Les épées d'Atys
Posted: Wed Aug 23, 2006 8:42 pm
Peu à peu, Pyratheus avançait dans sa quête, se fondant de plus en plus dans cet épais mystère. Après les doutes et les questions que Padger O’Tough lui avait mit en tête, il n’avait pu se résoudre a abandonner cette enquête et traversait maintenant Atys de part en part pour questionner les homins.
L’épée de Kalus toujours elle, mais pour comprendre ce qu’elle était, il fallait maîtriser l’armement actuel, les épées surtout… L’artisanat Fyros n’avait aucun secret pour lui, mais il semblerait que cette épée brisée de Kalus rassemblait de nombreuses compétences propres aux différentes civilisations…
Dernièrement il invita donc les homins qui suivaient avec lui le fil de cette enquête à participer à ces recherches sur l’armement homin…
L’origine de l’artisanat homin était unique, on le savait, Pyratheus rafraîchit rapidement la mémoire de ses acolytes :
Dans les temps très reculés, les homins ne disposaient que de machettes : une sorte d'arme blanche servant d'outil apte a remplir de nombreuses taches. Ce n'est que bien plus tard et avec le besoin croissant de se défendre et de fait attaquer que les homins firent progresser leur équipement. Puis les artisans se succédèrent apportant leurs génies et empruntant un peu a ce qu'ils avaient pu rapporter de leurs lointains voyages.
Chaque race développa un savoir faire et une philosophie dans la conception et le maniement de l'épée. Les dagues furent les premières élaborations des homins conçues dans une optique guerrière et ce n'est qu'a mesure des progrès des artisans que les lames purent gagner en longueur. Mais des différences d'approche notables permettent très rapidement de séparer en deux classes les épées des homins et cette différence s'est perpétuée par tradition tout au long de la progression de l'artisanat des épées. Ainsi Fyros et Trykers tendirent vers des lames à simple tranchant alors que Matis et Zorais optèrent, eux, pour le double tranchant. Leurs formes aussi étaient très différente et déterminaient le plus souvent son utilisation :
• de taille : coup portée avec le fil de l'épée (l'arête tranchante) ;
• d'estoc : coup porté dans l'axe de l'épée pour transpercer son adversaire.
Pyratheus commença ensuite à exposer l’objet de ses recherches, les épées homines, leur conception, leurs utilisations. Il ne maîtrisait que l’armement Fyros, il allait avoir besoin d’aide pour rassembler toutes les connaissances nécessaires !
Heureusement l’assistance présente lui était toute dévouée, lui présentant les modèles d’armes dont il avait besoin pour ses études.
Dans un premier temps il offrit aux homins son savoir : les épées Fyros.
Nous, Fyros, avons toujours retenu comme critère la solidité et la durabilité. Aussi des nos premières épées a une main, un choix décisif fut fait. L'épée se devait d'avoir un seul fil de lame afin de posséder un dos bien plus large et ce pour en accentuer la solidité.
Ce ne fut pas le seul raffinement mais pour en faire une liste complète je ne vous parlerai que du sabre Fyros actuel. Un dos très droit et large afin de permettre d'y apposer une seconde main pour accroître la force pour parer. Le fil part de la pointe de l'épée, s'arrondit dans le but d'obtenir une courbure importante en descendant jusqu'a la garde qui se trouve être en continuité et tranchante elle aussi. La garde sur le dos formait une cloche afin de protéger la main et l'empêcher de remonter sur la lame. Le manche est courbé en sens inverse de la courbure de lame afin de s'assurer d'une bonne prise, voir de permettre aux homins d'y joindre leur deuxième main, dit manche a "prise une main et demi". Cette forme de manche combine a celle de la lame, assurait aussi une sortie très rapide du sabre hors de son fourreau.
De par son dessin le sabre Fyros est une épée de "taille" très maniable, alliant durabilité et légèreté, conçue pour pénétrer profondément dans les chairs. La partie avant de la garde elle aussi tranchante servait au combat rapproche. Le raffinement de cette épée est visible jusque dans le grain de la lame a structure composite qui montre des reflets bleutes sur les modèles les plus soignes, témoin encore de la maîtrise artisanale des Fyros.
