Une vie passée.
Moderator: Chroniques d'Atys
Une vie passée.
« Capturées par les premiers rets de soleil, les poussières scintillantes se jouaient, en dansant, des habitudes passées qui leur avaient fait la vie dure. Dans le cur de la maison-arbre les rayons solaires, à laube naissante, effleuraient peu à peu les menuiseries, les objets hétéroclites et les tentures pastelles
Le vernis de laurore, donnait un glacis figé aux meubles du lieu abandonné.
Les heures ségrenant au chapelet du temps, le linceul de pâle lumière sétendait peu à peu sur les vestiges et les souvenirs accumulés ici et là.
Accrochée à un portemanteau aux reliefs ouvragés, une longue toge orangée cousue de fils carmins, arborait un symbole défraîchit de feu la maison Hespéride. Les manches amples seffilaient et les cheveux de soie végétale frémir à peine quant le faisceau de lumière vint les toucher de manière chaste et pudique. Sur ce vêtement, les regards de personnages au nom ancien, sarrêtèrent, chargés de cordialité, denvie, de regret, de sentimentalisme et damour : « Shaarm Odric Alquieff Taraforest Melichi Millenia Taenad Kylya Slayers »
Les Hespérides. Le premier foyer.
Un peu au dessus du portemanteau, bousculant les ombres lovées autour dune coupe remisée dans une alcôve enténébrée, laurore dévoila un froid symbole plus sombre quune nuit sans lune, enchâssé dans le calice Le pentacle de la guilde de lEtoile dObsidienne. Sur son rebord, les lèvres dEleanin, élève de lEtoile dObsidienne, sy étaient abreuvées de sombres nectars. Dans le fond de cette coupe, elle avait souvent voyagé dans un pays fait de noirs songes dont lappel mystérieux interdisait à son compagnon dantan de ly rejoindre. Autour des noms dElesias, de Thanys, de Kaithlin, dOscar, il y eu des disputes, des incompréhensions, des jalousies, puis des amitiés nouvelles et désormais passées comme passa le falot du châle de lastre en cette matinée, devenant un soleil plein et gorgé de lumière dorée.
Le zénith éblouit une grande table-verrière où salignaient des ambres aux nuances propres. Les outils de minutie cernaient, dans leur trépas sans fin, quelques éclats de noble matière Zun et Beng. Sous le rayonnement ardent, une batterie damplificateurs aux cuirs fendillés, desséchés, agonisait au rythme auquel sestompaient les pourpres, les émeraudes et les azurs des ambres qui les ornaient. Des étiquettes jaunies, piquées dune épingle et fichées sur un support de bois moucheté, laissaient deviner le nom de guildes héritières dartefacts aujourdhui disséminés à travers le continent : « -allen -ngels, Ecl--- de Lune, An-mi Limi-., Alkianne, Le Sent--r --- Artisans »
Dépassant latelier, emmenée par la course du temps, la zone de lumière se fit le théâtre de poussières se soulevant en volutes. Des tourmentes silencieuses emportaient les embruns des cadavres dinsectes en décomposition, de fibres végétales, et de filaments fins qui tourbillonnaient sans relâche. Des armées de poussière aux heurts silencieux sélançaient au-dessus de parchemins jetés là en bataille. Couchés de croquis représentants de fiers guerriers aux formes élancées on y voyait représenté sur un, le griffé dune Fyros à lattitude farouche. Le fusain navait retrouvé ses pleins et ses déliés quau moment davoir écrit un nom sous licône belliqueuse : « Req ». Une tempête orageuse de traits acerbes, de courbes longues et vives formant des densités tourmentées, évoquait des ombres grimées. Ici, une troupe zoraï allant à lassaut dun promontoire dont le sommet caché par un autre feuillet interposait une matisse sélevant dans les airs et invoquant un grand serpent de jade « Taraforest » Là, les remparts dune ville aux proportions titanesques, pris dassaut par un fourmillement énervé de créatures cauchemardesques. Même sous le feu solaire, le dessin conservait une atmosphère de désespoir, rien ne semblait pouvoir arrêter la noire nuée. Et ce ne fut pas cette lueur glaçante, reflet dun rayon hagard échoué à la surface dune carapace de Kinrey, qui vint rehausser despoir la scène apocalyptique. Du haut de son perchoir, la reproduction de bois vernis du kitin le plus énigmatique de sa famille, lorgnait sur les calligraphies de champs de batailles. Attendant là, comme un gros cafard guettant un repas providentiel chût du garde-manger et laissé là en pitance : Les homins avaient été jetés là sur Atys en pâture. Les kitins sétaient rués sur eux Les kitins furent repoussés par la technologie, la magie et leffort commun des quatre peuples Mais comme la statue sur son étagère, les kitins guettaient, en veilleurs patients et déterminés
Derrière la statuette, un dessin en couleurs, le seul éclairé dans la pièce, dressait le portrait dun groupe de matis et de quelques fyros. Le Cercle des Profondeurs au complet : le papier montrait des homins arborant des attitudes pour certaines fières et hautaines, dautres amusées et un tantinet ironiques, ou encore turbulentes et indisciplinées. Chacun dentre eux étaient un tueur de Kitins, chacun à sa manière.
