Goa(quête)
Posted: Sun Oct 24, 2004 5:13 pm
Je suis Athanos, Champion de la Flamme.
Hier matin, alors que je rentrais d'un de mes voyages, je croisais la route de Choubaka, lui-même Champion de la Flamme.
Celui-ci me raconta que des villageois étaient harcelés par une créature appelée le Goaketh et qu'ils lui avaient demandé de les en débarasser.
Il me demanda donc ce que je savait sur cette créature.
Ne l'ayant moi-même jamais affronté, je ne pouvais rien lui apprendre de plus, mais j'acceptais de l'aider à s'en débarasser.
Nous arrivâmes à sa tanière. La bête était effrayante.
Je levais mon épée et chargeais le monstre. Mes premiers coups l'ont à peine égratigné, mais par contre, je sentis horriblement bien les siens.
Mon compagnon utilisait toute sa science curative afin de me permettre de continuer ce combat inégal. Mais la bête était diaboliquement intelligente, elle s'attaqua au guérisseur.
Choubaka n'était pas de taille à se défendre, l'horrible créature l'attrapa avec ses pinces et lui faisait souffrir le martyre. Son attention détournée, elle ne vit pas son premier assaillant se relever péniblement et s'approcher par derrière.
Je fit appel à mes dernières forces pour lui infliger un coup mortel, mais au dernier moment, il me repéra, laissa retomber sa prise inconsciente et para le coup.
Puis nous frappâmes en même temps : il m'attapa la taille et j'enfoncai ma lame dans sa tête. Ce fût mon tour d'endurer les souffrances, mais avais-je vraiment touché son cerveau?
A chaque douleur, je retournai mon épée et l'enfonçait encore, et à chaque fois il me serrait encore plus fort, j'enfonçais, il serrait...
La douleur était telle que je finis par m'évanouir, mon destin finissant dans les pinces de ce démon.
Je me réveillais à Pyr. Choubaka, près de moi, me raconta ce qui s'était passé.
Quand il sortit de son inconscience, il vit le cadavre du Goaketh étendu à coté du mien et fit appel à sa magie. Mais mes blessures étaient beaucoup trop grave et il du se résigner à me porter à Pyr afin de demander l'aide des maîtres guérisseurs.
Au moins cette horreur ne nuira plus à personne, à moins qu'elle n'ait eue une progéniture...
Hier matin, alors que je rentrais d'un de mes voyages, je croisais la route de Choubaka, lui-même Champion de la Flamme.
Celui-ci me raconta que des villageois étaient harcelés par une créature appelée le Goaketh et qu'ils lui avaient demandé de les en débarasser.
Il me demanda donc ce que je savait sur cette créature.
Ne l'ayant moi-même jamais affronté, je ne pouvais rien lui apprendre de plus, mais j'acceptais de l'aider à s'en débarasser.
Nous arrivâmes à sa tanière. La bête était effrayante.
Je levais mon épée et chargeais le monstre. Mes premiers coups l'ont à peine égratigné, mais par contre, je sentis horriblement bien les siens.
Mon compagnon utilisait toute sa science curative afin de me permettre de continuer ce combat inégal. Mais la bête était diaboliquement intelligente, elle s'attaqua au guérisseur.
Choubaka n'était pas de taille à se défendre, l'horrible créature l'attrapa avec ses pinces et lui faisait souffrir le martyre. Son attention détournée, elle ne vit pas son premier assaillant se relever péniblement et s'approcher par derrière.
Je fit appel à mes dernières forces pour lui infliger un coup mortel, mais au dernier moment, il me repéra, laissa retomber sa prise inconsciente et para le coup.
Puis nous frappâmes en même temps : il m'attapa la taille et j'enfoncai ma lame dans sa tête. Ce fût mon tour d'endurer les souffrances, mais avais-je vraiment touché son cerveau?
A chaque douleur, je retournai mon épée et l'enfonçait encore, et à chaque fois il me serrait encore plus fort, j'enfonçais, il serrait...
La douleur était telle que je finis par m'évanouir, mon destin finissant dans les pinces de ce démon.
Je me réveillais à Pyr. Choubaka, près de moi, me raconta ce qui s'était passé.
Quand il sortit de son inconscience, il vit le cadavre du Goaketh étendu à coté du mien et fit appel à sa magie. Mais mes blessures étaient beaucoup trop grave et il du se résigner à me porter à Pyr afin de demander l'aide des maîtres guérisseurs.
Au moins cette horreur ne nuira plus à personne, à moins qu'elle n'ait eue une progéniture...