*présentant un type d’arme totalement différent à l’assistance*
L'épée a deux mains Fyros dans son dessin actuel est celle qui apparut le plus tardivement sur l'écorce. Elle est la quintessence de la logique appliquée par les Fyros pour ce qu'il exigeait d'une épée. De nombreux Fyros étaient tombe sous les coups des matis équipés d'une épée dite d'estoc certes moins puissante mais somme toute efficace. Aussi de cet observation, le pari Fyros fut de perpétrer sa tradition de l'épée à simple tranchant et d'y adjoindre la capacité de charger l'ennemi dans l'axe de l'épée et non plus seulement longitudinalement.
Un dessin révolutionnaire émergea des armuriers Fyros. Une épée composée en fait de deux lames sur une garde massive terminée par un manche très long et tressé. Du fait de la légèreté et de la solidité supérieure des lames simple tranchant, il fut possible de les doubler et de les effiler fortement afin de rendre possible une charge pour transpercer l'ennemi, une charge doublement mortelle donc. Le choix des deux lames fut aussi motive par une idée tout aussi originale: Les vibrations engendrées dans la lame ennemi en cas de parade étaient très perturbantes pour l'assaillant et afin de permettre au défenseur de ne pas subir les mêmes vibrations, un ricasso de peaux était pose juste au dessus de la garde sur chaque lame.
Par ailleurs si l'assaillant avait la maladresse de porter son coup entre les deux lames, il était alors très aisé de le désarmer ce qui annonçait généralement sa perte...
La possibilité d'enflammer l'épée à l'aide de la maîtrise du feu sacre, vint parachever la réputation meurtrière de cette arme et des guerriers Fyros...
Pyratheus avait livré sa connaissance aux homins, ceux-ci devaient maintenant partir à leur tour à la recherche d’information, et plus précisément à la recherche d’un certain Qui-Le Guai, érudit en la matière d’épées de la jungle. Impossible de savoir où il se situait, mais le regard de certain homins brilla immédiatement... Bien sur que ce nom n’était pas inconnu… Hoi Cho !
Le grand Zorai, hôte d’accueil de la ville, sembla à peine surpris de cet attroupement multiracial qui soudain le prenait pour cible. Il comprit rapidement où ces homins voulaient en venir et partagea ses connaissances avec joie, fier de perpétuer les connaissances de son peuple.
Les Zorais faisaient déjà très largement usage des machettes pour couper l'épaisse végétation de la jungle et lorsqu'ils songèrent à s'armer a des fins guerrières, ils convinrent de changer radicalement leur approche de l'arme blanche. De très grande taille, les Zorais voulaient tirer profit de cette caractéristique aussi ils décidèrent de concevoir une épée très longue bien avant les autres races de l'écorce.
Cependant ce fut pas chose simple les premières tentatives ne donnant que des armes fragiles. La solution apportée consista à concevoir l'épée d'une pièce, sans assemblage et de tresser à même l'épée la prise. La pointe très acérée et en forme de croix s'allongerait de façon symétrique faisant une épée à double tranchant et au fil très aigu. La forme en croix du double tranchant garantissait la solidité de la lame et l'obtention du fil très affûté afin de compenser l'absence de courbure de la lame qui bien que permettant un tranchant supérieur, augmentait fortement le poids de l'arme. Afin de délimiter le manche, la lame s'évasait pour former la garde et un anneau terminait le manche.
Le résultat donna une lame très peu épaisse et longue a la fois. Le pommeau rond servait à faire des grands ronds de bras et le tranchant de la lame était tel qu'on raconte que les guerriers Zorais pouvaient couper en deux dans sa longueur de grands torbaks. Dans les batailles elle était principalement utilisée dans les premiers rangs, afin de maintenir les adversaires à grande distance, de les faire reculer et ainsi de gagner du terrain sur le champ de bataille.