Et tous mourraient au combat, les vents dAtys emportant dans leurs mugissements sauvages les noms de ceux qui furent une famille « Lilithe Sylvannas Dorcile Fanelios Mearthis Nunnours Tiotromain Nastep... Kadraa Fraid Phyli Guits Guttts... Foxy...Aeschli... Kresselack Glorfindel Labra » Un instant auréolé de lumière, ils seraient toujours là, en veilleurs guettant la menace kitin, patients et déterminés
Vinrent alors les rayons glissant du crépuscule, et un orangé délicat caressa alors une belle soierie blanche remontée de liserés dargent.
Quand Eleanide était apparue en cet atour, tout alentour s'était simprégné de lumière blanche.
Quand elle lavait porté le jour de son mariage, tous les convives furent baignés par sa douce lueur. Alors on avait levé des yeux conquis par cette apparition Lui, il lavait aimé au premier instant de leur rencontre, et plus encore, une fois même ce vêtement ôté
La robe, couchée sur un fauteuil à la sombre mise, semblait dormir tant étaient rares les ondulations de son tissu. Lastre couchant, d'un pur rayonnement, embrasa encore une fois la robe divoire et tus, jusquà lagonie de son feu, leur étreinte secrète.
Lamant de lumière sen alla, embrassant une dernière fois, lhabit de nacre Puis lentement lavatar du soleil couchant sen fut après avoir posé un ultime baiser à lourlet bordant la chute de la robe de mariée.
Une dernière révérence sur lunivers dun couple en son temps, et la lumière vacilla par delà les dômes sylvestres, laissant la nuit et loubli endormir les lieux.
Shenshantag et Eleanide sen étaient allés rejoindre Séléné, pour toujours et à jamais fidèles ainsi que le leur avait assigné leurs deux « Curs Aimants » »
La vie est un éternel recommencement.
(/HRP Au revoir /HRP )
Les heures ségrenant au chapelet du temps, le linceul de pâle lumière sétendait peu à peu sur les vestiges et les souvenirs accumulés ici et là.
Accrochée à un portemanteau aux reliefs ouvragés, une longue toge orangée cousue de fils carmins, arborait un symbole défraîchit de feu la maison Hespéride. Les manches amples seffilaient et les cheveux de soie végétale frémir à peine quant le faisceau de lumière vint les toucher de manière chaste et pudique. Sur ce vêtement, les regards de personnages au nom ancien, sarrêtèrent, chargés de cordialité, denvie, de regret, de sentimentalisme et damour : « Shaarm Odric Alquieff Taraforest Melichi Millenia Taenad Kylya Slayers »
Les Hespérides. Le premier foyer.
