Leurs beaux idéaux, les lames les concretisaient en perpetrant des meurtres sur les foreurs de ces guildes trykers sans cesse persécutées par la Fraternité et leurs acolytes.
Pour Marike, c'était une autre journée de combat qui s'annonçait contre les assassins des Lames d'Aeden traquant nos foreurs à ajouter au peril kamiste toujours oppressant. A croire qu'ils agissaient de concert. Marike se disait que de toutes facons, la tête d'un traitre finissait toujours au bout d'une pique.
La tryker enfila son armure marquée par les batailles et passa sa chere pique Kardojena sur l'épaule puis brisa un pacte pour les primes racines.
Avis à tous les Atysiens
Moderator: Chroniques d'Atys
Re: Avis à tous les Atysiens
Marike
Disciples de Bremmen
Disciples de Bremmen
Re: Avis à tous les Atysiens
*affiche placardée sur les murs de toutes les villes*
Les Lames d'Aeden : Pourquoi ennemi avec les Disciples de Bremmen ?
Tout d'abord, qui est donc Dingle Bremmen ? Qua t'il fait ? Quelles sont les valeurs de ce héro dont nos ennemis se prétendent ... les disciples ?
Bremmen Dingle, un héro qui consacra sa vie aux autres, était l'un des plus éminent membre de la force de la Fraternité et sauva, des griffes des kitins, d'innombrables d'homins de toutes races lors de l'exode ! Il sauva notamment la mère de Mabreka Cho alors enceinte de celui-ci (dont le nom est composé des premières syllabes de ses sauveurs).
Cette année là, il rencontra un jeune et intrépide orphelin répondant au nom de still Wyler qu'il éleva en lui inculquant ses valeurs de droiture, d'entraide, de liberté , de fraternité.
Son enseignement porta ses fruits, le jeune Wyler, à la mort de son père spirituel, jura "de rendre puissante la nation tryker comme Loria l'a fait en son temps".
Ainsi, comme Loria, Wyler mena les troupes dans le lagon, bouta les matis esclavagistes et épousa une kamiste modérée.
Bremmen, Loria, Wyler ... de vrais héros Trykers défendant leur peuple et leurs valeurs au péril de leurs vie !
...
Et voici que se présente un groupe de mercenaires se prétendant "disciple de Bremmen". Mercenaires politiquement engagés, impliqués dans des alliances, prenant partie de leur propre initiative... nayant donc plus grand-chose de mercenaire, ressemblant davantage à un clan karavanier fanatique.
Les Lames espéraient au moins qu'ils auraient une conscience calquée sur les valeurs du héro : Fraternité, patriotisme, droiture, entraide , partage, tolérance.
Quelle déception ! Le jours où commencèrent les exactions des Bremmens au alentour de Fairheaven. ... Aucune ! Aucune action des Bremmens ne reflète le combat de leur soit disant mentor.
Bremmen Dingle, Jena ai son âme, doit pleurer de voir son nom et ses valeurs traînées ainsi dans la bouse de mektoub.
Disciples !! Vous n'étes pas digne de ce nom ! Que Jena vous noie dans l'eau des lacs encore trop pure pour des êtres tels que vous !
Homins,
Rejoignez-nous dans notre combat pour des lacs libres et un partage équitable. Quaucun Tryker ne soit jamais privé des biens de ses lacs.
Les Lames dAeden : Tryker avant tout
Talooss O' raudann
Artilleur/fusilier/pistolier
Baron de Gardecombe, Vassal du Duché du nexus
Au service des Lames d'Aeden
Re: Avis à tous les Atysiens
*affiche placardée au Bar de Fair Haven*
Qui sont nos amis ?
- Les Matis : Malgré les disputes et les incompréhensions du passé, les Matis respectent désormais notre liberté de pensée et notre droit de reconstruire notre société comme nous l'entendons. Après tout, ce qui compte vraiment c'est notre foi commune en Jena. Grâce à Jena, notre amitié n'a jamais été aussi forte, tout particulièrement depuis que les Matis ont ratifié les Droits de l'Homin. En plus, les Matis nous doivent en quelque sorte leur liberté après la dictature de Jinovitch. Non seulement, le Conseil Tryker a donné asile politique à sa seigneurie Yrkanis à Fairhaven mais Still Wyler, ancien Gouverneur, l'a escorté jusqu'aux terres matis pour empêcher Jinovitch d'accéder au trône.
Qui sont nos ennemis ?
- Les Kamis sont un fléau maléfique, ils essaient de perturber notre esprit avec leur magie pour en prendre possession. Il faut les éliminer.
Rejoigné les veritables Tryker , rejoigné La Boutique des Lacs
Amitié Deed
Deed crafteur (39/39) foreur (3/5)
Re: Avis à tous les Atysiens
Depuis cette annonce aux accents dramatiques, cette "guerre" n'avait été qu'escarmouches et assassinats isolés de prospecteurs.
