Ryzom

La grande cité.

Enfin, l’entraînement était terminé, du moins c’est ce que je pensais.
Le vénérable Kami m’avait téléporté vers la grande cité Zorai.
Quelle splendeur, c’est bien au-delà de ce que j’avais imaginé alors que j’étais dans le minuscule camp ou mes parents avaient trouvés refuge.
Tout était magnifique ici, le temple, majestueux, les régions des appartements, le marché grouillant de monde, l’ambassade
Voir autant de monde paré de ses plus beaux atours, du fier guerrier en armure lourde au citadin dans leurs vêtements de sortie.
Pour tout dire je ne savais plus ou donner de la tête tellement il y avait de choses merveilleuse à voir.
Je crois que j’ais bien mis trois heures à parcourir avec grand plaisir la ville.
J’ais pris soin de noter ou trouver les marchands et les entraîneurs pour être certain de ne pas me perdre lorsque j’aurais besoin de leur services.
Mais je dois avouer que ce qui m’a impressionné le plus c’est le plus c’est l’ambassade.
Bien plus que le magnifique bâtiment le fait de croiser des représentants des autres races m’a plus que surpris.
J’ais du garder tout mon contrôle pour ne pas détailler de trop près ces plénipotentiaires.
Je savais qu’il existait d’autres races sur le monde d’Atys, mais j’étais persuadé qu’ils ne s’aventuraient pas dans nos contrés, ou seulement avec des envies de conquêtes, et sûrement pas en émissaires pacifiques.
Découvrir cela a remis en cause bien de choses que je croyais savoir de notre monde.
Certains représentants des autres races ne semblent pas voués à vouloir seulement la guerre.
Cette idée raisonnait étrangement dans ma tête tellement elle allait à l’encontre de ce que l’on m’avait appris.
Je dois dire que le représentant Fyros attisait en moi une haine ancestrale que j’ais eu beaucoup de mal à réprimer.
C’est en sortant de l’ambassade que je me suis dit que le véritable ennemis n’était pas une des race d’Atys ou un quelconque clans caché dans la forêt.
Non, le seul ennemi est celui qui consume notre monde à tous, la Goo, substance abjecte qui perverti tout ce quelle touche, de l’oiseau magnifique jusqu’au racines les plus profondes.
Et par delà cette maladie les terribles Kitins qui la dirige, il ne peut en être autrement.

Une fois dehors l’odeur enivrante des grands arbres et de l’humus rafraîchie mon esprit et je pu finir ma visite de la cité dans une quiétude sereine.
De retour à l’étable je me suis renseigné pour l’achat d’un animal de bât, mais cela était encore hors de mes moyens.
Pas grave, cela attendra un peu, il y a tellement de choses à découvrir.
Je sorti une vielle carte d’Atys que mon père m’avait confié.
Le temps de me repérer et de l’observer attentivement je choisi de rejoindre une autre cité dont le nom ne m’était pas inconnu.
Entrant dans la majestueuse forêt je n’imaginais pas à quel point ces premiers pas hors de la cité allaient bouleverser mon existence de jeune Zorai.

Eto DemerZel.

pas mal, continue