Un peu au dessus du portemanteau, bousculant les ombres lovées autour dune coupe remisée dans une alcôve enténébrée, laurore dévoila un froid symbole plus sombre quune nuit sans lune, enchâssé dans le calice Le pentacle de la guilde de lEtoile dObsidienne. Sur son rebord, les lèvres dEleanin, élève de lEtoile dObsidienne, sy étaient abreuvées de sombres nectars. Dans le fond de cette coupe, elle avait souvent voyagé dans un pays fait de noirs songes dont lappel mystérieux interdisait à son compagnon dantan de ly rejoindre. Autour des noms dElesias, de Thanys, de Kaithlin, dOscar, il y eu des disputes, des incompréhensions, des jalousies, puis des amitiés nouvelles et désormais passées comme passa le falot du châle de lastre en cette matinée, devenant un soleil plein et gorgé de lumière dorée.
Le zénith éblouit une grande table-verrière où salignaient des ambres aux nuances propres. Les outils de minutie cernaient, dans leur trépas sans fin, quelques éclats de noble matière Zun et Beng. Sous le rayonnement ardent, une batterie damplificateurs aux cuirs fendillés, desséchés, agonisait au rythme auquel sestompaient les pourpres, les émeraudes et les azurs des ambres qui les ornaient. Des étiquettes jaunies, piquées dune épingle et fichées sur un support de bois moucheté, laissaient deviner le nom de guildes héritières dartefacts aujourdhui disséminés à travers le continent : « -allen -ngels, Ecl--- de Lune, An-mi Limi-., Alkianne, Le Sent--r --- Artisans »
Dépassant latelier, emmenée par la course du temps, la zone de lumière se fit le théâtre de poussières se soulevant en volutes. Des tourmentes silencieuses emportaient les embruns des cadavres dinsectes en décomposition, de fibres végétales, et de filaments fins qui tourbillonnaient sans relâche. Des armées de poussière aux heurts silencieux sélançaient au-dessus de parchemins jetés là en bataille. Couchés de croquis représentants de fiers guerriers aux formes élancées on y voyait représenté sur un, le griffé dune Fyros à lattitude farouche. Le fusain navait retrouvé ses pleins et ses déliés quau moment davoir écrit un nom sous licône belliqueuse : « Req ». Une tempête orageuse de traits acerbes, de courbes longues et vives formant des densités tourmentées, évoquait des ombres grimées. Ici, une troupe zoraï allant à lassaut dun promontoire dont le sommet caché par un autre feuillet interposait une matisse sélevant dans les airs et invoquant un grand serpent de jade « Taraforest » Là, les remparts dune ville aux proportions titanesques, pris dassaut par un fourmillement énervé de créatures cauchemardesques. Même sous le feu solaire, le dessin conservait une atmosphère de désespoir, rien ne semblait pouvoir arrêter la noire nuée. Et ce ne fut pas cette lueur glaçante, reflet dun rayon hagard échoué à la surface dune carapace de Kinrey, qui vint rehausser despoir la scène apocalyptique. Du haut de son perchoir, la reproduction de bois vernis du kitin le plus énigmatique de sa famille, lorgnait sur les calligraphies de champs de batailles. Attendant là, comme un gros cafard guettant un repas providentiel chût du garde-manger et laissé là en pitance : Les homins avaient été jetés là sur Atys en pâture. Les kitins sétaient rués sur eux Les kitins furent repoussés par la technologie, la magie et leffort commun des quatre peuples Mais comme la statue sur son étagère, les kitins guettaient, en veilleurs patients et déterminés
Derrière la statuette, un dessin en couleurs, le seul éclairé dans la pièce, dressait le portrait dun groupe de matis et de quelques fyros. Le Cercle des Profondeurs au complet : le papier montrait des homins arborant des attitudes pour certaines fières et hautaines, dautres amusées et un tantinet ironiques, ou encore turbulentes et indisciplinées. Chacun dentre eux étaient un tueur de Kitins, chacun à sa manière.
Et tous mourraient au combat, les vents dAtys emportant dans leurs mugissements sauvages les noms de ceux qui furent une famille « Lilithe Sylvannas Dorcile Fanelios Mearthis Nunnours Tiotromain Nastep... Kadraa Fraid Phyli Guits Guttts... Foxy...Aeschli... Kresselack Glorfindel Labra » Un instant auréolé de lumière, ils seraient toujours là, en veilleurs guettant la menace kitin, patients et déterminés
Vinrent alors les rayons glissant du crépuscule, et un orangé délicat caressa alors une belle soierie blanche remontée de liserés dargent.