Les ambitions de ces déclareurs de guerre de la Fraternité se révèlaient décidemment trop grandes pour eux, lames d'aeden et autres gardiens de la fédération.
Peut être s'agit-il juste d'un pretexte pour perpétrer des meurtres gratuits à l'encontre d'autres trykers forant paisiblement.
Eux seuls peut-etre sont en mesure de comprendre leurs propres motivations. Pour les autres ils apparaissent comme de vulgaires querelleurs.
Les ambitions de ces déclareurs de guerre de la Fraternité se révèlaient décidemment trop grandes pour eux, lames d'aeden et autres gardiens de la fédération.
Peut être s'agit-il juste d'un pretexte pour perpétrer des meurtres gratuits à l'encontre d'autres trykers forant paisiblement.
Eux seuls peut-etre sont en mesure de comprendre leurs propres motivations. Pour les autres ils apparaissent comme de vulgaires querelleurs.
Marike
Disciples de Bremmen
Disciples de Bremmen
Re: Avis à tous les Atysiens
Tomelin avala quelques rasades de sa bière et reposa sa chope au milieu des autres qui traînaient déjà sur le comptoir de Ba'Naer. Il regardait Ba qui se tenait à distance respectueuse des chopes vides.
- « Et sinon quoi de neuf Ba ? », demanda Tomelin.
- « Bah ! Tu dois le savoir quand même ! Ton homine fait encore des siennes ! », rétorqua Ba'Naer.
- « Ah ? Elle s'en prend à quelle homine cette fois ? », questionna Tomelin.
Ba le regarda perplexe.
- « Ca, il n'y a que toi qui peut le savoir. », dit Ba avec un sourire narquois.
- « Mouais.... Ca va.... C'est de l'histoire ancienne maintenant! », dit Tomelin en se renfrognant.
- « Je te parle de ça, bougre de bodoc ! », fit-il en montrant les affiches.
Tomelin jeta un oeil et sourit.
Effectivement, ça faisait quelques remous et les rumeurs allaient bon train. Et une fois de plus, l'amalgame entre les Lames et la Fraternité était fait, comme le démontrait à nouveau si bien leurs ennemis et détracteurs. Comment pouvait-on faire montre de si peu de discernement ? Et parler de la Fraternité là où il n'y avait que la décison d'une guilde ? Comme quoi le poison du mensonge et de la calomnie n'était jamais très loin ces derniers temps.
Et encore une fois, des termes de sectes, de terrorisme et d'intolérance était répandus sur les pontons de Fairhaven, comme un ivrogne qui dégueule son trop plein de bière. Ceux qui parlaient de fanatiques, de sectaires et de terroristes étaient promptes à remarquer le poil de yubo dans l'oeil du voisin sans remarquer le derrière poilu de Shalah qu'ils avaient dans les leurs.
Tomelin se souvenait encore, dans un passé pas si lointain, alors qu'il faisait partie de l'alliance karavan, du même genre de discours qui avait fleurit dans la bouche de ces mêmes détracteurs, au sujet des Lames et de ce qu'elles voulaient faire déjà à l'époque, allant même jusqu'à souhaiter la disparition des membres de cette guilde de l'écorce.
Tomelin détestait ce genre de discours et on pouvait dire qu'ils avaient été généreusement servi dernièrement.
Tomelin rigola intérieurement aussi quand il repensa aux rumeurs de meurtres dans les Primes. Quand on va dans les Primes, on est sûr d'y croiser de redoutables prédateurs ou des homins, et les plus dangereux ne sont pas forcément les plus hideux. Seule une amitié forte pouvait servir de protection contre les homins et leur prédation. Celui qui s'aventure dans ces lieux en pensant pouvoir y faire un pique-nique bucolique et ne rien subir est un fou dangereux ou un inconscient à forte tendance suicidaire. Lui-même avait dû subir les assauts de plusieurs homins et jamais il n'avait pleurer pour cela. C'était là rêgle, il la connaissait. Il ne s'y aventurait pas sans une extrême prudence, mais à chaque fois il savait à quoi s'attendre dans ces régions. Les Primes ne sont pas pour ceux qui se sentent de santé fragile et ceux-là feraient mieux de rester à ramasser les coquillages au grand air près des pontons de Fairhaven que d'aller dans ces endroits sombres et humides.
Mais comme d'habitude les cohortes de geignards faisaient entendre leurs voix chevrotantes et n'assumaient pas leurs choix. Alors que les mêmes se comportaient souvent de la même manière et criaient « malheur aux vaincus ».
Pleurez, geignez et larmoyez avec moi, mais surtout, par Jena, ne faites pas pareil que moi.
Tomelin n'avait jamais caché son affection pour les Lames et encore moins maintenant, ni son affection particulière pour leur chef actuel. Et une fois de plus, il trouvait que Shellyna en avait plus sous sa robe que ceux qui étaient bardés d'Aen.
Oui sa guerrière faisait des siennes et il n'en respecta que plus les Lames, car eux, au moins, étaient certainement plus respectables que d'autres.
