Ryzom

Si les zorais pensent pouvoir nous apprendre la poésie... Essayons de leur rappeler ce que nous, matis, savons faire [ ]


Que brûle mon coeur
Que la flamme soit plus ardente
Dans tes yeux de glace



La sève coule a flots
Le sang des morts baigne nos coeurs
En une ame aride

oh oh des matis s'en méle et avec panache! :

J'aime ce monde
où nous venons pour mourir
sans savoir pourquoi.

Partout des meurtres
et pourtant l'eau coule toujours
vers quel fin allons nous?

hooo...

*se met en condition... fait une roulé de résine de psycko...*

*puff... puff... puuuufffff* >< Gnéé

voilà *hu hu hu* hum...

Gare à mon couroux
Kamiste tu es la plaie d'Atys
Par mon épée viendra ta mort

*hu hu hu* vachement bonne celle là... elle m'inspire vachement

L'arme est le reflet de l'âme
courage, honneur, foi
mensonges à l'écoute de nos peurs

cercle viscieux originel
tu as soif de seve
tu es mon ennemi

Justice apaisante,
Bravoure libératrice,
Dansent dans la nuit...


Dans une main la mort!
Dans l'autre, la vie...
Puisse s'incarner en moi, l'esprit


Merveilleuses nouvelles
Qui refont aimer la vie
Opèrent dans ma nuit!

C**** se faufilla dans les rues de Zora,munie d'un casque pour qu'on ne la reconnaisse pas,elle trouva le panneau d'affichage et y colla a l'aide de seve et résine ce petit mot:

Guerre approchait
Mon tendre y partirait
Mes larmes coulaient


Elle partit ,emportant son désespoir avec elle....

*rentre se coucher à Zora, et passe devant les affiches*

Tiens.. bizarre !
c'est pas moi qui les ai mis ceux là !
mais... y'en a plein !!!

*lit tous les messages*

oh
y'a plein de haiku partout !
domage que ca parle de la guerre
je prefere l'amour moi !

*part se coucher, toute fière du succès de son atelier*

Une jeune Matis de passage à Zora, s'arrête devant le panneau d'affichage et y lit les différentes oeuvres.

*pense tout haut* Vraiment une très bonne idée ce concours et certains ont vraiment une très belle plume ! Les Matis ne sont pas très représentés dans ce concours de poésie. Pourtant nous avons un don naturel pour ce qui est de littéraire.

*souris* *pense à son cher et tendre amour loin d'elle*

*sors une plume, un bout de parchemin et se met a écrire quelques lignes*

Mon tendre amour
Partis si loin de moi
Sans toi mon coeur saigne.


Mon bel homin
Reviens moi vite
Mon coeur ne bat ne bat que pour toi.


Comme une ombre sur Atys
Une jeune homine se déplace
Les larmes aux yeux.


Amour, Amour
Pourquoi fais-tu si mal
Quand l'Autre n'est pas là ?


*souris en relisant les lignes écrites* *contente d'elle, accroche son parchemin là où il reste un peu de place, sur le côté du panneau, en espérant que son homin le lise si il passe par Zora*

Heureuse de sa plume et triste à la fois la jeune homine rentre chez elle telle une ombre en pensant à son amour qui lui manque terriblement.


Angia, une homine amoureuse

* Ayant fait une halte à Zora, le Matis tomba sur de petits parchemins placardés sur le panneau d' affichage *

" Quelle étrange forme de poésie... Ma foi, pourquoi ne pas s'y essayer..."

Ainsi élevé
L' Yzam sur les vents du sud
Rejoins sa destinée

Homine du printemps
Ton parfum fleurie, épicée
Irrite mes pensées