Quand Eleanide était apparue en cet atour, tout alentour s'était simprégné de lumière blanche.
Quand elle lavait porté le jour de son mariage, tous les convives furent baignés par sa douce lueur. Alors on avait levé des yeux conquis par cette apparition Lui, il lavait aimé au premier instant de leur rencontre, et plus encore, une fois même ce vêtement ôté
La robe, couchée sur un fauteuil à la sombre mise, semblait dormir tant étaient rares les ondulations de son tissu. Lastre couchant, d'un pur rayonnement, embrasa encore une fois la robe divoire et tus, jusquà lagonie de son feu, leur étreinte secrète.
Lamant de lumière sen alla, embrassant une dernière fois, lhabit de nacre Puis lentement lavatar du soleil couchant sen fut après avoir posé un ultime baiser à lourlet bordant la chute de la robe de mariée.
Une dernière révérence sur lunivers dun couple en son temps, et la lumière vacilla par delà les dômes sylvestres, laissant la nuit et loubli endormir les lieux.
Shenshantag et Eleanide sen étaient allés rejoindre Séléné, pour toujours et à jamais fidèles ainsi que le leur avait assigné leurs deux « Curs Aimants » »
La vie est un éternel recommencement.
(/HRP Au revoir /HRP )
Last edited by shantag on Tue May 16, 2006 9:59 pm, edited 1 time in total.
Re: Une vie passée.
Hrp/ désolé, j'ai essayé mais impossible de placer un texte Rp qui soit à la hauteur du tiens!
Eh bien alors simplement a bientot Shen, n'oublie pas fangfang partout ou tu puisses aller, on ne sait jamais.
heureux de t'avoir connu
ce n'est qu'un au revoir!
R
/Hrp
Eh bien alors simplement a bientot Shen, n'oublie pas fangfang partout ou tu puisses aller, on ne sait jamais.
heureux de t'avoir connu
ce n'est qu'un au revoir!
R
/Hrp
Tiotromain
Infimier du front, de tous les combats!
"heal svp!!"
"ou??"
"la!!!"
"mais tu vas dire où !$^!ù*!!$ !"
« La vitesse de la lumière étant supérieure à celle du son, beaucoup de gens sont brillants jusqu'à ce qu'ils ouvrent leur gueule »
G. Brassens
Infimier du front, de tous les combats!
"heal svp!!"
"ou??"
"la!!!"
"mais tu vas dire où !$^!ù*!!$ !"
« La vitesse de la lumière étant supérieure à celle du son, beaucoup de gens sont brillants jusqu'à ce qu'ils ouvrent leur gueule »
G. Brassens
Un triste sentiment
Assis dans le coin de son appartement qui lui servait de laboratoire improvisé, Melichi avait le regard perdu dans le vague.
Alors que les nombreuses plantes semblaient se disputer le droit au peu de lumière qui restait inexploitée, le matis n'avait pas bougé depuis des heures. Il n'arrivait plus à se concentrer. Lorsque cela lui arrivait, il avait l'habitude de faire une pause dans ses recherches, et de sortir se promener dans Yrkanis. Cela faisait un certain temps que ses déplacements se limitaient à la Grande Serre et à l'étable, mais cette fois-ci, il n'avait eu aucun réconfort à faire son tour habituel en ville.
Quelque chose n'allait pas, et il ne savait pas ce que c'était. L'impression était semblable à ce qu'il se rappelait de ses dernières batailles. Lorsque l'ennemi arrivait en surnombre, et que les alliés étaient affaiblis. Lorsque l'horizon disparaissait derrière les troupes adverses, et que la défaite semblait inéluctable. Lorsqu'on s'engageait dans un combat perdu d'avance, par fierté.
