le soleil est si beua en contree trykers c a peine si Carméops se souvient de la meteo de l'ile sur laquelle il a sejourner.
mais il se souviendra toujours des yeu du tryker qui se faisait martyriser devant lui et des gens autour regardant la scene d'un air amuser.
il a bien essayer de les en empecher mais il s'est fait assomer par ces freres de sang.
il ne comprenait pas.
un peu plus tard on lui conta que certain matis considerai les tryker comme des esclaves et qu'il n'y changerai rien.
et bien si, il y fit quel que chose il libera le tryker et s'enfuit de chez lui pour aller en pays trykers.
il se faulilla dans une expedition et arriva non sans mal a faire la traversee.
il ne retournera peu etre plus chez lui, peu etre ne se souvient on deja plus de lui, mais que lui importe. son foyer est ici a present il se sent plus tryker dans l'ame qu'il ne s'est jamais senti matis et il adore ses nouveau amis trykers bien plus qu'il n'a aimer ses amis matis.
dans sa tete, il est a present devenu tryker quoi qu'en pense les autre.
Bienvenue dans la Saga !
Moderator: Chroniques d'Atys
Re: Bienvenue dans la Saga !
<<==*Carméops van Gibb*==>>
Vivez libres et heureux dans la vie...
Je ne le conseille, mais le supplie...
Vivez libres et heureux dans la vie...
Je ne le conseille, mais le supplie...
Re: Bienvenue dans la Saga !
**tien mais quesque je fout ici moi**
"tente de se relever (peine perdue)"
**ouch le mal de crane, ouai je me souvient vaguement avoir picoler dans un endroit rempli de tryker mais je me reppelle pas ce qui c passez ensuite?**
"se degrise un peu"
**oula je vais encore me faire tapper sur les doigt par ma guilde faut que j'y aille**
"sort de la taverne a present vide"
"tente de se relever (peine perdue)"
**ouch le mal de crane, ouai je me souvient vaguement avoir picoler dans un endroit rempli de tryker mais je me reppelle pas ce qui c passez ensuite?**
"se degrise un peu"
**oula je vais encore me faire tapper sur les doigt par ma guilde faut que j'y aille**
"sort de la taverne a present vide"
<<==*Carméops van Gibb*==>>
Vivez libres et heureux dans la vie...
Je ne le conseille, mais le supplie...
Vivez libres et heureux dans la vie...
Je ne le conseille, mais le supplie...
Re: Bienvenue dans la Saga !
Assise au fond de la salle, enroulée dans une grande cape sombre dont la couleur rappelait étrangement le vert profond de ses forêts natales, une jeune fille au regard tout aussi vert n'avait rien manqué de cette soirée peu ordinaire...
"Aubergiste, pourrais-tu m'apporter de quoi étancher ma soif? Un grand verre de lait de yubo frais"
L'aubergiste ne dit mots... Toute la soirée, alors qu'il était habitué à servir des rustres et des barbares(bières et tord boyaux), elle ne lui avait demande que des mets délicats et raffines, de sa petite voix fluette et un peu enfantine, semblant se cacher des autres, dans son coin... Et nul alcool... Une gamine, quoi... Pourtant, sont âme de vieux guerrier reconverti lui soufflait que cette fille était plus qu'elle ne laissait paraître... Quelque chose dans son regard lui rappelait de lointain souvenir... Ce ne pouvais cependant pas être... Il se mit à l'étudier, du coin de lil... N'ayant plus d'autres clients en cette heure tardive si ce n'est le vieux forgerons, encore une fois vaincu par trop d'alcool. Alors, apportant le pichet de lait demandé, il pris la parole, un peu gêné:
L'aubergiste: "Il se fait tard jeune demoiselle... Savez-vous au moins ou vous passerez la nuit?"
Healena: "J'imaginais avoir tout loisir d'occuper l'une de vos chambre. N'êtes-vous pas une auberge?"
Quelle effrontée... et pourtant, c'était dis sans méchanceté, comme une évidence... encore un trait de caractère qu'il avait bien connu cher une autre homine, il y a bien longtemps de cela...
L'aubergiste: "Cela risque d'être difficile, avec le marché de demain, elles sont toutes occupées..."