Ce fait, ajouté aux piètres qualités défensives de l'épée, faisait courir un grand péril aux guerriers d'armes à deux mains Zorai. Leur sacrifice volontaire imposait un respect a tous les autres corps d'armées et c'est pourquoi il était grave sur la lame des incantations pour prier Ma Duk de prendre grand soin de la graine de ces combattants émérites.
Bientôt cet usage se généralisa à toute l'armée.
*sortant une nouvelle arme de son sac*
En contrepartie de la surexposition des guerriers a deux mains, les Zorais souhaitèrent développer un corps d'armée dote d'une épée a une main et d'un bouclier. Ils reprirent de nombreux concepts élaborés pour l'épée deux mains : Construction en une pièce, prise tressée, quasi absence de la garde de l'épée formée par l'évasement de la lame et manche terminée par un anneau.
Les efforts déployés lors de la conception de l'épée deux mains pour rendre l'âme de la lame très solide permit d'acquérir un savoir faire autorisant une conception unique pour la lame de l'épée a une main Zorai. Bien que toujours a double tranchant, l'épée a une main Zorai abandonna la symétrie au profit de la dissymétrie. Cette décision judicieuse permit d'obtenir un effet proche de l'épée à simple tranchant tout en conservant le deuxième fil de lame. Le "grand tranchant" pu alors prendre une courbure afin de favoriser l'entaille et la force de la frappe. Il profitait aussi de l'épaississement de la lame grâce au déport de l'axe pour élargir la blessure causée.
Le "faux fil" quand a lui s'avéra utile pour porter des frappes a revers lors de parades. La combinaison de cette épée a un bouclier autorisa des combats moins brutaux que pour l'épée a deux mains mais augmenta leur durée et trouva une justification tactique avérée en parallèle des charges lourdes.
Leurs informations en tête (et parfois rapidement prises par écrit), les homins retrouvèrent rapidement le commerçant Pyratheus qui se montra très intéressé… Voulant assimiler toutes ces informations, il prit congés de la petite troupe non moins sans leur rappeler qu’il aurait très bientôt à nouveau besoin d’eux pour compléter ces connaissances… Les armes Trykers et Matis bien sûr !
L’épée de Kalus toujours elle, mais pour comprendre ce qu’elle était, il fallait maîtriser l’armement actuel, les épées surtout… L’artisanat Fyros n’avait aucun secret pour lui, mais il semblerait que cette épée brisée de Kalus rassemblait de nombreuses compétences propres aux différentes civilisations…
Dernièrement il invita donc les homins qui suivaient avec lui le fil de cette enquête à participer à ces recherches sur l’armement homin…
L’origine de l’artisanat homin était unique, on le savait, Pyratheus rafraîchit rapidement la mémoire de ses acolytes :
Dans les temps très reculés, les homins ne disposaient que de machettes : une sorte d'arme blanche servant d'outil apte a remplir de nombreuses taches. Ce n'est que bien plus tard et avec le besoin croissant de se défendre et de fait attaquer que les homins firent progresser leur équipement. Puis les artisans se succédèrent apportant leurs génies et empruntant un peu a ce qu'ils avaient pu rapporter de leurs lointains voyages.
Chaque race développa un savoir faire et une philosophie dans la conception et le maniement de l'épée. Les dagues furent les premières élaborations des homins conçues dans une optique guerrière et ce n'est qu'a mesure des progrès des artisans que les lames purent gagner en longueur. Mais des différences d'approche notables permettent très rapidement de séparer en deux classes les épées des homins et cette différence s'est perpétuée par tradition tout au long de la progression de l'artisanat des épées. Ainsi Fyros et Trykers tendirent vers des lames à simple tranchant alors que Matis et Zorais optèrent, eux, pour le double tranchant. Leurs formes aussi étaient très différente et déterminaient le plus souvent son utilisation :
• de taille : coup portée avec le fil de l'épée (l'arête tranchante) ;
• d'estoc : coup porté dans l'axe de l'épée pour transpercer son adversaire.