Inéluctable... Melichi jeta un oeil au blason d'Hesperian, toujours accroché à sa manche gauche. Beaucoup de choses s'étaient passées depuis qu'il portait un second blason, mais les liens qui l'unissaient à ses anciens compagnons étaient restés les mêmes. Il ne pouvait quand même pas arriver malheur à l'un d'entre eux?
Non, bien sûr que non. Mais Melichi sentait que quelqu'un disparaissait, quelqu'un qui ne pourrait jamais être remplacé. Et c'était inéluctable.
Le botaniste se leva et se dirigea vers la porte. Pour la première fois depuis plusieurs saisons, il arracha sa pique au lierre qui l'avait recouverte, et emprunta la sortie. Il ne restait que la fureur du combat pour lui changer les idées. Une chasse au kitin.
Mais il doutait que ça suffise...
(/HRP
Tu nous manqueras
Mon texte n'est pas à la hauteur non plus, mais c'est ma façon de dire :
Au revoir Shen, et bonne continuation /HRP)
Alors que les nombreuses plantes semblaient se disputer le droit au peu de lumière qui restait inexploitée, le matis n'avait pas bougé depuis des heures. Il n'arrivait plus à se concentrer. Lorsque cela lui arrivait, il avait l'habitude de faire une pause dans ses recherches, et de sortir se promener dans Yrkanis. Cela faisait un certain temps que ses déplacements se limitaient à la Grande Serre et à l'étable, mais cette fois-ci, il n'avait eu aucun réconfort à faire son tour habituel en ville.
Quelque chose n'allait pas, et il ne savait pas ce que c'était. L'impression était semblable à ce qu'il se rappelait de ses dernières batailles. Lorsque l'ennemi arrivait en surnombre, et que les alliés étaient affaiblis. Lorsque l'horizon disparaissait derrière les troupes adverses, et que la défaite semblait inéluctable. Lorsqu'on s'engageait dans un combat perdu d'avance, par fierté.
Inéluctable... Melichi jeta un oeil au blason d'Hesperian, toujours accroché à sa manche gauche. Beaucoup de choses s'étaient passées depuis qu'il portait un second blason, mais les liens qui l'unissaient à ses anciens compagnons étaient restés les mêmes. Il ne pouvait quand même pas arriver malheur à l'un d'entre eux?
Non, bien sûr que non. Mais Melichi sentait que quelqu'un disparaissait, quelqu'un qui ne pourrait jamais être remplacé. Et c'était inéluctable.
Le botaniste se leva et se dirigea vers la porte. Pour la première fois depuis plusieurs saisons, il arracha sa pique au lierre qui l'avait recouverte, et emprunta la sortie. Il ne restait que la fureur du combat pour lui changer les idées. Une chasse au kitin.
Mais il doutait que ça suffise...
(/HRP
Tu nous manqueras
Mon texte n'est pas à la hauteur non plus, mais c'est ma façon de dire :
Au revoir Shen, et bonne continuation /HRP)
Re: Une vie passée.
/HRP Mon Shenounet, tu sais que je suis loin d'être douée pour les discours..
Une seule chose à te dire, tu seras regretté par énormément de monde, moi la première. Merci pour tout ces moments passés à me faire rire, j'espère te revoir très bientot./HRP
Poutou mon Shenounet.
Tu me manques déjà.
Ta Phylinouninette
Une seule chose à te dire, tu seras regretté par énormément de monde, moi la première. Merci pour tout ces moments passés à me faire rire, j'espère te revoir très bientot./HRP
Poutou mon Shenounet.
Tu me manques déjà.
Ta Phylinouninette
Re: Une vie passée.
La brise matinal venait carreser le visage d'un Matis, fraichement reveiller, dans un frêle campement au abord du desert Aride. Il préparait son équipent d'Héliaste et nourrisait sa monture en vue de leur longue journée de patrouille.
Lui revint soudain une phrase, un sermant entre deux Hesperide ; une ligne de conduite jamais démenti au file des années de Jena.
à la vie , à la mort
Il sourit en pensant a son ami, puis une fois ces préparatif fini , il s'en alla accomplire son devoir.
