La tristesse de Ma-Duk (épisode 1/2)
Posted: Mon Feb 12, 2007 8:09 pm
Un Zorai, du nom de Fang Se Cho, errait dans le vide, un peu désorienté suite à une chasse qui avait mal tournée. Un groupe de Kinchers, anormalement agressif, avait attaqué son groupe par surprise et de façon coordonnée. Les kinchers avaient pris soin de les encercler dans un mouvement en tenaille ne leur laissant aucun espoir de fuite.
Dans cette furie meurtrière, les kinchers atteignaient mortellement, touchant la graine de vie, chaque homin du groupe, lun après lautre. Fang Se Cho ne dû son salut quau fait davoir était recouvert, inconscient, par un véritable tas de cadavres. Dans ses oreilles résonne encore le cri des kincher, comme un hallali, un appel à lextinction de lhominité
Sans trop savoir comment, il se retrouvait maintenant à errer dans le vide, son armure en lambeaux, recouverte de sa sève et de celle de ses compagnons. Une bourrasque plus froide et plus violente que les autres le fit frissonner. Mais ce nétait pas seulement le froid. Quelque chose le faisait frémir au plus profond de son être. Ce vent faisait résonner comme une plainte déchirante, déchirant cur et âme de qui lentendait.
Terrasser par tant de tristesse, le Zorai posa un genoux à terre et se pris la tête entre les mains. Ces sanglots, portés par le vent, ne faisaient que croître en intensité tant et si bien quil sévanouit. Son âme fut alors violemment aspirée par un vortex pour arriver dans un espace baignée dune lumière ardente. Ce lieux inspirait la sérénité et peu à peu le malaise de Fang Se Cho se dissipait « Mais où suis-je ? Ai-je atteint lillumination ? Est-ce que ça y est ??!! »
« Non Fang Se Cho, à moi je tai fait venir car ma parole du doit rapporté. »
Dans cette furie meurtrière, les kinchers atteignaient mortellement, touchant la graine de vie, chaque homin du groupe, lun après lautre. Fang Se Cho ne dû son salut quau fait davoir était recouvert, inconscient, par un véritable tas de cadavres. Dans ses oreilles résonne encore le cri des kincher, comme un hallali, un appel à lextinction de lhominité
Sans trop savoir comment, il se retrouvait maintenant à errer dans le vide, son armure en lambeaux, recouverte de sa sève et de celle de ses compagnons. Une bourrasque plus froide et plus violente que les autres le fit frissonner. Mais ce nétait pas seulement le froid. Quelque chose le faisait frémir au plus profond de son être. Ce vent faisait résonner comme une plainte déchirante, déchirant cur et âme de qui lentendait.
Terrasser par tant de tristesse, le Zorai posa un genoux à terre et se pris la tête entre les mains. Ces sanglots, portés par le vent, ne faisaient que croître en intensité tant et si bien quil sévanouit. Son âme fut alors violemment aspirée par un vortex pour arriver dans un espace baignée dune lumière ardente. Ce lieux inspirait la sérénité et peu à peu le malaise de Fang Se Cho se dissipait « Mais où suis-je ? Ai-je atteint lillumination ? Est-ce que ça y est ??!! »
« Non Fang Se Cho, à moi je tai fait venir car ma parole du doit rapporté. »