Re: LES 15 BONNES RAISONS DU RETARD DE JENA
Posted: Tue Oct 02, 2007 1:29 pm
1031:
Jena sinstalla devant son trésor, admirant ses sujets, chérissant ses homins.
Cela faisait déjà si longtemps quelle attendait ce moment.
La déesse ne souhaitait quune chose : sévader parmi ses fidèles.
Voulant rejoindre Atys depuis bien longtemps, elle avait souhaité pouvoir les comprendre, les rassuré Mais une barrière se dressait devant elle : étant une déesse, elle ne sétait jamais demander comment faire pour leur parler, leur communiquer son amour Apres tout, pourquoi les Dieu devrait ils a avoir a ce soucier de ces problème primaire ? Mais devant les craintes quelle entendait sélever dans son cur, le cri de désespoir de certains homins ne trouvant plus leur chemin, doutant de lavenir dAtys Elle sétait décidé a apprendre leur langage, savoir les lire, les décrypté Ce périple fut long, car la lecture est difficile, quand on ne la pratique jamais Néanmoins, elle réussit a comprendre ses sujet, scrutant leurs milles angoisses séparpillant à travers lécorce.
Elle était décidée. Elle tenait son pacte de teleportation, prête à le déchirer et de commencer son aventure sur Atys.
Alors elle brisa. Un coup sec. Puis rien. Alors elle en brisa un second. Puis un troisième. Abasourdit, elle ne comprenait pas. Toujours ce message se répétant dans sa tête.
« La destination que vous souhaitez rejoindre nest pas disponible pour le moment ».
Puis une voie séleva dans les airs : « Jena ! Arrête de déchirer ces tickets de métro ! Ils ne tont rien fait !
-Mamann laisse moiii !!! Je joueeeee ! »
Lenfant avait fait tellement deffort, mais son rêve ne se réalisait pas. Son trésor, toujours devant elle, restait impassible. Elle le saisit, cette boule de feuille miraculeusement peloté, jadis vert, aujourdhui terne. Elle seffrita sous la pression de ses doigts, sémiettant dans un nuage de tristesse et de mélancolie, comme autant de larme qui coulait sur ses joues.
Lautomne était venu, les feuilles mortes tapissaient le sol de son jardin.
Dans un murmure, tenant fermement dans sa main droite sa drôle de petite peluche marron aux yeux globuleux et jaune, aux plumes couleur braise se dressant sur sa tête, elle soupira : «Promis, des quil y a des feuilles toute fraîche, je recommence ! »
Puis elle dissémina les restes de son trésor dans la brise de lautomne.
Jena sinstalla devant son trésor, admirant ses sujets, chérissant ses homins.
Cela faisait déjà si longtemps quelle attendait ce moment.
La déesse ne souhaitait quune chose : sévader parmi ses fidèles.
Voulant rejoindre Atys depuis bien longtemps, elle avait souhaité pouvoir les comprendre, les rassuré Mais une barrière se dressait devant elle : étant une déesse, elle ne sétait jamais demander comment faire pour leur parler, leur communiquer son amour Apres tout, pourquoi les Dieu devrait ils a avoir a ce soucier de ces problème primaire ? Mais devant les craintes quelle entendait sélever dans son cur, le cri de désespoir de certains homins ne trouvant plus leur chemin, doutant de lavenir dAtys Elle sétait décidé a apprendre leur langage, savoir les lire, les décrypté Ce périple fut long, car la lecture est difficile, quand on ne la pratique jamais Néanmoins, elle réussit a comprendre ses sujet, scrutant leurs milles angoisses séparpillant à travers lécorce.
Elle était décidée. Elle tenait son pacte de teleportation, prête à le déchirer et de commencer son aventure sur Atys.
Alors elle brisa. Un coup sec. Puis rien. Alors elle en brisa un second. Puis un troisième. Abasourdit, elle ne comprenait pas. Toujours ce message se répétant dans sa tête.
« La destination que vous souhaitez rejoindre nest pas disponible pour le moment ».
Puis une voie séleva dans les airs : « Jena ! Arrête de déchirer ces tickets de métro ! Ils ne tont rien fait !
-Mamann laisse moiii !!! Je joueeeee ! »
Lenfant avait fait tellement deffort, mais son rêve ne se réalisait pas. Son trésor, toujours devant elle, restait impassible. Elle le saisit, cette boule de feuille miraculeusement peloté, jadis vert, aujourdhui terne. Elle seffrita sous la pression de ses doigts, sémiettant dans un nuage de tristesse et de mélancolie, comme autant de larme qui coulait sur ses joues.
Lautomne était venu, les feuilles mortes tapissaient le sol de son jardin.
Dans un murmure, tenant fermement dans sa main droite sa drôle de petite peluche marron aux yeux globuleux et jaune, aux plumes couleur braise se dressant sur sa tête, elle soupira : «Promis, des quil y a des feuilles toute fraîche, je recommence ! »
Puis elle dissémina les restes de son trésor dans la brise de lautomne.