Re: Question à tous les masochistes...
Posted: Wed Dec 01, 2004 9:40 am
Personnellement, la difficulté ne me gene pas lorsqu'elle imputée au realisme, car a ce moment là, elle permet d'offrir bien plus de possibilité. Un exemple ? Lit le post de ptidemon. Avant, on transbahutait les marchandises d'un continent a l'autre comme on le souhaitait, via l'etable. Maintenant, c'est impossible, et tout un principe de convoi et d'escorte de ceux-ci va se mettre en place.
PLus de realisme = plus de difficulté, mais plus de facilité.
Bien entendu cette equation n'est pas reellement exact.Plus de realisme n'implique pas forcement plus de difficulté. Un exemple ? Les armes de tir a une main ? Pourquoi devons nous tenir le chargeur de l'autre main ? Pas specialement realiste, et en remediant a cela, on gagnerait plus de facilité, mais egalement toujouts plus de possibilité.
Dans tous les cas, pour moi, le realisme implique generalemen plus de possibilité. Bien etendu, je ne suis pas pour le realisme a fond, vu qu'a un moment le coté ludique disparait. En premier parce ce que ce jeu n'est pas entierement realiste (et c'est un euphemisme), ensuite parce qu'appliquer le realismùe a certain point tuerait la ludicité (exemple, la "mort" du personnage et la possibilité de parler).
Teocali
PLus de realisme = plus de difficulté, mais plus de facilité.
Bien entendu cette equation n'est pas reellement exact.Plus de realisme n'implique pas forcement plus de difficulté. Un exemple ? Les armes de tir a une main ? Pourquoi devons nous tenir le chargeur de l'autre main ? Pas specialement realiste, et en remediant a cela, on gagnerait plus de facilité, mais egalement toujouts plus de possibilité.
Dans tous les cas, pour moi, le realisme implique generalemen plus de possibilité. Bien etendu, je ne suis pas pour le realisme a fond, vu qu'a un moment le coté ludique disparait. En premier parce ce que ce jeu n'est pas entierement realiste (et c'est un euphemisme), ensuite parce qu'appliquer le realismùe a certain point tuerait la ludicité (exemple, la "mort" du personnage et la possibilité de parler).
Teocali