les éclaireurs, fidèles de Ma-Duk, gêné de toute cette agitation, réclamèrent leur départ. Ayolas, un des officier de la cohorte, commença alors le débat avec ces adeptes du démon.

- Nous sommes venus boire un coup et nous détendre, c’est fait pour ça un bar non ?
Un jeune fyros prit la parole :
- Il y a un bar à Yrkanis, allez vous détendre là-bas, ici vous n’êtes pas chez vous et nous sommes en pleines réunion !
- C’est vrai qu’on n’est pas chez nous, mais nous avons le droit de venir boire ici et puis une réunion n’a rien à faire dans un bar si elle est secrète !
- Une fyrette intervint alors :
- Partez d’ici matis ! Sinon on sera obligé de vous faire partir de force !

Les autres éclaireurs qui étaient encore assis se dirigèrent vers le groupe d’intrus. On pouvait sentir la tension augmenter de plus en plus, les fidèles de Ma-Duk étaient beaucoup plus nombreux mais les soldats d’Yrkanis ne cédèrent pas et le jeune officier Ayolas étant assez impulsif et se sentant menacé décida d’employer la manière forte.

Les sorts fusaient de tout cotés, des coups d’épées s’abattaient sur les boucliers et les objets aux alentours mais très rapidement, les kamistes prirent la fuite. Les karavaniers avaient gagné cette manche. Wanatos, un jeune matis qui était entré récemment dans l’armée du commandant Radamanthe Némes essuyait sa pique couverte de sang tout en rigolant de la faiblesse de leurs adversaires. Radamanthe se dirigea vers le barman et s’excusa.

- Je suis désolé pour les dégâts occasionnés par mes membres. Il tendit un sac contenant des dappers. Tenez j’espère que ça suffira pour rembourser les dommages.
- Ce n’est pas à nous de payer ! Intervint Arudy, impitoyable chasseur de kamistes.
- Nous avons attaqué les premiers donc c’est à cause de nous que c’est abîmé. Répondit Lisiana, jeune officier supérieur. Enfin c’est surtout Ayo qui devrait payer !
- Je n’ai pas d’argent, je suis pauvre ! Garder l’étable ça paie pas.
- Si tu forais un peu ça t’aiderai pour remplir tes poches en plus tu as de la chance je te coûte pas cher ! rétorqua la jeune matis.
- Si ! Le coût des soins après tes tests d’armes sur moi !
- Roh, je ne tape pas fort pourtant !
- Que c’est beau l’amour ! dit le chef tout en rigolant et en commandant les boissons.

Les homins se dirigèrent alors vers une table pour déguster leurs boissons, la liqueur de shooki était d’ailleurs celle qui était la plus présente.
Mais alors qu’ils posèrent leurs boissons sur la table, les éclaireurs revinrent plus nombreux et prêt à en découdre. Radamanthe qui voulait boire sa boisson décida de discuter pacifiquement avec eux.

- Je suis désolé pour l’attaque aussi soudaine de mes membres mais nous aimerions nous détendre et boire tranquillement.
- Si tu veux boire, retourne dans ta foret votre barman doit vous attendre il n’a pas beaucoup de clients ! Grogna un tryker.
- Nous voulons changer un peu, nous allons souvent à Yrkanis…Donc nous comptons rester ici.
- Bien, alors nous vous ferons partir !

Et c’est ainsi que le combat repris. Au bout de cinq minutes, les kamistes s’étaient repliés, il ne restait plus beaucoup de meubles intacts. Le barman exacerbé :

