La tristesse de Ma-Duk (suite et fin)
Posted: Wed Feb 14, 2007 9:14 pm
Voilà plus d'une semaine que Fang Se Cho était enfermé dans une cellule, sous étroite surveillance. Sa graine de vie luisant plus que jamais, elle baignait la petite pièce d'une lueur verdâtre. Depuis 7 jours, le Zorai ne s'était pas alimenté et au grand étonnement des gardes, il n'avait pas bougé d'un poil de yubo.
Prostré à même le sol en position foetale, son refus de répondre, sinon son autisme, avait contraint Les Cercles à faire appel à maître Supplice. Mais la science et la sagesse de celui-ci n'avait servi à rien. Au contraire maître supplice était obsédé par la litanie répétée sans cesse par Fang Se CHO :
« Kamiste, te réveiller tu dois ! Se réunir Les Cercles doivent ! »
C'est par une des nuits les plus froides qu'ait jamais connu Atys que l'incroyable se produisit. Maître Supplice fut réveillé par de violents coups assainés à sa porte. Le chef de la garde civile de Zora en personne le tira litéralement de son lit pour l'emmener sur le lieux ou était enfermé Fang Se Cho.
La porte de sa cellule avait voler en éclat et le récit du garde qui reprenait à peine ses esprits tenait du surnaturel :
"Je comprends pas ce qui s'est passé Maître Supplice. Une lumière verte m'a complétement aveuglé... Puis j'ai été projeté contre le mur par le souffle qui à détruit la porte... par Ma-Duk, je n'en reviens pas d'être en vie..."
Un autre garde avait tenté de s'interposer, mais on le retrouva mort, le masque littéralement fendu en deux...
Wan, qui transportait clandestinement des tonneaux de son nectar à la faveur de la nuit fut témoin de toute la scène. Fang Se Cho éclairia Zora de cette lumière verte jaillissant de sa graine de vie. Avançant nu, qeulques centimètres au-dessus dus sol, il semblait protégé par une espèce de tourbillon, une aura à la puissance infinie ! Des larmes coulaient de son masque. Des larmes de sève absolument pure.
Et il avança ainsi jusque sur la place de Zora. Avec la sève qui coulait de ses yeux il écrivit sur le sol ce message :
Et il s'effondra... et sur son masque coulaient des larmes de sèves. Les larmes de Ma-Duk
Prostré à même le sol en position foetale, son refus de répondre, sinon son autisme, avait contraint Les Cercles à faire appel à maître Supplice. Mais la science et la sagesse de celui-ci n'avait servi à rien. Au contraire maître supplice était obsédé par la litanie répétée sans cesse par Fang Se CHO :
« Kamiste, te réveiller tu dois ! Se réunir Les Cercles doivent ! »
C'est par une des nuits les plus froides qu'ait jamais connu Atys que l'incroyable se produisit. Maître Supplice fut réveillé par de violents coups assainés à sa porte. Le chef de la garde civile de Zora en personne le tira litéralement de son lit pour l'emmener sur le lieux ou était enfermé Fang Se Cho.
La porte de sa cellule avait voler en éclat et le récit du garde qui reprenait à peine ses esprits tenait du surnaturel :
"Je comprends pas ce qui s'est passé Maître Supplice. Une lumière verte m'a complétement aveuglé... Puis j'ai été projeté contre le mur par le souffle qui à détruit la porte... par Ma-Duk, je n'en reviens pas d'être en vie..."
Un autre garde avait tenté de s'interposer, mais on le retrouva mort, le masque littéralement fendu en deux...
Wan, qui transportait clandestinement des tonneaux de son nectar à la faveur de la nuit fut témoin de toute la scène. Fang Se Cho éclairia Zora de cette lumière verte jaillissant de sa graine de vie. Avançant nu, qeulques centimètres au-dessus dus sol, il semblait protégé par une espèce de tourbillon, une aura à la puissance infinie ! Des larmes coulaient de son masque. Des larmes de sève absolument pure.
Et il avança ainsi jusque sur la place de Zora. Avec la sève qui coulait de ses yeux il écrivit sur le sol ce message :
Alors d'une voix qui fit trembler l'ércorce même d'Atys Fang Se Cho dit : "moi, Ma-Duk, je convoque Les Cercles"Le Grand Essaim se Reforme
Jena étend son emprise sur Atys et l'hominité
kamistes, réveillez vous où il sera trop tard. Peuple élu, redressetoi !
Et il s'effondra... et sur son masque coulaient des larmes de sèves. Les larmes de Ma-Duk