Re: [Zoraï] Lettres adressées au Conseil des Sages, concernant le TC4P
Posted: Sun May 21, 2006 5:03 pm
* Raz-Yel eu vent de bruits et lu les missives et autres lettres informatives de Zenchiddah et Bratakk. Il se decida à répondre aux deux, par une affiche écrite de sa main prés de l'étable de zora.*
Ata Bratakk et Zenchiddah des jardins d'atys,
Pour commencer, je ne tiens pas à me faire le sage des sages, et la signature du grand Mabreka n'est point a remettre en cause, surtout par de simples réfugiés. Ni vous ni moi ne pouvons douter une seule seconde des actes de nos dirigeants et guides.
Pour vous répondre Brattak, il ne s'agit point d'excuse de la part des zorais pour ne pas reconnaitre jena comme elle est. Au contraire, bien que nous ayons toute conscience du danger que représente celle-ci pour Atys, nous ne nions pas l'existence de culte Karavan ou jenaiste.
Maintenant il est sur, que pour la théocratie zorai, elle n'est qu'un faux dieu, cherchant le soutien des homins pour assouvir son contrôle de l'écorce. Ce qui ne nous empéche pas de reconnaitre la royauté matis fondé sur son culte, et d'être bien au courant de la force du lien qui unie le roi Yrkanis et Jena, pour garder l'ordre dans vos cités.
Quand à toi frére Zenchiddah, tout homin est libre de faire ses choix et d'en vivre les conséquences. Tu te sens zorai fort bien , mais aux yeux de tes fréres, tu es aussi un homin qui sert Jena, celle qui veux controler Atys et tuer Ma-Duk. Cette vérité ne peut être occultée. Tu as renié ton masque pour le chant trompeur de jena, nous souffrons tous de te voir ainsi, nous aimerions pouvoir t'aider. Mais te reconnaitre en tant que citoyen zorai...Ne demande pas l'impossible aux fréres et soeurs.
Et pour couper court a toutes rumeurs non fondées qui sont parvenues à mes oreilles, l'humble guilde des Questeurs ne t'as jamais refusé l'accés à la capitale zorai depuis le nouveau traité. De plus si tu considéres une discussion avec une homine qui fut et reste ton amie, comme une atteinte à tes droits légitimes, je t'invite à me contacter ou à en appeler aux gardes de la cité, pour les faires valoir. Ou alors plus simplement d'en parler avec cette amie.
On ne peut pas être izam et yber, comme l'avait souligné soeur Dalyko.
Mata,
Raz-Yel Chan.
"Ecoute le chant du ruisseau. Point de danger, point de faux-semblant. Juste la mélodie qui nous appaise."