Lui revint soudain une phrase, un sermant entre deux Hesperide ; une ligne de conduite jamais démenti au file des années de Jena.
à la vie , à la mort
Il sourit en pensant a son ami, puis une fois ces préparatif fini , il s'en alla accomplire son devoir.
Alquieff Teya , Maison AlKiane
Mari comblé de sa magnifique épouse Serae Ysos Teya
confident de la regretter Serae Shaarm
Maison Noble Alkiane
Mari comblé de sa magnifique épouse Serae Ysos Teya
confident de la regretter Serae Shaarm
Maison Noble Alkiane
Re: Une vie passée.
lilithe aura bien du mal à oublier ce shenshantag, un homin bourré de doutes ,se posant sans cesses mille et une kestions, il etait une pièce importante au sein de la grande famille du cercle des profondeurs.
elle se rapelle encore de sa fougue et de sa tête remplis d ambitions de ses projets plus grandiose les uns ke les autres.
Que cela est triste de voir ke les kittins n'arrive pas à decimer les peuples et de constater que la lassitude et l attende de vide, elle, y parvient sans mal .
il est clair ke le docteur "shenkenstein" va nous manquer non seulement pour sa presence , mais aussi pour son enorme travail de recherche sur des potentielles recettes qui ferait baver même Jéna de jalousie.
oui shen etait ce genre de gars qui avec une feuille d arbre et un brin d herbe etait capable de te construire un vaisseau karavan (tien ca me rapelle un ricain ki avec un trombonne pouvait reproduire le taj mahal )
va nous manquer aussi ce guerrier qui au combat enfilait ses bottes air-jen à semelle ressort et qui courait dans tout les sens muni de sa célèbre "fangfang", scrutant autour de lui à la recherche de vil kamistes distribuants des soins .
par contre ne nous manqueront pas les 10 aines de fangfang qui bouffe une place affreuse du hall
va me manquer aussi l'esprit tordu du "serpent matis" qui bien des fois à su jouer de sa mesquinerie pour arriver à ses fins , lilithe etait fier d'avoir pu redonner le goût de rester en vie à ce personage lorsque shen etait à la limite de l abandonner, ne serait-ce ke pour le sourire d'un gros béta de fyros à l'air hagard lorsqu' il s'entendit dire "oui" à sa demande de mariage envers kadraa, oh oui rien que pour ça le serpent avait bien mérité d avoir vécu.
Lilithe n oubliera pas non plus la soirée à la taverne ou shen s'etait improvisé prêtre ouvrier qui disont le franchement après kelkes verres etait plus pietre ouvrier que prêtre.
cela avait donner naissance à un dialogue d anthologie ki restera en ma memoire .
oh que oui ! Lilithe aurait préférée faire face à 4 douzaine de kinchers ke de faire face à cette lettre qu'elle savait blottie au fond d'un tiroir mais qu'elle esperait ne jamais l'en voir sortir.
aujourd hui c'etait chose faites et Lilithe perdait son Shen , encore un de ses enfants qui prend le large , elle se demandais combien de temps pourra t elle tenir elle même à voir partir inexorablement loin d elle les membres de la famille du cercle des profondeurs .
/ hrp /C'est toujours un énorme dechirement lorsque l'on voit passer le temps et constater k avec lui, il emporte des gens qui fesait que de vulgaires tas de pixels, pouvait devenir attachant et de véritables amis .
alors tchusss mon Shen je te souhaites plein de bonne choses , mais surtout je souhaites k un jour ou l autre , ta raclette ou même ton lapin à la moutarde puissent avoir l'effet escompté ./hrp/
elle se rapelle encore de sa fougue et de sa tête remplis d ambitions de ses projets plus grandiose les uns ke les autres.