Healena: "Je ne savais point qu'une foire était prévue... Et bien tant pis, je trouverais bien un arbre ou me réfugier" *arborant un charmant sourire... *
L'aubergiste:"Cette expression!!!! Si je puis me permettre, votre visage me dis quelque chose, mais impossible de me souvenir... "
Healena:"Si je suis venue dans cette Auberge, ce n'est pas par pur hasard..."
Découvrant sa cape, son épée apparue... Elle était semble t il de bonne facture et relativement récente... Mais ses yeux étaient fixes. Il s'assit. Plus de trente années qu'il n'avait vu ce fourreau... Une seule explication possible...
Et puis, elle lui ressemblait tant...
Il se releva non sans mal, mis à la porte son client (qui d'ailleurs s'écroula en plein milieu de la rue), ferma les volets tira les rideaux...
Les chandelles brûlèrent toute la nuit.
Au petit matin, je tirais la porte de l'auberge, bien décidée, plus que jamais, a retrouver mon épée de famille, la lame de Jena.
Le veil aubergiste, autrefois compagnons d'un voyage de ma mère dans les primes racines, m'avait confirme une chose au moins et apprise une autre: ma mère était bel et bien partie avec son épée a la demande du roi Zorai et on ne l'avait plus jamais revue depuis, ni elle ni sa lame. Et c'était bien la première fois qu'il revoyait le fourreau... Il ne me reste plus qu'a suivre la piste qu'il m'a indiquée, vérifier ses infos. Mais comment savoir ou ils avaient étés envoyés exactement? et pourquoi?
Ma mère était l'une des plus grande guerrière de son peuple... Comment a t elle put tomber si facilement? Et pourquoi la Caravan n'a t elle rien fais, elle qui se dit si puissante?
Ou est-elle peut être encore en vie? Saurais-je un jour qui était mon père, ce véritable sa( ) qui est parti a ma naissance?
Perdue dans mes pensées, je déambulais sans réel but. Le soleil commençait à réchauffer l'atmosphère et il est bien connu que le pays Tryker invite plus a la paresse qu'au travail. Aussi, avais-je enlevée ma cape. Mon armure moyenne matis étincelait, mettant quelque-peu en valeur les formes dont Jena m'avait si généreusement dotée. Je ne fut donc pas surprise par les regards visiblement intéressés et insistants que me lancèrent trois jeunes homins; Et puis, a force, j'ai l'habitude et n'y prête plus que peu d'attention... "Ce sont tous les mêmes ces homins... Y'a qu'un truc qui les interresse... D'ailleurs, y en a un, si je le retrouve,... , mon <cher> papa..."
Je m'étirais langoureusement...
" Hum... fais si bon, si chaud..."
La nuit avait étée longue, et le sable si chaud...
Je m'endormisalors, blotie dans les bras du soleil, bercée par le doux clapotis des vagues.......
Extrais de la préface du manuel scolaire matis:
Lart et la manière de faire des ptits trous. Par Healena Morkaipau
(disponible prochainement cher son fournisseur de cubes dambre pour la modique somme de 12 000 Drapers, prix maximum conseille)
Nb : La Société dEdition AU Cube DOr se réserve le droit de suspendre lédition de < Lart et la manière de faire des ptits trous > en cas de commande prévisionnelle insuffisante Alors commandez !!! C bien, vi, et pis, heuuuuuuuuuuuuuuu c bien quoi, c de moi.
"Aubergiste, pourrais-tu m'apporter de quoi étancher ma soif? Un grand verre de lait de yubo frais"
L'aubergiste ne dit mots... Toute la soirée, alors qu'il était habitué à servir des rustres et des barbares(bières et tord boyaux), elle ne lui avait demande que des mets délicats et raffines, de sa petite voix fluette et un peu enfantine, semblant se cacher des autres, dans son coin... Et nul alcool... Une gamine, quoi... Pourtant, sont âme de vieux guerrier reconverti lui soufflait que cette fille était plus qu'elle ne laissait paraître... Quelque chose dans son regard lui rappelait de lointain souvenir... Ce ne pouvais cependant pas être... Il se mit à l'étudier, du coin de lil... N'ayant plus d'autres clients en cette heure tardive si ce n'est le vieux forgerons, encore une fois vaincu par trop d'alcool. Alors, apportant le pichet de lait demandé, il pris la parole, un peu gêné:
L'aubergiste: "Il se fait tard jeune demoiselle... Savez-vous au moins ou vous passerez la nuit?"