- Installez vous sur une table de la terrasse, ça évitera qu’il y ait d’autres dégâts.
- Je suis vraiment désolé pour ça.
- Ce n’est rien, j’ai l’habitude, les fyros passent leur temps à se battre ici. Tenez, je vous offre la tourné vu que vous n’avez pas pu boire l’autre.
- Merci beaucoup ! Répondirent en cœur les cohortes.
Ils allèrent s’installer à l’une des tables de la terrasse et commencèrent à parler de tout et de rien.
- Elle est super bonne cette liqueur ! Cria légèrement Arudy qui en était à son troisième verre.
- C’est vrai que ça change de celle de d’habitude, ajouta Wanatos.
- Quel magnifique couché de soleil ! S’extasia Lisiana qui avait déjà devant elle une armée de verre vide.
- C’est vrai qu’il est joli, confirma Ayolas qui fixait la matis et cette quantité de verre d’un air inquiet.
- Tien pourquoi ne pas aller se baigner un peu, ça ferait du bien je pense.
- Chef, c’est dangereux de se baigner ici surtout après avoir autant bu ! Rétorqua Torak, guerrier expérimenté de la cohorte, tout en affinant ça hache.

Ils continuèrent à parler durant plus d’une heure lorsqu’ils aperçurent un groupe s’approcher du bâtiment. C’était les éclaireurs qui revenaient prendre leur revanche. Radamanthe et ses amis se levèrent et sortirent du bar. Ils prirent leurs armes et fixèrent le groupe venant à leur rencontre. Ce groupe s’arrêta à une soixantaine de mètres d’eux. Trois homins approchèrent et vinrent se placer devant le commandant de la Cohorte.

- C’est notre dernier avertissement, partez et retournez chez vous ou mourrez !
- Quand on voit comment vous avez fuit tout à l’heure, on n’a pas besoin de s’inquiéter ! Ricana Arudy déjà excité à l’idée d’écraser ces fyros.
- Nous n’étions pas prêt ni équipé tout à l’heure et nous avons été gentil mais cette fois-ci c’est différent !
- Vous êtes plus nombreux c’est vrai ! Ajouta le vieux matis
- Ils sont au moins une centaine là non ? Questionna Lisiana qui semblait dans un état second.
- Mais non ils doivent être une vingtaine, tu as encore trop bu ! répliqua la statue de l’étable nommée Ayolas.
- Tu peux parler, tu as encore une bouteille à la main toi !
- Ah ça ?! Je l’ai ramassé tout à l’heure elle était déjà vide et j’ai oublié de la jeter, mentit la statue.
- Je vois que vous ne nous prenez pas au sérieux, dans ce cas préparez vous a mourir ! Cria la fyros.
Ils repartirent rejoindre le groupe.

Les deux groupes se faisaient face, la chaleur était forte, la nuit avait plongé la ville dans le noir.
Le vent commençait à se lever, aucun des deux camps ne bougeaient, ils se fixaient. On entendait aucun bruit, il silence était pesant puis au bout de plusieurs minutes, le premier sort fut lancé !
Les homins commencèrent alors à bouger, les sorts étaient lancés de chaque coté tel un feu d’artifice, ils s’abattaient sur leurs cibles. On pouvait entendre le bruit lourd des armes s’écraser sur les boucliers et sur les armures. Le sang coulait à flot ! Plusieurs fois, les guerriers sous le contrôle du commandant Némes prirent l’avantage mais grâce à leurs soigneurs, les kamistes tenaient.

Le combat durait depuis des heures, on pouvait lire la fatigue et la souffrance sur chaque visage. La sciure était devenue rouge, l’odeur du sang et de la mort commençait à être de plus en plus insupportable mais aucun des groupes ne voulaient céder face a l’autre. La lune et les étoiles étaient rouges, les nuages commençaient à les recouvrir et la pluie frappa les guerriers. Et après de longues heures de combat acharné, les soldats d’Yrkanis tombèrent sous le nombre des ennemis.
La pluie se fit de plus en plus violente et un voile noir recouvrait Thesos. Le combat était fini et la mort avait gagné les deux camps car même si les karavaniers étaient tombé les premiers, les opposants ne mirent pas longtemps à faire de même suite aux multiples blessures qu’ils avaient reçut.
Ce fut une de ces nuits sombres d’Atys.



( Merci à Lisiana pour ce texte)
Radamanthe Némes.
Ex-Commandant de la Cohorte d'Yrkanis
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dwain69
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Re: Tranches de vie à la Cohorte.

