Les étendards Zorai se dressaient à lhorizon. La troupe de géants bleus marchait dun pas silencieux vers une guerre qui était aujourdhui irréversible. Guerriers, magiciens et le cortége qui suivait toute armée, se dirigeaient maintenant vers leur destin.
Au loin, dans les tours de Zora, les diplomates savaient que leur temps était révolu, seul parlaient maintenant les stratèges et autres généraux. Pourtant ce nest pas faute davoir essayé toutes les voies pacifiques. Mais en ce jour funeste pour la paix, il nest plus le temps de mots mais celui des armes.
Alors lOrdre des Questeurs, trahi en son esprit et en son âme par des guildes karavan prêchant le respect des territoires, se dressa. Les seides de la sorciére avaient commis la seule erreur à ne pas faire, attaquer la jungle. Bafoués par des mensonges, bafoués dans leur honneur, les frères avaient maintenant le cur léger et lesprit libre.
Aujourdhui les sages deviennent guerriers et ils marchent au coté de Ma-Duk, pour exterminer leurs ennemis. Ils seront alors, ce quil en coûte de réveiller la colère du peuple Zorai.
En cette date, lOrdre partie en guerre sur lécorce, et plus jamais les frères nécouteraient les paroles mieleuses des esclaves de la sorcière à trois têtes.
Le temps du Rio-Shen-Ievo* est venu...
(*le Rio-Shen-Ievo = la guerre sacré ancestrale, celle par laquelle les zorais se lévent pour marcher sur leurs ennemis. une guerre extréme, et totale.)
Crie de guerre, le Rio-Shen-Ievo* commence...
Moderator: Chroniques d'Atys
Crie de guerre, le Rio-Shen-Ievo* commence...
Last edited by azazer on Fri Feb 03, 2006 5:55 pm, edited 1 time in total.
Gonru fils de Gon.
"Mmm... tu trompes l'ami, je n'ai qu'un seul maître et celui-ci n'aime pas ce que font tes amis, alors je vais devoir te passer par les armes. Ne pleure pas, c'est inutile, ils seront te réveiller."
"Mmm... tu trompes l'ami, je n'ai qu'un seul maître et celui-ci n'aime pas ce que font tes amis, alors je vais devoir te passer par les armes. Ne pleure pas, c'est inutile, ils seront te réveiller."
Re: Crie de guerre, la croisade commence...
Oscar s'éveillait doucement. Il avait bien dormi, d'un bon sommeil, orné de beaux rêves. Il pris progressivement conscience des bruits alentours, de l'air ambiant, de la lumière... Tous différents, tous inconnus. Mais où était-il ?
Ouvrant les yeux, il vit l'énorme machine organique, sorte de grosse bulbe feuillue, avec ses trois paniers qui récoltaient les matières extraites du sol... Le pays Zoraï !
D'un bond, Oscar s'était levé et, les yeux à présent bien ouverts, il contemplait avec stupeur ce paysage entièrement nouveau pour lui : le pays Zoraï ! En avait-il rêvé ! En avait-il entendu des légendes à son sujet ! Et combien il avait frémis, enfant, lorsqu'on lui avait parlé de la "jungle vivante ou marchent des morts". Le pays Zoraï...
Tout avait commencé la veille. Une grande lassitude, conséquence d'années vaines à espérer... Espérer quoi ? Le renouveau d'un certain art de vivre ? L'émergeance en Yrkanis, parmis les Réfugiés, ses amis, d'une conscience politique qui soit à la fois subtile, redoutable et esthétique ? Avait-il sérieusement pensé qu'il jouerait un rôle dans les progrès de la civilisation Matis ? S'était-il réellement cru meilleur diplomate qu'il n'était, en réalité ? Et à quoi bon ? Avait-on seulement besoin de diplomates, en ces temps guerriers ?
A cette lassitude, héritée d'années à ruminer le sentiment amer de son inutilité, s'était ajouté, la veille, la nouvelle de la prise d'un avant-poste des Jardins par des kamites. Dame Kaithlin, trop fourbue, n'avait lâché que quelques mots... Et ces mots, dans leur sécheresse frustre, résumaient des centaines d'idées ressassées dix mille fois : la guerre, l'inutilité des discours. La laideur....