Que cela est triste de voir ke les kittins n'arrive pas à decimer les peuples et de constater que la lassitude et l attende de vide, elle, y parvient sans mal .
il est clair ke le docteur "shenkenstein" va nous manquer non seulement pour sa presence , mais aussi pour son enorme travail de recherche sur des potentielles recettes qui ferait baver même Jéna de jalousie.
oui shen etait ce genre de gars qui avec une feuille d arbre et un brin d herbe etait capable de te construire un vaisseau karavan (tien ca me rapelle un ricain ki avec un trombonne pouvait reproduire le taj mahal )
va nous manquer aussi ce guerrier qui au combat enfilait ses bottes air-jen à semelle ressort et qui courait dans tout les sens muni de sa célèbre "fangfang", scrutant autour de lui à la recherche de vil kamistes distribuants des soins .
par contre ne nous manqueront pas les 10 aines de fangfang qui bouffe une place affreuse du hall
va me manquer aussi l'esprit tordu du "serpent matis" qui bien des fois à su jouer de sa mesquinerie pour arriver à ses fins , lilithe etait fier d'avoir pu redonner le goût de rester en vie à ce personage lorsque shen etait à la limite de l abandonner, ne serait-ce ke pour le sourire d'un gros béta de fyros à l'air hagard lorsqu' il s'entendit dire "oui" à sa demande de mariage envers kadraa, oh oui rien que pour ça le serpent avait bien mérité d avoir vécu.
Lilithe n oubliera pas non plus la soirée à la taverne ou shen s'etait improvisé prêtre ouvrier qui disont le franchement après kelkes verres etait plus pietre ouvrier que prêtre.
cela avait donner naissance à un dialogue d anthologie ki restera en ma memoire .
oh que oui ! Lilithe aurait préférée faire face à 4 douzaine de kinchers ke de faire face à cette lettre qu'elle savait blottie au fond d'un tiroir mais qu'elle esperait ne jamais l'en voir sortir.
aujourd hui c'etait chose faites et Lilithe perdait son Shen , encore un de ses enfants qui prend le large , elle se demandais combien de temps pourra t elle tenir elle même à voir partir inexorablement loin d elle les membres de la famille du cercle des profondeurs .
/ hrp /C'est toujours un énorme dechirement lorsque l'on voit passer le temps et constater k avec lui, il emporte des gens qui fesait que de vulgaires tas de pixels, pouvait devenir attachant et de véritables amis .
alors tchusss mon Shen je te souhaites plein de bonne choses , mais surtout je souhaites k un jour ou l autre , ta raclette ou même ton lapin à la moutarde puissent avoir l'effet escompté ./hrp/
* Lilith bourrine et chef du cercle des profondeurs *
Re: Une vie passée.
/HRP Pas de texte RP, mais un grand merci au joueur que j'ai beaucoup apprécier. J'espère que tu t'amusera bien en dehors d'Atys. Au revoir
/HRP
/HRP
Re: Une vie passée.
Eléanide était fatiguée
Elle la aimé sincèrement pourtant cette belle Atys: ces beautés verdoyantes où elle forait, ces couchers du soleil sur le désert ardent où elle rêvassait, ces chutes où elle aimait se baigner *rêveuse* et ces paisibles landes obscures où elle se réfugiait pour réfléchir.
Elle a aimé partager son voyage. Ah cette solitude quelle chérissait, cette ténacité à chercher les TP seule -seuls deux lui résistèrent-, les MP excellentes des Forêts et des Lacs. Mais la solidarité elle croisa aussi partout où elle forait, même Wyac puis Zatchel lui donnait une léchouille quotidienne
Nombreuses quêtes, elle commença, mais, ne finalisa car homin il fallait faire glisser. Ah mais la plus belle quête fut celle de son coeur, celle qui chassa sa solitude et elle se nommait Shenshantag. Il lui offrait des bouquets de mots lors de chasse aux nommés ou recherche de Xl au bosquet supérieur *songe aussi au hammam, rougit* Peut-être les croiserez-vous un jour sur un autre monde qui sait.
Eléa faisait son sac. Hélas, elle ne pouvait emmener sa garde robe, oh rien de grandiose, quelques 50 tenues, voila tout, faites par des crafteurs des 4 coins dAtys qui avait cédé à ses caprices et ses exigences. Elle ne pouvait ausi emporter ce désir de connaitre ce monde et ses ressources cachées.