Post by dwain69 »

Auteur : Mousse


Journal de campagne de Mousse le fou de la Cohorte.
Prima, Floris 13, 1e CA 2546

Les permissions ont été suspendues aujourd'hui par notre chef aux officiers et aux membres de la guilde à cause de la fin de la période octroyée par le conseil de sécurité de la Cohorte. Nous sommes en état d'alerte totale pour se préparer contre l'agression Kami attendue contre notre territoire bien-aimé.
Comme je suis inquiet "Les Renégats" ont une solide réputation tous des Buffalo Bill.

Mais "Jena" est bonne.

Nous souhaitions que la guerre n'ait pas lieu, mais si elle a lieu, alors que le combat soit le bienvenu.

Holeth, Floris 30, 1e CA 2546

Il ne nous arrive que ce que "Jena" a décidé pour nous".

Ce matin, à 12h45, j'ai entendu des bruits de mektoubs de combat. Quelques secondes plus tard, la garde est entrée en me disant d'une voix teintée de prudence, de peur et de consternation: "Mousse, mon guerrier, il se peut que ce soit une attaque". Je me suis habillé en vitesse et j'ai su alors que l'agression Kamiste allait commencer contre notre avant poste de la "Forteresse du Bosquet Ouest" et que la guerre était inévitable... C'est la guerre... avec tout ce que ce mot sous-entend.

Le chef fait des bonds dans tous les sens "Timna prépares les armures et les armes et distribution générale,
Lisiana tu peux crafter quelques piques… Ah non pas ma gnole "rahhh les perfides saoulards…Mais Mousse ne pince pas les fesses de Mosaik ! Évidemment je suis tryker alors il est normal qu'il me considère comme un pervers le Radamthe! A tord bien sur !  Rhoo! Kitane me regarde plié de rire, le perfide, c'est lui qui a pincé les pommes de Mosaik".

21 heure

Pas un bruit nous sommes tous en état d’alerte et les nerfs à fleur de peau, zut! J’ai bêtement oublié mon ampli de soin, je craque une bulle de sève retour à Yrkanis et retour au bosquet de la confusion et la je cours, je vole vers notre avant poste, je crie à Elensul attention Vispa! Et voilà "pif paf pouf" tout les deux à terre, un rayon nous réveille, merci, quelqu'un nous a sorti du coma ! Piouf !!! Nous arrivons à temps, le chef a un sourire crispé…

22 heure

Après cela, les artilleurs ennemis ont commencés leur bombardement intensif sur notre avant poste que nous devons défendre et qui se trouve au Bosquet Inférieur en forêt Matis, dans la province d’ Yrkanis.
Comme je suis inquiet! Je suis plutôt très inquiet pour les miens...
Ils sont seuls là-bas... et je sais combien ils ont peur...

Oh Djena! Protége.
Oh Djena! Patience.
Oh Djena! Le salut pour tous.

Que la fureur de la Cohorte soit avec nous.
La mort n'est rien, un regard nous suffit et les uns les autres nous nous lançons dans la bataille. Lisiana est comme galvanisée, elle est couverte de sang et hurle : « healez moi, double sort, a mort les Kamis ! » Sérafin, comme j'admire son calme, imperturbable, nous redonne des soins en permanence avec les healeurs qui ne laissent pas voir leurs inquiétudes,

Radamanthe notre chef a décidé de prendre en main l’artillerie lourde saura t'il s’en servir ? Nous craignons le pire !
Pfff…Que la guerre est dure, mais comme nos homines sont belles !!!

La nuit tombe en pays Matis, mais étrangement le sang ressort encore plus sur le sol ...
Les assauts ennemis se poursuivent d'une façon continue et intense.
Les offs et les tanks de la Cohorte et des Renégats n'ont de cesse de s'affronter, j'ai cru apercevoir Kaili et Lokido...


Grâce soit rendue à Djena...

Grâce lui soit rendue d'être toujours en vie... Le jour se lève et les assauts n'ont pas lieu, du moins à cet instant...

Les assauts intensifs ont recommencés. Djena! Protéges-nous.