Tout avait commencé par une évidence : partir ! Partir au loin... Plutôt que d'insister. Plutôt que de se terrer encore, guettant à la fenêtre, en quête d'un signe, d'un frémissement qui ne venait jamais... Partir. Non pas pour fuir, pas cette fois. La fuite immobile, l'attente vaine du jour où tout arriverait... C'était bien fini tout cela ! Il s'agissait désormais du contraire, vivre enfin ! Partir au loin, pour voyager, découvrir de nouvelles perspectives, poser ses yeux sur encore plus de beautés, entendre de nouvelles musiques, contempler d'autres cieux sous lesquels d'autres homins respiraient et vivaient...
Il avait enfourché son fidèle Bigoudi - un nom qui lui semblait soudain ridicule - et ils avaient passé la porte d'Yrkanis, sachant que, cette fois-ci, le retour n'était pas pour le soir, ni pour le lendemain... Où aller ? La nouvelle toute récente de l'attaque des armées kamistes sur le Tertre résonait encore dans sa tête. Towerbridge... Des vagues de souvenirs le submergèrent. Il commencerait par là. C'était une évidence, bien sûr !
Partir, non pas pour fuir, s'éloigner de lui-même et échapper à son existence, mais au contraire, pour aller à soi, à sa vraie vie et la vivre ! Towerbridge... Ce merveilleux endroit avait été le terrain de tant d'années de sa vie de foreur, ses meilleures années sûrement. Il était le gardien de tant de ses secrets. Instinctivement, Bigoudi, le vieux mektoub si docile, si fidèle, avait pris le chemin familier de Tower. Lui aussi, dans sa frustre conscience animale, mais guidé par l'instinct infaillible des bêtes, avait senti que ce grand voyage vers l'inconnu devait commencer par là : Towerbridge, le Tertre, et puis...
Et puis Oscar avait croisé des homins, qui continuaient à se défier et s'affronter dans les collines, près du Tertre. Affrontements ou bien joutes ? Quelle énergie les animait ? La haine ? La conviction ? Le sentiment de devoir combattre jusqu'au bout ? Quelle puissance était-elle à l'oeuvre ? Il reconnut quelques amis, en particulier Dame Lilithe, qui posait sur les combattants son regard à la fois guoguenard et désabusé. Oscar passa un bon moment à les observer, sans rien dire, sans même savoir ce qu'il faisait là et où il irait ensuite. Et puis soudain, pris d'une inspiration étrange, il lança à la cantonade :
"- Quelqu'un voudrait-il me conduire, avec mon vieux Bigoudi, jusqu'à Pyr ?"
Qui lui répondrait ? Un de ses amis ? Un de ces combattants kamistes ?
Ce fut une fière guerrière, membre d'Alkiane : Dame Emna. Elle était accompagnée d'un grand Zoraï, qu'Oscar ne connaissait pas. Tous deux se proposèrent de l'escorter jusqu'à Thesos au moins, Pyr peut-être. Et puis Dame Lilithe, à la grande satisfaction du groupe, décida de se joindre à eux. C'était parti, le voyage commençait !
Comment étaient-ils finalement arrivés jusque dans le pays Zoraï ? Oscar s'assit à l'ombre d'un grand bâtiment, cherchant à rassembler les mille et une images qui lui revenaient avec force de leur grand périple jusqu'à Thesos et au-delà, passant par Pyr-la-Grande, puis Dyron... A la nuit tombée, ils avaient poussé jusqu'aux ruines malfamées qui servaient de repaire à la bande d'Aen, comme le leur avait expliqué Lilithe, leur guide... Et puis ensuite ? Un vortex, traversé presque par hazard, et subitement, dans les premières lueurs laiteuses de l'aube, ce paysage, cette lumière, ces odeurs, entièrement nouveaux... Le pays Zoraï s'offrait à leurs regards !