Pyratheus commença ensuite à exposer l’objet de ses recherches, les épées homines, leur conception, leurs utilisations. Il ne maîtrisait que l’armement Fyros, il allait avoir besoin d’aide pour rassembler toutes les connaissances nécessaires !
Heureusement l’assistance présente lui était toute dévouée, lui présentant les modèles d’armes dont il avait besoin pour ses études.
Dans un premier temps il offrit aux homins son savoir : les épées Fyros.
Nous, Fyros, avons toujours retenu comme critère la solidité et la durabilité. Aussi des nos premières épées a une main, un choix décisif fut fait. L'épée se devait d'avoir un seul fil de lame afin de posséder un dos bien plus large et ce pour en accentuer la solidité.
Ce ne fut pas le seul raffinement mais pour en faire une liste complète je ne vous parlerai que du sabre Fyros actuel. Un dos très droit et large afin de permettre d'y apposer une seconde main pour accroître la force pour parer. Le fil part de la pointe de l'épée, s'arrondit dans le but d'obtenir une courbure importante en descendant jusqu'a la garde qui se trouve être en continuité et tranchante elle aussi. La garde sur le dos formait une cloche afin de protéger la main et l'empêcher de remonter sur la lame. Le manche est courbé en sens inverse de la courbure de lame afin de s'assurer d'une bonne prise, voir de permettre aux homins d'y joindre leur deuxième main, dit manche a "prise une main et demi". Cette forme de manche combine a celle de la lame, assurait aussi une sortie très rapide du sabre hors de son fourreau.
De par son dessin le sabre Fyros est une épée de "taille" très maniable, alliant durabilité et légèreté, conçue pour pénétrer profondément dans les chairs. La partie avant de la garde elle aussi tranchante servait au combat rapproche. Le raffinement de cette épée est visible jusque dans le grain de la lame a structure composite qui montre des reflets bleutes sur les modèles les plus soignes, témoin encore de la maîtrise artisanale des Fyros.
*présentant un type d’arme totalement différent à l’assistance*
L'épée a deux mains Fyros dans son dessin actuel est celle qui apparut le plus tardivement sur l'écorce. Elle est la quintessence de la logique appliquée par les Fyros pour ce qu'il exigeait d'une épée. De nombreux Fyros étaient tombe sous les coups des matis équipés d'une épée dite d'estoc certes moins puissante mais somme toute efficace. Aussi de cet observation, le pari Fyros fut de perpétrer sa tradition de l'épée à simple tranchant et d'y adjoindre la capacité de charger l'ennemi dans l'axe de l'épée et non plus seulement longitudinalement.
Un dessin révolutionnaire émergea des armuriers Fyros. Une épée composée en fait de deux lames sur une garde massive terminée par un manche très long et tressé. Du fait de la légèreté et de la solidité supérieure des lames simple tranchant, il fut possible de les doubler et de les effiler fortement afin de rendre possible une charge pour transpercer l'ennemi, une charge doublement mortelle donc. Le choix des deux lames fut aussi motive par une idée tout aussi originale: Les vibrations engendrées dans la lame ennemi en cas de parade étaient très perturbantes pour l'assaillant et afin de permettre au défenseur de ne pas subir les mêmes vibrations, un ricasso de peaux était pose juste au dessus de la garde sur chaque lame.
Par ailleurs si l'assaillant avait la maladresse de porter son coup entre les deux lames, il était alors très aisé de le désarmer ce qui annonçait généralement sa perte...
La possibilité d'enflammer l'épée à l'aide de la maîtrise du feu sacre, vint parachever la réputation meurtrière de cette arme et des guerriers Fyros...
Pyratheus avait livré sa connaissance aux homins, ceux-ci devaient maintenant partir à leur tour à la recherche d’information, et plus précisément à la recherche d’un certain Qui-Le Guai, érudit en la matière d’épées de la jungle. Impossible de savoir où il se situait, mais le regard de certain homins brilla immédiatement... Bien sur que ce nom n’était pas inconnu… Hoi Cho !