Je me suis rendu au delà de l’avant poste avec Blaise pour essayer de trouver de la nourriture et de la gnôle, pour les healeurs qui n’arrêtent pas de nous donner des soins intensifs.
J'y suis allé et j'y ai trouvé quatre sorts explosifs sur le sol... Comme la situation est difficile! Car je passais très très près de l'endroit... mais Djena me protège... Le spectacle que j'ai vu est effroyable : L'un des homins à terre a remué un de ces sorts et soudain il a explosé et le homin s'est transformé en néant et j'ai vu des morceaux de sa chair dans les branches d'un palmier..."Shalka"... Comme ce spectacle n'était pas beau à voir !

Je suis retourné au camp et j'ai retrouvé la guilde. Ils s'étaient replacés pour se protéger.
Que la fureur de la Cohorte soit avec nous !!!

23 heure

Les assauts ennemis sont peu nombreux sûrement a cause du mauvais temps et le tir de sorts de nos forces magiciennes a recommencé, Radamanthe exulte en donnant des ordres et en armant son artillerie, il vise les kamistes.

Je croise au camp Parne qui me donne quelques brèves nouvelles de la situation... dans ce foutoir je n'ai pas eu le temps de lui demander des nouvelles de mes amis, Req, lulu et Ferdinand et tous les autres d’Atys...

Marmaduk nous rejoint et se lance dans la bataille...j’ai l’impression que les kamistes sont en surnombre tellement ils de battent férocement, allez les Cohorteux ! Blaise toujours en tête déploie une énergie extraordinaire. Je suis bouleversé, je relève un tank, Timna, devant le camp, je reste comme un imbécile sans voix de la voir si pt'ite en tank avec son armure "rose bonbon" mais nous nous relançons dans la bataille!

Oh Djena! Protége,
Oh Djena! Le salut pour tous.

Des officiers de guilde, Parne, Lisiana, disent que l'ennemi bombarde avec ses magiciens car la plupart de leurs artilleurs faiblissent mais méfiance les renégats de Pyr sont de puissants guerriers. L'inquiétude me tenaille d'une façon permanente. Tiens! Kitane, je vais pouvoir lui demander des nouvelles, un malheur n'arrive jamais seul, un sort m'atteint en pleine poitrine..., "Schetana, Mallo, Moussette, Mouss'Junior" et leurs visages... je sombre dans le néant"

Je ressens un immense bienfait mon corps survole l’avant poste et je les vois tous, Parne, Mosaik, Cerise, Nadraiser, ou presque tous ma mémoire me fait défaut! Les Cohorteux… mais ils dansent et boivent et reboivent encore, Sérafin me lance un sort bénéfique et me tend la gourde de Radamanthe en me criant « Mousse nous avons gagné » !!! Ahuri je le regarde une larme coule… La joie de la victoire m’emporte dans un tourbillon d’ivresse, la gnôle de rada pt’être aussi.

Radamanthe d'un pas majestueux se dirige vers Les Renégats les sorts lui passent au raz de la tête et des fesses imperturbable il se dirige vers Lokido : "Holà et si nous en restions la venez sur l'avant poste nous ferons un lucio de famille », il sourit. Lokido crie : « arrêtez cessez le feu ! Mais cessez le feu Lokido regarde de haut Radamanthe (tient y a pas que moi qui suis petit !) Lokido baisse son arme"Pouquoi pas allons sur votre avant-poste mais à une seule condition, qu’il reste de la gnôle" Il sourit …

Comme la victoire est belle, mais de voir kamis et karas réunis cela me fait penser à mon pays les Lacs "l'alliance, les Taliars" j'esquisse un sourire …
A ce moment précis, bref arrêt sur image, la Cohorte en cœur, en leur montrant notre cul et nos mauvaises manières en leur chantant : « les homins c'est comme les ragus plus ça deviens vieux et plus ça deviens C… ! »

Mousse le fou de la Cohorte, Atys Holeth, Floris 30, 1e CA 2546 24h00…


(Merci à Mousse pour son journal de campagne )
Radamanthe Némes.
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Re: Tranches de vie à la Cohorte.

