didaxlm wrote:Dans la Lore, il est dit que le Grand Dragon s'éveillera à nouveau. Avant de mourir, il recrachera tout le feu de son corps et causera la fin d'Atys. La prophétie assure que les Homins fidèles aux enseignements de Jena seront à nouveau sauvés et transportés vers un autre monde d'abondance, à la condition qu'ils demeurent à la surface d'Atys. Donc, tous les foreurs des Primes Racines ne seront pas sauvé par Jena, puisqu'ils sont infidèles.
Il est dit aussi des Kamis,qu'ils partagent une conscience collective et il semble qu'aucune espèce vivante ne puisse échapper à leur perception et encore moins à leur colère si les lois de préservation d'Atys sont transgressées. Je ne releverais pas l'application des lois de préservation à la forêt enflammée puisqu'elle est quasi- innexistante. Donc tous les kamistes qui continuent à voler les ressources des Kamis sont des infidèles.
Le neutre, lui, n'a porté allégeance ni à Ma-Duk, ni à Jena. Il fore, mais il est fidèle à quelquechose...à lui-même, il suit sa voie.
En conclusion, vaut-il mieux être un incroyant fidèle, ou un croyant infidèle?
...
...
mouhahahahahahahaha
les racines interdites ont été condamnées par la Karavan, et sont donc des zones d'atys inaccessibles aux joueurs... (au revoir ton arguyment à deux dappers qu'on nous ressort depuis 18 mois....)
Les fyros n'ont rien de Kamistes convaincus, ils tirent profit de ce que peuvent leur apporter les kamis... mais.... les fyros étaient bien jenaïstes et karavaniers avant... (cf la lore... et au revoir ton deuxième argument à 1 dapper qu'on nous rabâche depuis 18 mois...)
Donc donc donc...
Les neutres, vous voulez pleins de choses vous décrivant?
Et bien......
Chez les
fyros:
Comment ils perçoivent Elias Tryton
Les anciens parlent d'un homme dans un halo de feu qui descendit du ciel dans un éclair de lumière. Il apparut devant un petit nombre d'élus à l'époque du grand essaim et leur indiqua comment mener leur peuple en sécurité au travers d'un arc-en-ciel. Seuls quelques « témoins » vivent encore pour raconter cette histoire. Au cours des années qui suivirent le massacre, certains sages fyros fondèrent la Guild of Elias composée d'homins d'autres races afin de perpétuer la mémoire de Tryton. La guilde fut par la suite dépeinte comme une secte opposée à l'église de Jena et donc interdite. La plupart de ses membres purent prendre refuge sur les territoires fyros où la Karavan était moins présente.
Aujourd'hui, la majeure partie des Fyros ne prête plus d'attention à la Guild of Elias. En effet, celui qui avait rencontré Elias avait à peine raconté son histoire que déjà il était reparti dans les profondeurs sauvages pour trouver une route menant aux terres d'antan. Il s'appelait Oflovak Rydon. Néanmoins, le gouvernement fyros veut connaître la vérité et compte bien enquêter davantage au moment venu.
Chez les
zorais:
Comment ils perçoivent Elias Tryton
De nombreux Zoraïs pensent que l'apparition d'Elias en 2481 fut en fait la manifestation d'un Grand Kami. Il y a trois générations de cela, il apparut entouré d'un halo de lumière à quelques élus afin de leur indiquer comment guider les homins loin des terres infestées par les Kitins à travers un arc-en-ciel vers les terres lointaines, dans la relative sécurité des Primes Racines. Au cours des années qui suivirent, quelques sages Zoraïs fondèrent avec d'autres peuples homins la Guild of Elias afin de perpétuer son souvenir. Par la suite, cette guilde fut dépeinte par la Karavan comme une secte opposée au culte de Jena, puis interdite. Un grand nombre de ses membres trouvèrent refuge sur les territoires zoraïs où la présence de la Karavan se faisait moins sentir.
Les membres de la Guild of Elias demeurent toujours sur le territoire zoraï. Le gouvernement de Zora s'oppose à la guilde car elle est cause de discorde au sein de l'ancestral système social des Zoraïs. Cette guilde qui travaille « dans le secret » a réuni des témoignages de toutes les rencontres avec cette énigmatique entité hominoïde.
Chez les
trykers:
Comment ils perçoivent Elias Tryton
Certains anciens des Trykers racontent l'histoire d'Elias, un homme tout en blanc, qui apparut devant eux durant le Grand Essaim de 2481 pour leur expliquer comment guider les homins en sécurité au travers d'un arc-en-ciel. Les « élus » trykers ayant survécu pensent qu'Elias n'est autre que le mari de Jena, auquel cas, il serait le divin père d'Atys ! Grâce à Elias, nombreux sont les Trykers qui ont pu combler le manque d'un saint-père. Tout le monde sait qu'il faut être deux pour donner vie à un homin ! Cette notion correspond à leur rêve utopique de vivre heureux en couple et d'avoir beaucoup d'enfants.
Au cours des années qui suivirent son apparition, certains sages trykers fondèrent la Guild of Elias composée d'homins d'autres races afin de perpétuer sa mémoire. Cette guilde fut par la suite dépeinte par la Karavan comme une secte opposée à l'église de Jena et par conséquent interdite, même si de nombreux membres pouvaient facilement opérer à couvert sur le territoire tryker.