Healena: "J'imaginais avoir tout loisir d'occuper l'une de vos chambre. N'êtes-vous pas une auberge?"
Quelle effrontée... et pourtant, c'était dis sans méchanceté, comme une évidence... encore un trait de caractère qu'il avait bien connu cher une autre homine, il y a bien longtemps de cela...
L'aubergiste: "Cela risque d'être difficile, avec le marché de demain, elles sont toutes occupées..."
Healena: "Je ne savais point qu'une foire était prévue... Et bien tant pis, je trouverais bien un arbre ou me réfugier" *arborant un charmant sourire... *
L'aubergiste:"Cette expression!!!! Si je puis me permettre, votre visage me dis quelque chose, mais impossible de me souvenir... "
Healena:"Si je suis venue dans cette Auberge, ce n'est pas par pur hasard..."
Découvrant sa cape, son épée apparue... Elle était semble t il de bonne facture et relativement récente... Mais ses yeux étaient fixes. Il s'assit. Plus de trente années qu'il n'avait vu ce fourreau... Une seule explication possible...
Et puis, elle lui ressemblait tant...
Il se releva non sans mal, mis à la porte son client (qui d'ailleurs s'écroula en plein milieu de la rue), ferma les volets tira les rideaux...
Les chandelles brûlèrent toute la nuit.
Au petit matin, je tirais la porte de l'auberge, bien décidée, plus que jamais, a retrouver mon épée de famille, la lame de Jena.
Le veil aubergiste, autrefois compagnons d'un voyage de ma mère dans les primes racines, m'avait confirme une chose au moins et apprise une autre: ma mère était bel et bien partie avec son épée a la demande du roi Zorai et on ne l'avait plus jamais revue depuis, ni elle ni sa lame. Et c'était bien la première fois qu'il revoyait le fourreau... Il ne me reste plus qu'a suivre la piste qu'il m'a indiquée, vérifier ses infos. Mais comment savoir ou ils avaient étés envoyés exactement? et pourquoi?
Ma mère était l'une des plus grande guerrière de son peuple... Comment a t elle put tomber si facilement? Et pourquoi la Caravan n'a t elle rien fais, elle qui se dit si puissante?
Ou est-elle peut être encore en vie? Saurais-je un jour qui était mon père, ce véritable sa( ) qui est parti a ma naissance?
Perdue dans mes pensées, je déambulais sans réel but. Le soleil commençait à réchauffer l'atmosphère et il est bien connu que le pays Tryker invite plus a la paresse qu'au travail. Aussi, avais-je enlevée ma cape. Mon armure moyenne matis étincelait, mettant quelque-peu en valeur les formes dont Jena m'avait si généreusement dotée. Je ne fut donc pas surprise par les regards visiblement intéressés et insistants que me lancèrent trois jeunes homins; Et puis, a force, j'ai l'habitude et n'y prête plus que peu d'attention... "Ce sont tous les mêmes ces homins... Y'a qu'un truc qui les interresse... D'ailleurs, y en a un, si je le retrouve,... , mon <cher> papa..."
Je m'étirais langoureusement...
" Hum... fais si bon, si chaud..."
La nuit avait étée longue, et le sable si chaud...
Je m'endormisalors, blotie dans les bras du soleil, bercée par le doux clapotis des vagues.......
Extrais de la préface du manuel scolaire matis:
Lart et la manière de faire des ptits trous. Par Healena Morkaipau
(disponible prochainement cher son fournisseur de cubes dambre pour la modique somme de 12 000 Drapers, prix maximum conseille)
Nb : La Société dEdition AU Cube DOr se réserve le droit de suspendre lédition de < Lart et la manière de faire des ptits trous > en cas de commande prévisionnelle insuffisante Alors commandez !!! C bien, vi, et pis, heuuuuuuuuuuuuuuu c bien quoi, c de moi.