Post by dwain69 »

Auteur : Kitane


Kitane, jeune matis, entra dans la belle ville d'Yrkanis et se dirigea aussitôt vers les marchands, il était actuellement habillé d'un petit pantalon beige, qui s'apparentait plutôt à un torchon. L'homin lui vendit une très belle armure, de couleur rouge, pour presque rien ! Voulant acheter un Mektoub, le jeune homin alla vers le palefrenier. Quelqu'un de vraiment aimable ! pensa Kitane. Il acquit alors un beau mektoub de très bonne qualité avec des jambes très musclées.
Malgré tout ces beaux achats, Kitane manquait de quelque chose : il mourrait de faim. Le jeune homin voulut allez chasser, pour pouvoir manger un steak de bodoc, ou de yubo... Ses viandes préférées.

Quand il fut rentré de sa chasse, un Fyros aux traits durs et menaçants, aux yeux froids comme la mort, courut vers lui, une longue épée souillée de sang à la main. Kitane le regardait avec intérêt, il semblait fort. Le guerrier, avançait toujours, les sourcils froncés, en quête d'une nouvelle victime. Il jeta un œil vers le matis, souriant... Il avait trouvé sa future tuerie.

-"Pourquoi me regarde-tu ainsi, Matis ? " Siffla-t-il entre ses dents.
Kitane ne sut que répondre... Il tremblait... Prit par une impulsion, il tourna les talons et courut dans la direction opposée, bien sûr poursuivit par son agresseur, brandissant son arme.

Le guerrier fini par le rattraper, planquant Kitane contre un mur, avec son épée sous le menton. Il avait du mal a respirer et sentait sa poitrine se gonfler. Prit d'un élan, il tenta de dégainer sa dague et la planta dans la poitrine du Fyros.
-"tu comptais me tuer avec ça ?" se moqua-t-il.
-"Je...je..." Balbutia le matis.
-"lâche-le !" Criait une voix inconnu.
L'agresseur lâcha Kitane pour chercher qui ose ainsi s'adresser à lui. Un autre Matis... Il avançait. Il semblait plus vieux, plus fort... Kitane courut derrière son sauveur et se rangea à ses côtés.
-"Reste derrière moi, petit" lui dit-il.
C'est ce qu'il fit... Il se promit de le remercier une fois débarrassé de l'autre...
-"En aucun cas tu ne peux t'attaquer à des Matis !" Criait le fier guerrier Matis.
- "Qu'allez vous me faire, sous-race ?" ricana le fyros.
Il dégaina son épée et dit :
-"devine ..."

Le fier homin courut tout droit vers son adversaire, préparant un grand coup d'épée qui allait sans doute mettre à terre le Fyros. Les deux lames s'entrechoquèrent dans un grand bruit. Kitane était stupéfait. Une telle force se dégageait de ce combat...

Le combat se finit alors par la victoire du Matis. Épuisé, il s'assit sur le sol. Kitane attendit quelques minutes, le temps qu'il reprenne son souffle... Puis, ils discutèrent. Il disait s'appeler Radamanthe. Tout en essuyant son épée, il lui expliqua qu'il était à la tête d'une petite armée, nommée la cohorte d'Yrkanis, fiers combattants Matis au service de la forêt et de la Karavan.

Après quelques minutes de discutions, Radamanthe avoua qu'il avait vu ce qu'il s'était passé depuis le début de l'agression. Il avait trouvé très brave qu'il ait tenter de planter sa dague dans la poitrine du Fyros. Le fier guerrier Matis lui demanda alors de rejoindre ses rangs. Kitane accepta sur le champ ! C'était le début d'une nouvelle ère...

Il était devenu un grand guerrier, toujours fidèle à la cohorte d'Yrkanis, à la forêt, et à Jena.


(Merci à Kitane pour ce texte)
Radamanthe Némes.
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Re: Tranches de vie à la Cohorte.