Cette belle Atys où amis elle a rencontré, ou filou elle a perçu, ou intransigeants elle a fui. Merci à vous, à ceux qui nont pas rejeté la tite hoministe, à ceux qui ont su fermer les yeux, à ceux qui ont su lapprécier pour ce quelle était «une tite homine». Derrière elle, elle laisse quelques amis quelle espère retrouver un jour.
Atys a changé. Les promesses envolées, les rêves oubliés, les faux espoirs demeurent. Lasse elle est. Tite foreuse, ah non plus si tite ; alors tite hoministe, ah non elle a du renoncer à sa neutralité jadis pour quelques TP primes, tite homine oui tite elle a voulu rester et sera toujours, loin du devant de la scène.
Un jour dans la brume matinale, Eléa partit avec ses souvenirs, avec ses larmes et ses pensées, ah et son Shenounet qui cachait dans son sac une fangfang
Eleashantag
Elle la aimé sincèrement pourtant cette belle Atys: ces beautés verdoyantes où elle forait, ces couchers du soleil sur le désert ardent où elle rêvassait, ces chutes où elle aimait se baigner *rêveuse* et ces paisibles landes obscures où elle se réfugiait pour réfléchir.
Elle a aimé partager son voyage. Ah cette solitude quelle chérissait, cette ténacité à chercher les TP seule -seuls deux lui résistèrent-, les MP excellentes des Forêts et des Lacs. Mais la solidarité elle croisa aussi partout où elle forait, même Wyac puis Zatchel lui donnait une léchouille quotidienne
Nombreuses quêtes, elle commença, mais, ne finalisa car homin il fallait faire glisser. Ah mais la plus belle quête fut celle de son coeur, celle qui chassa sa solitude et elle se nommait Shenshantag. Il lui offrait des bouquets de mots lors de chasse aux nommés ou recherche de Xl au bosquet supérieur *songe aussi au hammam, rougit* Peut-être les croiserez-vous un jour sur un autre monde qui sait.
Eléa faisait son sac. Hélas, elle ne pouvait emmener sa garde robe, oh rien de grandiose, quelques 50 tenues, voila tout, faites par des crafteurs des 4 coins dAtys qui avait cédé à ses caprices et ses exigences. Elle ne pouvait ausi emporter ce désir de connaitre ce monde et ses ressources cachées.
Cette belle Atys où amis elle a rencontré, ou filou elle a perçu, ou intransigeants elle a fui. Merci à vous, à ceux qui nont pas rejeté la tite hoministe, à ceux qui ont su fermer les yeux, à ceux qui ont su lapprécier pour ce quelle était «une tite homine». Derrière elle, elle laisse quelques amis quelle espère retrouver un jour.
Atys a changé. Les promesses envolées, les rêves oubliés, les faux espoirs demeurent. Lasse elle est. Tite foreuse, ah non plus si tite ; alors tite hoministe, ah non elle a du renoncer à sa neutralité jadis pour quelques TP primes, tite homine oui tite elle a voulu rester et sera toujours, loin du devant de la scène.
Un jour dans la brume matinale, Eléa partit avec ses souvenirs, avec ses larmes et ses pensées, ah et son Shenounet qui cachait dans son sac une fangfang
Eleashantag
Last edited by grouicco on Sat May 27, 2006 5:39 pm, edited 1 time in total.
Moonblades
Animi Limina
Animi Limina
Re: Une vie passée.
Un départ, encore un départ, celui d'un homin de valeur, au coeur et à la prose d'une même beauté. Aurevoir Shen, et aurevoir aussi Eleanide, prenez bien soin de vous. Puissent tes pensées combler le vide que tu laisseras auprès des Anges et de ta soeur.
Les Seigneurs de l'Aube, une nouvelle maison?
Ardua, durant 15 années au service des Fallen Angels, aspire aujourd'hui à plus de calme.
Ardua, durant 15 années au service des Fallen Angels, aspire aujourd'hui à plus de calme.
Re: Une vie passée.
Où que tu ailles... tu restes un morceau du paysage d'Atys.
Merci pour tout, Monsieur Shenshantag !
Merci pour tout, Monsieur Shenshantag !