Aujourd'hui la Guild of Elias vit toujours clandestinement sur le territoire tryker et parvient à répandre la parole de la venue d'Elias. Le gouvernement de Fairhaven, respectant les Lois de la Karavan, a banni la guilde pour la paix de tous, mais en réalité il a fermé les yeux afin de laisser la porte ouverte juste au cas où Elias serait vraiment le Saint-Père !
et chez les
matis:
Comment ils perçoivent Elias Tryton
Certains furent témoins de « l'apparition » d'Elias qui descendit de la canopée dans un rayon de lumière au cours du Grand Essaim. Les anciens affirment qu'il est en réalité un messager miséricordieux envoyé par Jena pour leur permettre de prendre refuge dans les Primes Racines et de se protéger des attaques kitins du Grand Essaim. Il se dit que d'autres messagers viendront élever les esprits des Matis. Certaines rumeurs annonçaient l'arrivée d'une grande force avant le Grand Essaim mais les textes sacrés ont été perdus.
Durant les années qui suivirent, certains sages matis fondèrent la Guild of Elias avec d'autres races homins pour perpétuer sa mémoire. Cette guilde fut dépeinte par la Karavan comme une secte opposée à l'église de Jena et par conséquent interdite. En 2505, durant le règne de Jinovitch, nombre des membres de la guilde furent condamnés pour hérésie contre Jena et brûlés vifs. Depuis cette époque, la guilde agit dans le secret.
Aujourd'hui la Guild of Elias vit toujours clandestinement sur le territoire matis mais parvient à répandre la parole de la venue d'Elias. Le gouvernement d'Yrkanis, respectant les Lois de la Karavan, a banni la guilde même si en réalité il a fermé les yeux afin de pouvoir glaner des informations pour garder sous contrôle le phénomène.
Voila...
Voila ce qu'est la neutralité sur Atys.
Cela ne vous plait pas? * tend le doigt vers la porte de sortie * Au revoir sur un autre jeu...
Dsl, il y a des règles à suivre, avant que Ryzom ne devienne totalement un grand n'importe quoi. C'est comme ça...
Maintenant, si demain, Nevrax nous disait: "les neutres sont une faction à part entière, et on révise toute la lore pour plaire encore et encore aux ouinouineurs en tout genre", je quitterais ce jeu, et sûrement avec beaucoup d'autres. Et là, vraiment le rp disparaitrait totalement de ce jeu, parce que lorsqu'on se retrouve uniquement entre neutre, il reste quoi à faire à part pexer sans avoir le moindre but?
Quand à se dire "il faut avoir de la gueule pour être neutre"... là je me marre
Il faut avoir du cran pour jouer un rôle de matis religieuse comme doit l'être tout matis convaincu de sa foi en Jena, chassant le kamiste et les trytonistes des terres des rois, tout en se prenant des insultes hrp du style "fachiste!"... en fait, je vais taire les autres car cela n'entre pas dans mon vocabulaire commun...
De la part des neutres, j'en ai pris PLEIN la gueule pendant 12 mois, et pas en rp, mais bien en hrp, insulte, menaces, et j'en passe et pourtant, ce n'était pas faute de leur dire, en tell, gentillement avant, que leur état de neutre était bien souvent très relatif, et qu'ils ne savaient pas à quoi s'attendre. Mais ce n'est vraiment pas mon genre de ticketer à chaque comportement qui sort de la charte de bonne conduite du jeu et du respect des autres. J'ai préféré ignoré, j'ai eu sûrement tord....
Eldoras wrote:Choisir la neutralité est et doit être choisir la voie de l'ombre.
kervala wrote: Apparemment oui ;p Enfin soit ils ne sont plus neutres, soit ils râlent
Les autres assument quoi ^^
Merci à tous deux pour vos réponses. Bien que nos RP sont antagonistes, notre façon de jouer, et de comprendre les règles du jeu "ryzom" sont apparemment les mêmes.
Maintenant, on remarquera bien ceux qui ne sont plus neutres (et pour moi, qui ont fini par comprendre les règles du jeu, l'erreur est permise à tout le monde), et ceux qui râlent sans cesse parce qu'ils sont entrés à la base dans un style de jeu qui les favorisaient à 200% par rapport aux autres, et qui, d'un coup, se trouvent nerfés, parce qu'enfin les règles de la lore commencent à être appliquées. D'un coup, on voit ceux qui sont neutres... ceux qui assument, ceux qui trouvent cela normal, ceux qui l'avaient prévu dans leur façon de jouer, et donc, ceux qui ne vont pas renchérir sur les réponses style "c'est la faute à nevrax qui fait rien! nous on existe! qu'on nous prenne en compte! même si on n'a jamais appliqué les règles du jeu, même si on ne les a jamais vraiment lu, ou chercher à les comprendre, même si on cherche à faire d'atys ce qu'on veut"
Faut du cran pour être neutre? Oui, je le pense... faut du cran pour jouer les neutres comme les trytonistes qui se cachent, qui masquent leur identité de trytonistes en manipulant les autres, parce que ce n'est pas évident à jouer, et que le moindre faux pas peut mener, au moins chez les matis, à une condamnation à mort qui peut donner lieu à un delete de perso.
Pour les autres... c'est de la foutaise, du vent, bref, rien de valable, rien qui s'intègre dans le monde d'Atys (qui a été créé par Nevrax et non par les joueurs). Juste une volonté d'avoir tous les avantages possibles et imaginables... Ce n'est pas être neutre, c'est, encore une fois, se mettre hors-jeu
