[Matis] Bannissement...
Posted: Tue Jan 25, 2005 10:51 am
*elle posa la lettre, au milieu des milles documents des places publiques et de l'Agora d'Yrkanis. La plupart des gens, désormais, ne la reconnaissaient pas, et ce nétait pas plus mal.
Elle prenait soin de ne jamais toucher ou frôler personne, et c'est accompagnée de son valet qu'elle retourna chez elle.
Ses Maîtres porteraient ce qui était arrivé devant les autorité, et l'Etoile en ferait sans doutes aussi cas que Liandra elle-même. Mais personne ne pourrait jamais comprendre qu'elle avait vu sa dernière chance mourir, il y avait une journée.
La page blanche resterait vierge... Ele ne pourrait plus jamais retourner voir cette étrange ville, et ces étranges géants bleus, qui l'avaient acceuilli avec tellement d'amour. Elle aurait peu-être pu, si elle avait pu rester un peu, se souvenir. Mais désormais, Zora, et le Pays Malade, lui seraient interdits.*
"Hier, l'un des sages, des plus vénérés Zoraï du Pays Malade, a fait expluser manu-militari tout les Matis de Zora.
Liandra et moi y étions venues en paix. Je voulais revoir les Gardiens, et retrouver la famille que j'y ai eu, et surtout mon passé, mes souvenir.
Dire que nous avons été bien accueillis serait mentir, car Liandra et les Gardiens ont un gros contentieux dont je suis responsable, même si je ne l'ai jamais voulu. Mais c'est elle qui a pris la responsabilité de me mener là, et m'emmener à Zora, dans le seul but de m'aider à retrouver la mémoire.
Les choses auraient pu bien se passer. Liandra arrivait à s'entendre, malgrés leurs conflits, avec les maitres de la Maison des Gardiens, et moi, je me retrouvais face à ces gens parlant de moi comme leur soeur, et me racontant les plus beaux souvenirs qu'ils avaient de moi.
J'aurai peut-être pu me souvenir.
Mais le sage Supplice est soudain apparu. Il a ordonné que les "ennemis Matis" soient reconduits à la frontière immédiatement. Eblahom, l'un des maitre de la Maison des Gardiens, a du, forçé par son allégeance à son peuple et ses dirigeants, venir nous chercher lui-même, et nous pousser à partir séance tenante, au milieu de la colère et de la révolte des zoraïs qui nous avaient accueillis.
Désormais, je ne sais ce que fera ce sage. Tout les Matis auront droit àce même traitement?... Plus aucun d'eux ne pourra poser en pied en Pays Malade?
Quand à moi, je suis désormais bannie de ce pays que j'essayais de retrouver.
Ce sage a effacé le dernier choix qui pouvait me rester, et si j'avais encore hésité, c'est de toute façon contre cette folie auquelle j'ai assisté que je défendrais mon peuple.
C'est la dernière chose qui me reste...
Psychée"
Elle prenait soin de ne jamais toucher ou frôler personne, et c'est accompagnée de son valet qu'elle retourna chez elle.
Ses Maîtres porteraient ce qui était arrivé devant les autorité, et l'Etoile en ferait sans doutes aussi cas que Liandra elle-même. Mais personne ne pourrait jamais comprendre qu'elle avait vu sa dernière chance mourir, il y avait une journée.
La page blanche resterait vierge... Ele ne pourrait plus jamais retourner voir cette étrange ville, et ces étranges géants bleus, qui l'avaient acceuilli avec tellement d'amour. Elle aurait peu-être pu, si elle avait pu rester un peu, se souvenir. Mais désormais, Zora, et le Pays Malade, lui seraient interdits.*
"Hier, l'un des sages, des plus vénérés Zoraï du Pays Malade, a fait expluser manu-militari tout les Matis de Zora.
Liandra et moi y étions venues en paix. Je voulais revoir les Gardiens, et retrouver la famille que j'y ai eu, et surtout mon passé, mes souvenir.
Dire que nous avons été bien accueillis serait mentir, car Liandra et les Gardiens ont un gros contentieux dont je suis responsable, même si je ne l'ai jamais voulu. Mais c'est elle qui a pris la responsabilité de me mener là, et m'emmener à Zora, dans le seul but de m'aider à retrouver la mémoire.
Les choses auraient pu bien se passer. Liandra arrivait à s'entendre, malgrés leurs conflits, avec les maitres de la Maison des Gardiens, et moi, je me retrouvais face à ces gens parlant de moi comme leur soeur, et me racontant les plus beaux souvenirs qu'ils avaient de moi.
J'aurai peut-être pu me souvenir.
Mais le sage Supplice est soudain apparu. Il a ordonné que les "ennemis Matis" soient reconduits à la frontière immédiatement. Eblahom, l'un des maitre de la Maison des Gardiens, a du, forçé par son allégeance à son peuple et ses dirigeants, venir nous chercher lui-même, et nous pousser à partir séance tenante, au milieu de la colère et de la révolte des zoraïs qui nous avaient accueillis.
Désormais, je ne sais ce que fera ce sage. Tout les Matis auront droit àce même traitement?... Plus aucun d'eux ne pourra poser en pied en Pays Malade?
Quand à moi, je suis désormais bannie de ce pays que j'essayais de retrouver.
Ce sage a effacé le dernier choix qui pouvait me rester, et si j'avais encore hésité, c'est de toute façon contre cette folie auquelle j'ai assisté que je défendrais mon peuple.
C'est la dernière chose qui me reste...
Psychée"