Ils étaient si fatigués. Ils avaient décidé de rester là, à quelques mektoubées à peine du vortex, sur le terrain d'une sorte de grande ferme, un avant-poste sûrement, dans la cour duquel ils avaient contemplé l'étrange et belle machine. Et puis, presque sans un mot, ils s'étaient bien vite endormis. Et maintenant ?
Oscar entendait le cri puissant de bêtes inconnues. Très proches. Des kitins, sans aucun doute. Mais de quelle espèce ? Tout ce qu'il voyait, entendait, sentait, était nouveau. Il ressentait de l'inquiétude, bien sûr, et ses anciennes peurs revenaient le hanter. Mais par-dessus tout, bien plus forte que l'inquiétude et beaucoup plus saisissante que la peur, il sentait poindre un sentiment nouveau lui aussi, presque lumineux en son âme, qui lui chauffait le sang et parcourait ses membres comme une onde frémissante, à la fois chaude et vivifiante : la joie ! Une joie puissante, roborative. L'envie de s'élancer, de découvrir le monde ! Le sentiment d'avoir déchiré un voile qui jusqu'à présent obscurcissait sa vie, d'être sorti d'une boîte étouffante et malodorante et de se retrouver soudain à l'air libre, tout étonné de sentir le vent et les fleurs, respirant à pleins poumons, le corps délié, inondé de lumière. Le sentiment d'être libéré...
Que serait la suite de ce voyage ? Oscar n'en savait rien. Il y aurait sans doute des dangers, mais sûrement aussi de grands motifs de joie. A côté de lui, à l'ombre du bâtiment de bois, Bigoudi donnait des signes de nervosité. Inquiétude ? Impatience ? Il n'y avait qu'une certitude : le grand pays Zoraï se déroulait là, devant leurs yeux, par-delà ces dunes de sciure... Et derrière elles, la jungle ! La jungle si redoutée, toute enrobée de légendes et de mystères...
Allons, Bigoudi. Allons voir si Dame Lilithe est encore dans les parrages. Tu as faim mon beau ? N'aie crainte, j'ai des provisions de foin pour toi. Et quant à nous, il nous reste tant de choses à découvrir !
Ouvrant les yeux, il vit l'énorme machine organique, sorte de grosse bulbe feuillue, avec ses trois paniers qui récoltaient les matières extraites du sol... Le pays Zoraï !
D'un bond, Oscar s'était levé et, les yeux à présent bien ouverts, il contemplait avec stupeur ce paysage entièrement nouveau pour lui : le pays Zoraï ! En avait-il rêvé ! En avait-il entendu des légendes à son sujet ! Et combien il avait frémis, enfant, lorsqu'on lui avait parlé de la "jungle vivante ou marchent des morts". Le pays Zoraï...
Tout avait commencé la veille. Une grande lassitude, conséquence d'années vaines à espérer... Espérer quoi ? Le renouveau d'un certain art de vivre ? L'émergeance en Yrkanis, parmis les Réfugiés, ses amis, d'une conscience politique qui soit à la fois subtile, redoutable et esthétique ? Avait-il sérieusement pensé qu'il jouerait un rôle dans les progrès de la civilisation Matis ? S'était-il réellement cru meilleur diplomate qu'il n'était, en réalité ? Et à quoi bon ? Avait-on seulement besoin de diplomates, en ces temps guerriers ?
A cette lassitude, héritée d'années à ruminer le sentiment amer de son inutilité, s'était ajouté, la veille, la nouvelle de la prise d'un avant-poste des Jardins par des kamites. Dame Kaithlin, trop fourbue, n'avait lâché que quelques mots... Et ces mots, dans leur sécheresse frustre, résumaient des centaines d'idées ressassées dix mille fois : la guerre, l'inutilité des discours. La laideur....
Tout avait commencé par une évidence : partir ! Partir au loin... Plutôt que d'insister. Plutôt que de se terrer encore, guettant à la fenêtre, en quête d'un signe, d'un frémissement qui ne venait jamais... Partir. Non pas pour fuir, pas cette fois. La fuite immobile, l'attente vaine du jour où tout arriverait... C'était bien fini tout cela ! Il s'agissait désormais du contraire, vivre enfin ! Partir au loin, pour voyager, découvrir de nouvelles perspectives, poser ses yeux sur encore plus de beautés, entendre de nouvelles musiques, contempler d'autres cieux sous lesquels d'autres homins respiraient et vivaient...