Post by dwain69 »

Auteur : Timna



Les terres matis étaient ravagées. Les homins corrumpus de Ma-Duk avaient pris pieds dans les terres de la forêt, comme ils avaient aussi entrepris de conquérir les terres des lacs. Les maudits arbres vrilles poussaient comme de la mauvaise herbe sur la forêt. Il était temps de remédier à cet état des choses, et d'essayer de couper cette mauvaise herbe.
Ser Nemes avait sonné le rassemblement. D'ici peu, la sève des soldats de la cohorte coulera pour la forêt. La belle ville d'yrkanis était menacée de trop près
Timna, une jeune officier supérieure de la troupe, inspectait les préparatifs. C'était une tryker, petite même pour ceux de sa race. Ses cheveux, d'un rose encore plus vif que l'armure qu'elle portait, lui avait voulu le surnom de "bonbon" au sein de la troupe, et cette marque d'affection lui plaisait. Elle regrettait juste que les jeunes recrues soient trop intimidées pour l'utiliser en sa présence.
La première étape de sa tournée fut les forges de la guilde. Le bruit qui y régnait était assourdissant, même à 100 mètres. Et, la chaleur qui régnait était bien pire. Pourtant les armuriers étaient là, suant à grandes gouttes, et travaillant sans relâche. Leur sueur était le prix à payer pour obtenir des armures et des armes en quantité suffisante. Lorsqu'elle arriva, tout les hommes s'arrêtaient un instant de travailler pour la saluer, et elle leur rendit un par un leur salut, s'arrêtant pour admirer ici une épée, ici une magnifique armure et pour complimenter les artisans.
Sa ronde l'amena ensuite dans les quartiers des enchanteurs, qui préparaient les précieux cristaux de sève qui ne manquerait pas d'être consommés dans le combat. Là encore, elle s'arrêta pour discuter avec eux et les aida même un moment dans leur travail.
Elle parti ensuite rejoindre les salles d'entrainement, où les soldats apprenaient les techniques de combat individuelles et en groupe. Régulièrement, des groupes de soldats partaient à différents endroits d'atys pour perfectionner encore leurs techniques lors de chasses endiablées. Elle décida qu'il serait judicieux de les rejoindre par la suite, mais elle devait encore continuer sa tournée, qui l'amena à rencontrer quelques artilleurs retardataires, qui n'avaient pas encore déplacé leurs mektoubs, contenant de précieuses matières premières nécessaires à la fabrication de leurs meurtrières munitions. Elle les exhorta à se dépécher, puis continua sa route dans les quartiers de la troupe. Là, de nombreux soldats astiquaient leur armure, affutaient leurs armes, ou priaient Jena de leur accorder la victoire. Elle s'arrêta longuement pour discuter avec chacun d'entre eux, les encourageant, les rassurant quand à la bataille.
Enfin, sa tournée terminée, elle rejoignit Ser Nemes dans ses quartiers, où il l'attendait en compagnie des autres officiers supérieurs. Là ils évoquèrent longuement les derniers aspects stratégiques et tactiques de la bataille à venir.
Tout en discutant avec les autres officiers supérieur, Timna ne put s'empêcher d'adresser une prière intérieure à Jena : "faites que ce combat soit une victoire, et que je puisse me tenir aux côtés de mon très cher époux après la bataille, ou que nous soyons morts tout deux, car je ne pourrais vivre sans lui". Néanmoins, malgré quelques doutes qu'elle n'osait pas exprimer ouvertement, Timna avait confiance en son commandant et en les capacités de la Cohorte. La sève allait bientôt couler, mais celle des ennemis de la cohorte sera celle qui coulera le plus.


( Merci à Timna )
Radamanthe Némes.
Ex-Commandant de la Cohorte d'Yrkanis
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Re: Tranches de vie à la Cohorte.

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Auteur : Mosaik



Le jour allait bientôt se lever, Mosaik affutait sa lame dans son appartement. Elle en aurait bien besoin pour les jours à venir. En effet, son illustre chef, Radamanthe Némès avait organisé un voyage ou plutôt une expédition dans un nid de kitins pour les jours à venir. Les troupes de la Cohorte devaient donc être prêts, prêts à en découdre avec la malédiction Kitin.

