Ryzom

Luth macFay discutait avec ses amis tant Karavaneirs trykers que des Hordes phoenix.

Ils se mettaient à discuter du meilleur coin à boire d'Atys, conversation dont Luth se désintéressa pour se plonger dans son journal

Les nouvelles pleuvaient sur les meurtres dans les zones de non-droit ouvertes par la Convention de Pyr... Mais quelque chose fit éclater de rire Luth. Nombre de guildes faisaient savoir qu'elles n'étaient pas responsables des actes de leurs membres si ceux-ci disaient agir en leur nom propre.

Luth rédigea vite fait une petite note qu'il envoya au journal Les Eaux du Jour.

Deux jours plus tard, son petit article fut publié :

Actuellement, de nombreuses personnes s'entretuent dans les zones de non-droit ouvertes par la Convention de Pyr. Et celles-ci ajoutent souvent qu'elles agissent en leur nom et non en celui de leurs guildes... Et ces guildes disent qu'en conséquence ce n'est pas leur problème.

Rien n'est plus faux ! Une guilde est responsable des actes de ses membres. Tout ce qu'ils font est sous la responsabilité de cette guilde. L'aide apportée par la guilde et le secours attendu ne sont pas soudain évanoui quand quelqu'un tue une autre personne et, pour éviter que sa guilde ne soit jugée co-responsable, dit benoîtement : "Ma guilde n'a rien fait ! j'ai agi en mon nom propre !"

Justement, ce nom est lié à cette guilde... DOnc, il ne peut jamais agir en son nom propre !

Les guildes ne peuvent donc se cacher derrière ce stupide argument de non-responsabilité guildienne et de responsabilité personnelle !

L'expérience au combat, le matériel ou toute autre chose viennent souvent des guildes. Donc, chaque personne guildée agit pour sa guilde dans la moindre des chsoes qu'il fait... Donc, un tueur dans les zones de non-droit ouvertes par la Convention de Pyr ne peut dédouaner sa guilde quand il tue une autre personne par cette invocation : "J'agis en mon nom propre !"

Soit la personne quitte la guilde avant de tuer... soit la guilde assume cet acte (et dans ce cas,s oit elle punit, soit elle assume les meurtres).

Cela amène une autre chose. Les guildes qui se cachent derrière cet argument fallacieux sont soit des guildes lâches (car si on se venge, elles interviendront... il n'y a qu'à voir ce que disent les Nomades d'Atys) soit des guildes qui ne savent pas gérer leurs membres...

Dans les deux cas, ces guildes sont à la dérive et doivent donc réfléchir... Mais j'imagine que la majorité des guildes assumera les actes de ses membres et n'utilisera pas l'argument : "On n'est pas responsable, il a dit qu'il agissait en son nom propre ! La bonne blague !"

Luth macFay

Luinil ouvre Les eaux du jour et tombe sur l'article de Luth. Ayant entendu parler comme tout le monde des évenements qui prennent place dans les primes, il se lancee dans la lecture de l'arcticle.
Au fur et a mesure qu'il lit ce qu'a écrit Luth, il se dit qu'il a raison, et que l'on fait partie d'une guilde ou pas, on ne peutnier son apartenance a la guilde selon son bon plaisir, et qu'il en est de meme pour les guildes: soit ces homins sont membre, alors la guilde est responsable de leurs actes, soit il ne le sont pas et dans ce cas elle n'a rien a voir.
Luinil ferme le journal en se disant qu'il faudra qu'il en parle autour de lui.

Aprés une lecture attentionnée, Dorbringer reparti à ses ocupations la mine réjouie et se disant :" Il existe encore des homins emprunts de sagesse et qui font honneur à leur guilde." Cette pensée était réconfortante et dissipait le soucis de voir de nombreux dirigeants ne pas assumer la responsabilité de leur membres...

Cette journée serait une belle journée.

oui .... n'empeche que les bars de pyr sont les meilleurs ^^

*lit l'article rédigé par Luth*

cet Homin a parfaitement raison, la guilde est bien responsable de ces membres. Je constate que des chefs n'arrivent pas à se faire respecter apparemment et cela ne présage rien de bon en cas d'invasion.

*pense à haute voix*

Hmm je vais réunir mes Dragons, il est nécessaire de rappeler certaines règles de temps en temps, je ne voudrais pas me retrouver confronter à une telle situation.

*repose le journal sur le comptoir et s'en va*

*lit l'article de Luth pour la troisième fois et se demande pourquoi il n'écessaire d'écrire des choses aussi évidentes dans le journal