Il avait enfourché son fidèle Bigoudi - un nom qui lui semblait soudain ridicule - et ils avaient passé la porte d'Yrkanis, sachant que, cette fois-ci, le retour n'était pas pour le soir, ni pour le lendemain... Où aller ? La nouvelle toute récente de l'attaque des armées kamistes sur le Tertre résonait encore dans sa tête. Towerbridge... Des vagues de souvenirs le submergèrent. Il commencerait par là. C'était une évidence, bien sûr !
Partir, non pas pour fuir, s'éloigner de lui-même et échapper à son existence, mais au contraire, pour aller à soi, à sa vraie vie et la vivre ! Towerbridge... Ce merveilleux endroit avait été le terrain de tant d'années de sa vie de foreur, ses meilleures années sûrement. Il était le gardien de tant de ses secrets. Instinctivement, Bigoudi, le vieux mektoub si docile, si fidèle, avait pris le chemin familier de Tower. Lui aussi, dans sa frustre conscience animale, mais guidé par l'instinct infaillible des bêtes, avait senti que ce grand voyage vers l'inconnu devait commencer par là : Towerbridge, le Tertre, et puis...
Et puis Oscar avait croisé des homins, qui continuaient à se défier et s'affronter dans les collines, près du Tertre. Affrontements ou bien joutes ? Quelle énergie les animait ? La haine ? La conviction ? Le sentiment de devoir combattre jusqu'au bout ? Quelle puissance était-elle à l'oeuvre ? Il reconnut quelques amis, en particulier Dame Lilithe, qui posait sur les combattants son regard à la fois guoguenard et désabusé. Oscar passa un bon moment à les observer, sans rien dire, sans même savoir ce qu'il faisait là et où il irait ensuite. Et puis soudain, pris d'une inspiration étrange, il lança à la cantonade :
"- Quelqu'un voudrait-il me conduire, avec mon vieux Bigoudi, jusqu'à Pyr ?"
Qui lui répondrait ? Un de ses amis ? Un de ces combattants kamistes ?
Ce fut une fière guerrière, membre d'Alkiane : Dame Emna. Elle était accompagnée d'un grand Zoraï, qu'Oscar ne connaissait pas. Tous deux se proposèrent de l'escorter jusqu'à Thesos au moins, Pyr peut-être. Et puis Dame Lilithe, à la grande satisfaction du groupe, décida de se joindre à eux. C'était parti, le voyage commençait !
Comment étaient-ils finalement arrivés jusque dans le pays Zoraï ? Oscar s'assit à l'ombre d'un grand bâtiment, cherchant à rassembler les mille et une images qui lui revenaient avec force de leur grand périple jusqu'à Thesos et au-delà, passant par Pyr-la-Grande, puis Dyron... A la nuit tombée, ils avaient poussé jusqu'aux ruines malfamées qui servaient de repaire à la bande d'Aen, comme le leur avait expliqué Lilithe, leur guide... Et puis ensuite ? Un vortex, traversé presque par hazard, et subitement, dans les premières lueurs laiteuses de l'aube, ce paysage, cette lumière, ces odeurs, entièrement nouveaux... Le pays Zoraï s'offrait à leurs regards !
Ils étaient si fatigués. Ils avaient décidé de rester là, à quelques mektoubées à peine du vortex, sur le terrain d'une sorte de grande ferme, un avant-poste sûrement, dans la cour duquel ils avaient contemplé l'étrange et belle machine. Et puis, presque sans un mot, ils s'étaient bien vite endormis. Et maintenant ?
