Au coeur des Ténèbres un Ordre se dresse
Posted: Wed Nov 10, 2004 10:05 am
Ami si tu me croises sur les chemins,
Arme au fourreau, larmes au coeur,
Nul ne sait où je vais, d'où je viens,
Moi le vagabond qui ne craint aucun heurt.
Ami si tu me croises, rude est la vie,
Pour le Chevalier dont jamais route ne finit,
Des mystères de l'Ecorce s'engendre la démence,
Atys enténébrée aujourd'hui crie clémence.
Et mes chemins d'espoir sont entachés de sang,
Plus jamais l'insouciance, plus jamais l'aube enfantine,
Prends ton epée, Ami, souviens-toi des absents,
Car les terreurs nouvelles succèdent aux comptines.
Si tu me croises, mon frère, abandonne toute liesse,
Prends ta besace mets-y ta nuit et tes souvenirs,
Et surtout n'y oublie pas la Douleur, cette absinthe,
Qui désormais sera ton implacable maîtresse.
Cette ballade court les chemins depuis que les Ténèbres ont emporté tes amis, tes parents, tes espoirs.
Tu erres, les nerfs à vif, le coeur à la chamade, les hurlements des Gingos et des Cuttlers surpuissants plongent en désaroi les peuples d'Atys.
De nombreux Homins se terrent, en proie au doute et désespèrent de l'Ecorce, soudain devenue si mortelle, si implacable que rallier une ville à une autre est aussi frèle et aléatoire qu'un jet de dés entre des trykers joviaux.
Raffermis ton coeur, renforce tes doigts sur le pommeau de ta lame, regardes droit devant... tu n'es pas seul. Les Chevaliers d'Onarius, au plus profond des Ténèbres nouvelles, sont soucieux, mais jamais leur âme n'oubliera la beauté d'Atys ni les promesses que Demain porte.
Ami, Frère, Soeur, le Temps du Désespoir rime avec le Temps des Héros... Sois des nôtres !
Et peut-être qu'en nous trouvant sur les chemins, eh bien mon Dieu, tu trouveras ton Destin Personnel.
(Venez vous réchauffer à notre feu hospitalier sur http://www.onarius.net)
Arme au fourreau, larmes au coeur,
Nul ne sait où je vais, d'où je viens,
Moi le vagabond qui ne craint aucun heurt.
Ami si tu me croises, rude est la vie,
Pour le Chevalier dont jamais route ne finit,
Des mystères de l'Ecorce s'engendre la démence,
Atys enténébrée aujourd'hui crie clémence.
Et mes chemins d'espoir sont entachés de sang,
Plus jamais l'insouciance, plus jamais l'aube enfantine,
Prends ton epée, Ami, souviens-toi des absents,
Car les terreurs nouvelles succèdent aux comptines.
Si tu me croises, mon frère, abandonne toute liesse,
Prends ta besace mets-y ta nuit et tes souvenirs,
Et surtout n'y oublie pas la Douleur, cette absinthe,
Qui désormais sera ton implacable maîtresse.
Cette ballade court les chemins depuis que les Ténèbres ont emporté tes amis, tes parents, tes espoirs.
Tu erres, les nerfs à vif, le coeur à la chamade, les hurlements des Gingos et des Cuttlers surpuissants plongent en désaroi les peuples d'Atys.
De nombreux Homins se terrent, en proie au doute et désespèrent de l'Ecorce, soudain devenue si mortelle, si implacable que rallier une ville à une autre est aussi frèle et aléatoire qu'un jet de dés entre des trykers joviaux.
Raffermis ton coeur, renforce tes doigts sur le pommeau de ta lame, regardes droit devant... tu n'es pas seul. Les Chevaliers d'Onarius, au plus profond des Ténèbres nouvelles, sont soucieux, mais jamais leur âme n'oubliera la beauté d'Atys ni les promesses que Demain porte.
Ami, Frère, Soeur, le Temps du Désespoir rime avec le Temps des Héros... Sois des nôtres !
Et peut-être qu'en nous trouvant sur les chemins, eh bien mon Dieu, tu trouveras ton Destin Personnel.
(Venez vous réchauffer à notre feu hospitalier sur http://www.onarius.net)