Le grand Zorai, hôte d’accueil de la ville, sembla à peine surpris de cet attroupement multiracial qui soudain le prenait pour cible. Il comprit rapidement où ces homins voulaient en venir et partagea ses connaissances avec joie, fier de perpétuer les connaissances de son peuple.
Les Zorais faisaient déjà très largement usage des machettes pour couper l'épaisse végétation de la jungle et lorsqu'ils songèrent à s'armer a des fins guerrières, ils convinrent de changer radicalement leur approche de l'arme blanche. De très grande taille, les Zorais voulaient tirer profit de cette caractéristique aussi ils décidèrent de concevoir une épée très longue bien avant les autres races de l'écorce.
Cependant ce fut pas chose simple les premières tentatives ne donnant que des armes fragiles. La solution apportée consista à concevoir l'épée d'une pièce, sans assemblage et de tresser à même l'épée la prise. La pointe très acérée et en forme de croix s'allongerait de façon symétrique faisant une épée à double tranchant et au fil très aigu. La forme en croix du double tranchant garantissait la solidité de la lame et l'obtention du fil très affûté afin de compenser l'absence de courbure de la lame qui bien que permettant un tranchant supérieur, augmentait fortement le poids de l'arme. Afin de délimiter le manche, la lame s'évasait pour former la garde et un anneau terminait le manche.
Le résultat donna une lame très peu épaisse et longue a la fois. Le pommeau rond servait à faire des grands ronds de bras et le tranchant de la lame était tel qu'on raconte que les guerriers Zorais pouvaient couper en deux dans sa longueur de grands torbaks. Dans les batailles elle était principalement utilisée dans les premiers rangs, afin de maintenir les adversaires à grande distance, de les faire reculer et ainsi de gagner du terrain sur le champ de bataille.
Ce fait, ajouté aux piètres qualités défensives de l'épée, faisait courir un grand péril aux guerriers d'armes à deux mains Zorai. Leur sacrifice volontaire imposait un respect a tous les autres corps d'armées et c'est pourquoi il était grave sur la lame des incantations pour prier Ma Duk de prendre grand soin de la graine de ces combattants émérites.
Bientôt cet usage se généralisa à toute l'armée.
*sortant une nouvelle arme de son sac*
En contrepartie de la surexposition des guerriers a deux mains, les Zorais souhaitèrent développer un corps d'armée dote d'une épée a une main et d'un bouclier. Ils reprirent de nombreux concepts élaborés pour l'épée deux mains : Construction en une pièce, prise tressée, quasi absence de la garde de l'épée formée par l'évasement de la lame et manche terminée par un anneau.
Les efforts déployés lors de la conception de l'épée deux mains pour rendre l'âme de la lame très solide permit d'acquérir un savoir faire autorisant une conception unique pour la lame de l'épée a une main Zorai. Bien que toujours a double tranchant, l'épée a une main Zorai abandonna la symétrie au profit de la dissymétrie. Cette décision judicieuse permit d'obtenir un effet proche de l'épée à simple tranchant tout en conservant le deuxième fil de lame. Le "grand tranchant" pu alors prendre une courbure afin de favoriser l'entaille et la force de la frappe. Il profitait aussi de l'épaississement de la lame grâce au déport de l'axe pour élargir la blessure causée.
Le "faux fil" quand a lui s'avéra utile pour porter des frappes a revers lors de parades. La combinaison de cette épée a un bouclier autorisa des combats moins brutaux que pour l'épée a deux mains mais augmenta leur durée et trouva une justification tactique avérée en parallèle des charges lourdes.
Leurs informations en tête (et parfois rapidement prises par écrit), les homins retrouvèrent rapidement le commerçant Pyratheus qui se montra très intéressé… Voulant assimiler toutes ces informations, il prit congés de la petite troupe non moins sans leur rappeler qu’il aurait très bientôt à nouveau besoin d’eux pour compléter ces connaissances… Les armes Trykers et Matis bien sûr !