Oscar entendait le cri puissant de bêtes inconnues. Très proches. Des kitins, sans aucun doute. Mais de quelle espèce ? Tout ce qu'il voyait, entendait, sentait, était nouveau. Il ressentait de l'inquiétude, bien sûr, et ses anciennes peurs revenaient le hanter. Mais par-dessus tout, bien plus forte que l'inquiétude et beaucoup plus saisissante que la peur, il sentait poindre un sentiment nouveau lui aussi, presque lumineux en son âme, qui lui chauffait le sang et parcourait ses membres comme une onde frémissante, à la fois chaude et vivifiante : la joie ! Une joie puissante, roborative. L'envie de s'élancer, de découvrir le monde ! Le sentiment d'avoir déchiré un voile qui jusqu'à présent obscurcissait sa vie, d'être sorti d'une boîte étouffante et malodorante et de se retrouver soudain à l'air libre, tout étonné de sentir le vent et les fleurs, respirant à pleins poumons, le corps délié, inondé de lumière. Le sentiment d'être libéré...
Que serait la suite de ce voyage ? Oscar n'en savait rien. Il y aurait sans doute des dangers, mais sûrement aussi de grands motifs de joie. A côté de lui, à l'ombre du bâtiment de bois, Bigoudi donnait des signes de nervosité. Inquiétude ? Impatience ? Il n'y avait qu'une certitude : le grand pays Zoraï se déroulait là, devant leurs yeux, par-delà ces dunes de sciure... Et derrière elles, la jungle ! La jungle si redoutée, toute enrobée de légendes et de mystères...
Allons, Bigoudi. Allons voir si Dame Lilithe est encore dans les parrages. Tu as faim mon beau ? N'aie crainte, j'ai des provisions de foin pour toi. Et quant à nous, il nous reste tant de choses à découvrir !
Last edited by monwalker on Thu Feb 02, 2006 5:59 pm, edited 1 time in total.
Oscar de l'Ormeray
* L'Art et la matière *
* L'Art et la matière *
Re: Crie de guerre, la croisade commence...
De passage à Zora pour se lancer dans une petite exploration de la jungle en vue de futurs forage. Je dehambulais dans les zone marchandes à la recherche de ces si merveilleusement moulantes tenues Zorai.
Quand je fus surprise par les cris d'une foule qui arrangait ue troupe de guerrier. Malgré le regard que me portaient certains Zoraï. Je pus savoir que ces guerriers partaient pour la guerre suite à une agression sur leur territoire.
Sentant les regards pesant qui se portaient sur moi je m'eloignais de la foule. Pensant à la folie des homins. Je me demandais si tout cela s'arreterais un jours. Et si la sagesse des uns l'emporterait sur la folie des autres. Mais non car en me rememorant les anciens écrits tout ceci avait un gout de déjà vus........
Je sortis de zora. Et m'eloignais de cette ville que j'aimais tant. Dans un moment d'egarement je priais pour que les rare personne que je connaissais et leurs famille soient épargnées par les désastres de cette guerre. Peut être faudrait'il faire quelque chose pour arréter cette folie.
Finalement je trouvais cette si belle source dans la jungle j'y posait mon campement en vue de la nuit qui s'annonçait. Je pris mes cubes et je me replongeais das l'histoire tourmentée de mes fréres homins
Quand je fus surprise par les cris d'une foule qui arrangait ue troupe de guerrier. Malgré le regard que me portaient certains Zoraï. Je pus savoir que ces guerriers partaient pour la guerre suite à une agression sur leur territoire.
Sentant les regards pesant qui se portaient sur moi je m'eloignais de la foule. Pensant à la folie des homins. Je me demandais si tout cela s'arreterais un jours. Et si la sagesse des uns l'emporterait sur la folie des autres. Mais non car en me rememorant les anciens écrits tout ceci avait un gout de déjà vus........
Je sortis de zora. Et m'eloignais de cette ville que j'aimais tant. Dans un moment d'egarement je priais pour que les rare personne que je connaissais et leurs famille soient épargnées par les désastres de cette guerre. Peut être faudrait'il faire quelque chose pour arréter cette folie.
Finalement je trouvais cette si belle source dans la jungle j'y posait mon campement en vue de la nuit qui s'annonçait. Je pris mes cubes et je me replongeais das l'histoire tourmentée de mes fréres homins
Last edited by diumm on Thu Feb 02, 2006 5:56 pm, edited 1 time in total.
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