Mosaik espèrait secrètement que le nid kitin en question serait celui de la Forêt Insaisissable : le Sous-Bois du Malheur dans les Primes Racines. Même si beaucoup jugent ce lieu lugubre et hostile, elle aimait s’y ballader, sûrement le calme et la faible probabilité de croiser des homins. Il est vrai que Mosaik était plutôt une homine solitaire, souvent en train d’arpenter Atys à la recherche des meilleures matières pour son artisanat. Mais en cette heure, elle devait se préparer, ses compagnons de la Cohorte sont en train d’en faire autant, elle le sait.

Aux premiers rayons, elle fila en trombe avec son équipement reluisant au lieu de rendez-vous fixé dans le District de Zachini. De nombreux compagnons étaient déjà là, on pouvait lire la peur dans les yeux de jeunes homins n’ayant jamais mis un pied dans un nid de kitin. De la peur, mais aussi une grande excitation, ils vont pouvoir en découdre et venger l’hominité en cas de victoire et de récolte des larves de Kitins. On pourrait même parler de double victoire car les larves de kitins sont un ingrédient d’exception pour l’artisanat, mais en les récoltant, ils allaient priver les Kitins de leur progéniture.

Mosaik avait déjà mis les pieds dans plusieurs nids de Kitins, avec des résultats souvent différents. La clé, elle le savait, serait la discipline. Si les homins restent groupés et suivent à la lettre les ordres du guide, alors tout se passerait bien pour les homins pour peu qu’ils soient bien entrainés et bien préparés.

Prise dans ses pensées, Mosaik n’avait pas vu arriver son chef, Radamanthe Némès. Il dégageait toujours cette impression de sérénité, il était très calme. Il salua brièvement ses troupes et les compta. Il prit alors la parole pour annoncer que le nid de kitin que nous allions attaquer serait le nid de Désertstock. A cette annonce, Mosaik tressaillit. D’une part la déception de ne pas se frotter aux kitins des Primes Racines contre qui elle n’avait jamais pris l’ascendant. D’autre part, elle s’était déjà aventurée dans le Nid de Désertstock, avec plus ou moins de réussite… Mais cela remontait maintenant, elle se sentait plus forte, elle connaissait les lieux, elle ne cessait de se dire que tout ira bien.

Les troupes de la Cohorte se sont alors dirigées vers les membres de la Karavan d’Yrkanis pour les solliciter afin d’être téléportés vers le Nœud de la Démence en Terre Zoraï. Mosaik n’aimait pas trop cette technologie de téléportation, elle préférait de loin la marche mais la distance était vraiment longue. Elle pensa avec amusement que cela aurait pu faire du bien à certains d’y aller en courant, un bon exercice songea-t-elle. Une fois en terre zoraï, plus de temps à perdre, les troupes se sont dirigées au pas de course vers le nid mais la Goo omniprésente en avait drogué plus d’uns qui se précipitaient en dehors des terres vertes. Sous les ravages de cette drogue, certains tombaient par terre, complètement drogués et ailleurs. Mosaik savait comme d’autres qu’il ne fallait pas céder à cette tentation sous peine de ne jamais se relever. Elle enfila ses amplificateurs pour soigner et faire revenir à la réalité ses amis. Après une petite leçon de morale, les troupes repartirent.

Il fallait à présent trouver l’entrée, Radamanthe semblait perplexe lui qui n’avait plus mis les pieds dans cette zone depuis belle lurette. Il ne trouvait plus l’entrée. Mosaik avait un petit souvenir et s’écarta du groupe avec pour objectif de trouver l’entrée. Son intuition était bonne puisqu’elle aperçu un petit tunnel à l’écart de l’énorme souche qui s’élevait vers le ciel. A sa grande surprise, elle y trouva Bloody qui lui aussi s’était souvenu de l’emplacement de l’entrée. Ils ont uni leurs voix pour appeler leurs amis et leur dire de venir.