Tomelin vida sa chope, jeta quelques dappers sur le comptoir tout en faisant un petit signe à Ba'Naer et prit le chemin de son appartement. Il allait retrouver Shellyna et les enfants. Tard dans la nuit, alors intimement enlacés, ils riraient un bon coup en se moquant copieusement de tout ça.
- « Et sinon quoi de neuf Ba ? », demanda Tomelin.
- « Bah ! Tu dois le savoir quand même ! Ton homine fait encore des siennes ! », rétorqua Ba'Naer.
- « Ah ? Elle s'en prend à quelle homine cette fois ? », questionna Tomelin.
Ba le regarda perplexe.
- « Ca, il n'y a que toi qui peut le savoir. », dit Ba avec un sourire narquois.
- « Mouais.... Ca va.... C'est de l'histoire ancienne maintenant! », dit Tomelin en se renfrognant.
- « Je te parle de ça, bougre de bodoc ! », fit-il en montrant les affiches.
Tomelin jeta un oeil et sourit.
Effectivement, ça faisait quelques remous et les rumeurs allaient bon train. Et une fois de plus, l'amalgame entre les Lames et la Fraternité était fait, comme le démontrait à nouveau si bien leurs ennemis et détracteurs. Comment pouvait-on faire montre de si peu de discernement ? Et parler de la Fraternité là où il n'y avait que la décison d'une guilde ? Comme quoi le poison du mensonge et de la calomnie n'était jamais très loin ces derniers temps.
Et encore une fois, des termes de sectes, de terrorisme et d'intolérance était répandus sur les pontons de Fairhaven, comme un ivrogne qui dégueule son trop plein de bière. Ceux qui parlaient de fanatiques, de sectaires et de terroristes étaient promptes à remarquer le poil de yubo dans l'oeil du voisin sans remarquer le derrière poilu de Shalah qu'ils avaient dans les leurs.
Tomelin se souvenait encore, dans un passé pas si lointain, alors qu'il faisait partie de l'alliance karavan, du même genre de discours qui avait fleurit dans la bouche de ces mêmes détracteurs, au sujet des Lames et de ce qu'elles voulaient faire déjà à l'époque, allant même jusqu'à souhaiter la disparition des membres de cette guilde de l'écorce.
Tomelin détestait ce genre de discours et on pouvait dire qu'ils avaient été généreusement servi dernièrement.
Tomelin rigola intérieurement aussi quand il repensa aux rumeurs de meurtres dans les Primes. Quand on va dans les Primes, on est sûr d'y croiser de redoutables prédateurs ou des homins, et les plus dangereux ne sont pas forcément les plus hideux. Seule une amitié forte pouvait servir de protection contre les homins et leur prédation. Celui qui s'aventure dans ces lieux en pensant pouvoir y faire un pique-nique bucolique et ne rien subir est un fou dangereux ou un inconscient à forte tendance suicidaire. Lui-même avait dû subir les assauts de plusieurs homins et jamais il n'avait pleurer pour cela. C'était là rêgle, il la connaissait. Il ne s'y aventurait pas sans une extrême prudence, mais à chaque fois il savait à quoi s'attendre dans ces régions. Les Primes ne sont pas pour ceux qui se sentent de santé fragile et ceux-là feraient mieux de rester à ramasser les coquillages au grand air près des pontons de Fairhaven que d'aller dans ces endroits sombres et humides.
Mais comme d'habitude les cohortes de geignards faisaient entendre leurs voix chevrotantes et n'assumaient pas leurs choix. Alors que les mêmes se comportaient souvent de la même manière et criaient « malheur aux vaincus ».
Pleurez, geignez et larmoyez avec moi, mais surtout, par Jena, ne faites pas pareil que moi.
Tomelin n'avait jamais caché son affection pour les Lames et encore moins maintenant, ni son affection particulière pour leur chef actuel. Et une fois de plus, il trouvait que Shellyna en avait plus sous sa robe que ceux qui étaient bardés d'Aen.
Oui sa guerrière faisait des siennes et il n'en respecta que plus les Lames, car eux, au moins, étaient certainement plus respectables que d'autres.
Tomelin vida sa chope, jeta quelques dappers sur le comptoir tout en faisant un petit signe à Ba'Naer et prit le chemin de son appartement. Il allait retrouver Shellyna et les enfants. Tard dans la nuit, alors intimement enlacés, ils riraient un bon coup en se moquant copieusement de tout ça.
Last edited by sheelba on Wed Aug 22, 2007 12:04 am, edited 1 time in total.
Tomelin
Appât à Slucer des Lames d'Aeden
"Je n'existe pas parce que je clique, j'existe parce que je réfléchis." (Lao-Tseu, VIè siècle av. JC)
Appât à Slucer des Lames d'Aeden
"Je n'existe pas parce que je clique, j'existe parce que je réfléchis." (Lao-Tseu, VIè siècle av. JC)