Ils étaient 18 dans le tunnel qui mène au nid, Radamanthe fixa ses troupes et les exhorta à donner le meilleur. L’heure de la charge avait sonné, des cris et des chants guerriers parvenaient aux oreilles de Mosaik qui se heurtait aux premiers Kinchers qui gardaient l’entrée du nid. Il fallait vite progresser car une fois tués, de nouveaux Kinchers n’allaient pas tarder à revenir pour garder l’entrée. Il fallait donc se jeter tête baissée dans tout un groupe de Kirostas qui se tenait devant le passage menant aux larves. Mosaik avait rarement vu tant de volonté dans une charge, ses amis étaient vraiment courageux, elle devait leur prouver sa valeur et donna le meilleur d’elle-même pour se défaire des Kirostas. Ils progressèrent encore dans le nid pour tomber nez-à-nez avec des Kinreys. Elle n’en avait vu que très rarement et savait que ces ennemis étaient plus que redoutables. Plusieurs homins se jetèrent sur le groupe de Kinreys mais elle entendait au loin des amis qui annonçait une nouvelle vague de kirostas qui les attaquaient par derrière ! Les homins se regroupèrent mais les kitins étaient trop nombreux et tous tombèrent assez rapidement. Lorsque Mosaik reprit conscience, elle était à la Porte de la Lande Tachetée en compagnie de ses amis. Elle savait que Jena leur avait accordé une seconde chance et qu’il ne fallait pas la décevoir. Les homins reprirent la route du nid en cherchant ce qui avait pu leur cause du tort. Ils le savaient tous, ils n’avaient pas été assez groupé et n’avait pas progressé assez vite dans le nid. Mosaik ne se gêna pas pour en faire la remarque à Radamanthe. Celui-ci eut une réaction plutôt inattendue puisqu’il regarda Mosaik et lui dit de mener les troupes vers les larves. Elle ne savait pas s’il fallait prendre cela comme un honneur ou comme une punition, alors elle décida de considérer cela comme une chance de prouver sa valeur aux membres de l’expédition.
Elle se rua donc sur les Kinchers, puis sur les Kirostas tout en conseillant les troupes de la Cohorte. Un frisson la parcourut lorsqu’un Kizarak s’attaque à elle, elle n’en avait quasiment jamais croisé mais la Cohorte réussit à s’en défaire. Ils progressèrent, ne s’attardant pas devant les Kinreys et ils arrivèrent devant tout un troupeau de Kidinaks… Que faire ? Pas le temps d’y réfléchir a priori car tout un groupe de Kidinaks se rua sur les guerriers, une bataille longue et douloureuse s’en suivi et les homins étaient toujours debout malgré un assaut de Kinreys par l’arrière. Les homins pansaient leurs plaies mais un autre groupe de kidinaks eut raison du groupe de guerriers…

Une fois encore, Mosaik reprit conscience à la Porte de la Lande Tachetée avec ses amis. Cette fois, il fallait se dépêcher, la nuit allait tomber, il s’agissait du dernier assaut. Le groupe d’homins fonçait littéralement vers le nid, et une fois encore, tous suivirent les conseils de Mosaik. Elle était déçue, le Kizarak ne croisait pas sa route cette fois, elle aurait aimé le montrer à ses amis. Ils se frayèrent un chemin une fois encore jusqu’aux Kidinaks et cette fois, ils décidèrent de foncer dans le tas. Mais cette tactique allait en fait tourner au suicide, un groupe caché d’une vingtaine de Kidinaks surplombaient la sortie du tunnel que les homins avaient emprunté. 30 kidinaks contre 18 homins, la sentence tombait rapidement, tout comme la nuit. La Cohorte décida alors de faire route vers Yrkanis afin d’aller au bar boire une petite liqueur de shooki pour discuter et rire de cette expédition. Mais Mosaik n’avait pas le cœur à rire, elle avalait sa liqueur en pensant aux redoutables ennemis qu’elle avait croisé, elle espèrait ne pas en croiser dans son Jardin Majestueux et elle n’osait imaginer ce qui adviendrait de l’hominité si des hordes de Kidinaks, Kinreys ou Kizaraks déferlaient dans les capitales… Ce soir là, les Kitins ont rappelé aux Homins qu’ils seraient toujours là, pour le pire sans doute….



( Merci à Mosaik )
Radamanthe Némes.
Ex-Commandant de la Cohorte d'Yrkanis
Tonton Matis
Pour les Amis !
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